Couvre-feu et confinement ne sont qu’un appoint, vaccinons pour en finir
Tout doit être fait pour éviter le confinement autoritaire sous quelque forme que ce soit, et nous disposons de deux solutions complémentaires. OPINION.
Tout doit être fait pour éviter le confinement autoritaire sous quelque forme que ce soit, et nous disposons de deux solutions complémentaires. OPINION.
Incrédules devant trop de contradictions et de promesses non tenues, les Français usent de leur bon sens pour soulever quelques questions pas si impertinentes qu’il y paraît. L'état d’urgence a-t-il permis de maitriser la Covid-19 ?
Pour une fois l’État doit accepter de déléguer une part essentielle de la responsabilité aux individus : que chacun ré-apprenne à se prendre en charge sans attendre des décisions qui pourront être critiquées.
Les restaurateurs, ces témoins de notre convivialité, sont une soupape de sécurité de notre société. Ils témoignent du fait que nous approchons des limites d’une solidarité raisonnable.
Les Français ont grand mérite de se plier à une discipline moralement et matériellement coûteuse. Néanmoins, dépossédés de choix essentiels, ils s’interrogent : qui croire ?
Nutriscore, publicités interdites : est-ce à l’État de décider ce qui est bon pour nous ? Ou avons-nous abandonné tout effort de contrôle sur notre propre alimentation ?
Une tolérance raisonnable est nécessaire dans bien des cas que la loi ne saurait énumérer a priori : il faut donc laisser à chacun la faculté d’exercer sa liberté de manière responsable.
Le télétravail est une opportunité précieuse dont le bon usage doit être apprécié au plus près des partenaires dans la diversité des situations. La souplesse de la réglementation est le meilleur gage de son efficacité sociale, et liberté doit être laissée aux acteurs.
Si nous devions subir une Saison 2 sanitaire, l’État ne pourra pas rejouer une deuxième fois le scénario sécuritaire.
L’expérience de cette pandémie incite à souhaiter un reflux de l’État envahissant et infantilisant qui étouffe les Français actifs sous un flot de normes.
Le pouvoir du verbe ne saurait tenir lieu d’exercice du pouvoir par la classe politique.
Quel que soit le domaine où se pose le regard, on revient toujours à un fondamental : la présence humaine interactive. Alors télétravail, oui, quand cela rend service !
Dans un monde très sensible aux marchands de peur, l’État infantilise par la généralisation de ses dogmes ceux qu’il entend protéger de leurs choix considérés comme irréfléchis ou incompétents.
Plus que la retraite qu’il faudrait perfectionner pour la rendre plus supportable, c’est le travail qu’il faut promouvoir, favoriser et rémunérer à sa vraie valeur.