Alain Madelin : « Il faut remettre les idées à l’endroit »
Quand les idées fausses prospèrent, la politique s’égare.
Quand les idées fausses prospèrent, la politique s’égare.
Alvin Toffler, disparu aujourd'hui, avait montré entre autres que le secteur non marchand apporte des richesses insoupçonnées à nos sociétés.
Alain Madelin s’est glissé dans le rôle d’un candidat à l’élection présidentielle de 2017 pour écrire un programme libéral pour la France. 2e partie.
Alain Madelin s'est glissé dans le rôle d’un candidat à l’élection présidentielle de 2017 pour écrire un programme libéral pour la France.
Alain Madelin livre son analyse du ras-le-bol fiscal et de la situation quasi révolutionnaire en France.
Lorsque l’exception fiscale française devient une norme durable, cela créé un cataclysme économique.
L’instrumentalisation politique et la brutalité des méthodes utilisées par le gouvernement sont très contestables.
Tout comme pour la « TVA sociale », le coût politique d’un transfert d’une partie des cotisations sociales vers la CSG serait très élevé pour un gain de compétitivité dérisoire, provisoire et illusoire.
Si l’idée de reconsidérer la Prime pour l’emploi est en soi excellente, la proposition l’est beaucoup moins
Les deux chiffres qui ridiculisent la « TVA sociale » : un gain de 0,4% pour l’industrie, 132 000 euros par emploi !
Le référendum sur les chômeurs proposé par Nicolas Sarkozy est une manœuvre cousue de fil brun
Contrepoints vous propose un texte de fond pour comprendre où sont les vrais problèmes posés par la TVA "sociale"
Mario Monti vient de présenter la loi italienne d’ouverture à la concurrence des secteurs et professions protégés
On prête à la « TVA sociale » des avantages très largement illusoires alors que ses inconvénients sont eux bien certains
On aurait dû accélérer les politiques libérales en Europe. On a fait tout le contraire
Le risque est grand de voir le projet de Traité esquissé par Paris et Berlin apparaître comme à côté du problème et décalé par rapport à l’urgence
La proposition d’opter pour la TVA sociale, soutenue par le Medef, aboutirait au renforcement d'un État providence décourageant le travail
Le grand décalage qui existe entre les propositions de l’UMP et les défis auxquels est confronté notre pays est très inquiétant
TVA « sociale » ou pas, la même facture sociale sera toujours payée par le même nombre de Français
À vouloir recapitaliser les banques, on risque de mettre encore un peu plus en péril le triple A de la France