Zapata contre Greta

Le contraste est saisissant entre les réactions que provoque Greta Thunberg, l'écofondamentaliste, et celles qu'incite Franky Zapata, inventeur du Flyboard.
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Zapata contre Greta

Publié le 9 août 2019
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Par h16.

Ainsi donc, de nos jours, pour sauver la Terre, son climat, les ours polaires et leur banquise, il faut absolument revoir tous nos moyens de transports. C’est ce que tente de nous prouver l’extraordinaire Greta Thunberg qui n’en finit plus de défrayer une chronique pantelante de désir pour elle.

Joignant le geste à la parole, il s’avère en effet que la gamine a décidé de se rendre à New-York depuis l’Europe en employant le moyen le plus idoine pour cela, à savoir l’avion pardon le bateau : pour celle qui ne mange qu’en train ses bananes suédoises et ses collations sous blister plastique, il est absolument indispensable de montrer l’exemple d’un déplacement éco-responsable.

Et quoi de mieux qu’un bateau « zéro-carbone » pour cela ?

Bien sûr, par « zéro-carbone », on entend ici que le bateau ne devrait normalement, et si tout se passe bien, qu’il ne fasse pas trop moche et que les conditions climatiques le permettent, pas produire de CO2. Pour le reste, ce bateau est en acier (énergivore à produire) et en fibres de carbone, comprenant de nombreuses parties en plastique, disposant malgré tout d’un moteur diesel et de panneaux photovoltaïques dont les terres rares, provenant de Chine, ont été extraites avec des procédés pas particulièrement eco-friendly. Il sera barré en toute simplicité par un membre de la famille princière de Monaco, Pierre Casiraghi, vice-président du Yacht Club de Monaco, régulièrement sponsorisé par BMW (les voitures à mazout allemandes).

Manifestement, devenir une égérie écofondamentaliste permet d’intéressantes expériences qui donneront aux classes laborieuses un aperçu alléchant des perspectives futures où le tourisme et les affaires se noueront évidemment à coups de yachts rutilants reliant les plus grands ports du monde en seulement quelques semaines (contre de longues heures d’avion polluant actuellement). Les prochaines décennies vendent déjà du rêve !

En tout cas, force est de constater que la presse est déjà tout acquise à la cause de Greta et qu’aucune dépense ne sera épargnée, surtout pas énergétique, notamment de la part de toute la jet-set qui n’hésite d’ailleurs pas à montrer sa bonne conscience environnementale en allant jusqu’au Google Camp organisé cette année en Sicile, quitte à cramer un peu de kérosène dans les 114 jets privés nécessaires à ses déplacements, ainsi que les milliers de litres de fioul que ses yachts brûleront.

Gageons du reste que le déplacement de la mineure suédoise dans un bateau monégasque ne posera pas plus de soucis aux administrations pourtant soucieuses du bien-être des enfants et très pointilleuses des visas, autorisations et des réglementations encadrant bien tous les déplacements des citoyens européens, tout comme ces mêmes administrations ne verront aucun problème à ce que des bateaux à moteurs s’approchent de l’île de Panarea, proche du happening de Google, pourtant interdite à ces embarcations.

Il est d’ailleurs particulièrement piquant de comparer d’un côté les réactions de cette presse, de ces administrations et des internautes en général à ces différents éléments (Greta en bateau, les célébrités en jet, Google sur une île) avec, de l’autre côté, les réactions de la même presse, des administrations et des internautes face à l’aventure humaine d’un certain Franky Zapata.

Zapata, c’est un peu le petit caillou dans le Louboutin de ces célébrités, le morceau de viande dans le repas vegan de Greta ou le grain de sable dans les beaux engrenages des bureaucraties administratives françaises puisque notre homme, entrepreneur autodidacte, enchaîne les inventions et refuse de lâcher l’affaire malgré les adversités que ne manquent pas d’accumuler un nombre croissant d’individus et d’institutions sur son parcours.

L’entrepreneur obstiné a ainsi inventé une sorte de plateforme légère à turbine permettant à un homme de voler de façon autonome à plus de 190 km/h pendant une dizaine de minutes. Afin de prouver l’efficacité de son invention, il a ainsi tenté de traverser la Manche il y a quelques jours. Grâce à l’indispensable intervention de la préfecture maritime française délivrant un avis défavorable à l’opération, le premier essai fut un échec. Le second fut heureusement couronné de succès, permettant ainsi de renouveler l’exploit de Louis Blériot, 110 ans après lui, avec un nouveau type de transport.

La parallèle de cet exploit, dont on peut voir quelques images prises depuis un hélicoptère, avec le déplacement nautique tout en mobilité douce de Greta, elle aussi filmée par une caméra de télévision à bord, est intéressant en ce qu’il montre la façon dont l’humain peut se comporter face aux éléments et, à son tour, la façon dont ce comportement sera ou non valorisé par ceux qui regardent, autour.

Difficile de ne pas voir l’adversité combattue par l’un et les tapis rouges déroulés pour l’autre. Difficile de ne pas voir que l’un risque effectivement sa vie pour ses idées (aussi farfelues soient-elles), là où l’autre risque, tout au plus, l’argent des autres pour les siennes. Difficile de ne pas noter que le premier n’engage que lui-même et ceux qui le veulent, de leur plein gré, dans ses aventures risquées, là où la seconde entend ouvertement contraindre les autres à suivre ses préceptes (aussi farfelus soient-ils). Impossible de ne pas voir que l’un tente de repousser les limites de ce qu’il est possible de faire ou d’imaginer, tandis que l’autre s’ingénie à rapprocher dangereusement nos limites de niveaux moyenâgeux.

Et surtout, en termes de message, le premier réveille en chacun le désir d’aventures et d’expériences nouvelles là où la seconde entend bien éteindre toute velléité de courir le monde et favoriser un indispensable repli sur soi nécessaire à une mort aussi silencieuse et ennuyeuse que possible.

Il est dès lors extrêmement éclairant que le premier soit régulièrement la cible des moqueries ou des reproches de tous ceux qui entendent comptabiliser, au gramme près, les émissions de CO2, les pollutions, les risques et les impacts potentiels ou fantasmés de cette insupportable aventure, pendant que la seconde est encensée par tout ce que la presse, les politiciens et les internautes comptent de fiers défenseurs d’une cause pourtant complètement déprimante et foncièrement ancrée dans un malthusianisme et un collectivisme qui ont tous les deux amplement démontré leur nocivité.

Le contraste entre Franky et Greta, c’est le contraste entre deux mondes diamétralement opposés. Le premier est celui qui a propulsé l’Homme sur la Lune, lui a ouvert l’air et l’espace et lui apporte, quotidiennement par ses inventions, la prospérité, une hygiène et une qualité de vie inouïe pour une part maintenant très majoritaire de la population dans le monde.

Le second, c’est celui qui pousse les politiciens à des décisions tous les jours plus idiotes, qui impose à chacun un repli sur lui-même, un abandon en rase campagne bio éco-consciente de ce qui fit sortir tant d’individus de leur misère quitte, d’ailleurs, à les y replonger pour toujours. C’est aussi ce monde qui permet aux riches hypocrites de barricader leurs privilèges dans un capitalisme de connivence bien appliqué sous les applaudissements des peuples manipulés croyant bien faire.

En France, la presse, les politiciens et une grosse partie de la population adulent ce second monde de Greta. Souhaitons donc avec plus de Franky que le premier monde ne jette pas l’éponge, ou sinon ce pays est foutu.
—-
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Voir les commentaires (49)

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  • Peu importe le réel, la propagande a fait ses choix. Contre les peuples.

    • Si il y a tellement de propagande sans doute qu’elle ne prend pas autant qu’on nous le fait croire , sauf erreur ,les elastiques de la culotte de sainte greta ne sont pas en pur jus d’hevea equitable et livré a dos d’homme converti a l’ecologisme…

  • Ce pays est déjà foutu! De Gaulle disait déjà à son époque que les français étaient des veaux. Ils se laissent mener avec joie à l’abattoir!

    • « Les moutons vont à l’abattoir. Ils ne se disent rien, eux, et ils n’espèrent rien. Mais du moins ils ne votent pas pour le boucher qui les tuera, et pour le bourgeois qui les mangera. Plus bête que les bêtes, plus moutonnier que les moutons, l’électeur nomme son boucher et choisit son bourgeois. Il a fait des Révolutions pour conquérir ce droit. »
      Octave Mirbeau, La Grève des électeurs

  • Perso ça va me faire revoir mon incrédulité devant toutes les théories de la réincarnation 😉 . Ici, c’est d’une fourberie implacable, car aucune grosse moustache ne va le démasquer dans ce corps de jeunette. Et on ne verra la terreur écologiste qu’une fois installée.

    Allez, Adolphe, sors de ce corps !

    • Si la terreur écologiste dure ce qu’a duré le nazisme, on devrait en être débarrassé assez rapidement…
      Prions juste, d’ici la délivrance, pour que les étoiles jaunes, pardon, les vignettes crit-air qu’on nous demande d’arborer sur nos véhicules, ne finissent pas par nous envoyer en camp de rééducation, en train peu émetteur de GES, bien sûr…

      • Les communismes durent plus longtemps.

        Je crains que l’on en ai pour au moins une génération ou deux, le temps que le système fasse faillite.

  • GT va assister à une conférence des Nations-unies sur le climat. Il est peu probable que les participants y aillent tous par des moyens non producteurs de CO2. Il est donc étonnant qu’elle n’exige pas que la conférence se tienne en visioconférence 😉

    • Si visio, pas de putes et petits fours. Ce serait tropporible.

      • Ca a l’air d’une blague dit comme ça, mais en fait c’est tout à fait ça: quel intérêt de militer pour quoi que ce soit, si ce n’est de faire la nouba avec tes copains comme qui pensent comme toi, et de préférence au frais des autres?
        C’est ainsi que le socialisme et tous ses dérivés est né.

    • Ca se fera dès que l’ONU aura assez de personnel et de matériel pour venir installer chez chacun des participants son système de visio sécurisé…

      • Il faudra aussi revenir le reprendre. D’où 2 aller-retour. Que ne faut-il pas faire comme conneries pour économiser juste un vol…

    • A xc.
      Mais voyons, un peu de sérieux, une visioconférence n’est médiatique !

  • Personne n’a songé à lui dire (à elle et aussi à tous les politicards) que la visioconférence c’est encore mieux qu’un bateau pour gosse de riches ? …
    Parce que s’il fallait montrer que l’écologie-bobo c’est réservé à quelques happy few, et est clairement anti-social pour tous les autres, ça ne pouvait pas mieux tomber…

  • Je suis #Zapata, mais il m’arrive souvent de #zégrété 😉

  • La suedoise , y en a marre par contre des Zappata ,on en redemande ..et sa voiture volante c’est mieux que la planche de retour vers le futur..et pas electrique genre gadjet dronique , du bon vieux kerozene bien polluant et détaxé …

  • Greta habite dans un grand appartement qui coûte une blinde. Comme nos élus du monde entier ils essayent de conserver une certaine « qualité » de vie. Même si (pas de bol) il faudra castrer les 99 pour cent pour cela. C’est bien comme Macron ou n’importe quel capitalisme de connivence. L’écologie de circonstance, celle qui vient de la peur du monde et de l’autre. Du coup ségo va t’elle se joindre au voyage ? J’imagine la douche pas top quand même 😉 et notre hidalgo suivant en pédalo serait un plus. Ça ne fait plus vraiment rire avec notre économie nous n’avons plus les moyens pour ces foutaises. A priori eux si ?!

  • J’imagine l’arrivée de Greta en baie de New York a bord de son précieux voilier zéro carbone,accompagnée pour son arrivée triomphale par une armada de fans digne du débarquement de Normandie.

    • Tous en bâteau à moteur. Imaginez la tronche de la Greta devant toutes ces voluptes voluptueuses de CO2… Elle qui voit le CO2 à l’oeil nu…
      Ou bien. elle se foutrait de notre gueule… ❓

  • un des résumes du rapport du giec est destiné aux..décideurs…
    rien que ça ça devrait faire réfléchir…et au moins discuter…

    eux et nous…

    • J’imagine que le terme est « executive summary », terme qui dans mon expérience se traduit par « résumé à l’intention de ceux qui n’ont pas le temps ni le besoin de lire le texte complet ».

      • Bah ,ils n’ont pas trop de temps a consacrer a une histoire de fous qui roule toute seule avec leur « serfs » des medias…tres compétents en passant.

        • Je dis ca parceque je regarde un quart d’heure par jour lci pour voir ce que devient l’espece humaine ,la caste dirigeante, les autres sont deja a l’etat de singe ,dans un zoo, en attente de cacahouètes.

        • Le GIEC exploite manifestement les biais volontaires de traduction vers le français. Ca explique sans doute que les USA soient moins enthousiastes, eux qui savent qu’un panel n’est pas un groupe d’experts et que quand on résume honnêtement, on le fait pour le lecteur lambda qui cherche à se cultiver exactement de la même manière que si c’était un « décideur »…

  • Intéressante la confrontation de ces deux traversées : celle de Zapata qui réalise un véritable exploit technologique et sportif; et celle de Greta, un exploit de l

  • (suite) exploit de la bêtise crasse la plus aboutie…

    • Ouais mais la p’tite greta verra le pape , sans doute elle deviendra une sainte… Zapata….les banquiers n’en feront qu’une bouchée le moment venu.

  • Ouf !
    Jusqu’à présent la Greta n’a pas encore remarqué qu’il y a du CO2 (cétroporrible) dans la bière…

    • A Leipreachan.
      Elle l’ignore surement, sinon (horrrrreur !) elle l’aurait vue et dénoncé…. à moins qu’il y ait des « catégories » de CO2 qu’elle voit d’autres non ! Allez savoir, avec sainte écolo-greta !!!

  • La Dinde et l’Utile.!!!

  • De nos jours, on se passionne pour « Plus belle la vie » ou « Game of Thrones » et on ne sait même plus ce qu’étaient « L’homme des vallées perdues » ou « Rio Bravo ». Il y a un goût pour les séries à rallonge moyennement vraisemblables où il ne se passe que des broutilles, et une grande indifférence envers les héros solitaires qui révolutionnent les choses en respectant les trois unités.

  • Le fond de l’article me semble tout à fait pertinent mais j’ajouterai quelques remarques :

    Il me semble que le bateau Malizia II est en fait un bateau de course IMOCA 60 pieds en cours de préparation pour le prochain Vendée Globle. Et donc sans aucun confort superflu pour gagner du poids. Pas de lit, pas de toilettes, pas de douches, pas de cuisine. Tout en carbone et donc extrêmement bruyant. Avec le vent dans le pif pour aller à NYC, notre Sainte Greta va souffrir ! Peu ou pas de sommeil car trop bruyant pour dormir, mal de mer garantie sur facture, bouffe lyophilisée certainement pas bio, et, au mieux, sac à caca conservé dans le bateau pour les plus écolos, sinon c’est le seau et par dessus bord ensuite. Et côté toilette c’est lingettes pas écolo-compatible non plus pour éviter de sentir le castor mouillé en arrivant.

    Il me semble que la comparaison avec Franky Zapata n’est tout à fait bonne car ce type de bateau est dans la même lignée de ce qu’il fait : repousser les limites du possible. Les IMOCA et les Ultimes poussent la technologie à ses limites pour faire voler les bateaux.

    Ce qui m’amène à me poser la question de la pertinence du choix de ce bateau, par rapport à un Ocean Explorer par exemple, par l’entourage de notre Sainte Greta ?

    Je ne vois pas très bien, sauf à chercher la traversée la plus rapide en bateau pour maximiser son capital médiatique. Il n’y avait pas d’Ultimes disponibles sans doute !

    Je pense aussi qu’on se situe plutôt dans la mutation du sponsoring des grandes courses où on associe une cause au sponsor (vaincre -faites votre choix-) pour « paraître » moins diabolique quand on verse quelques millions à un athlète plutôt qu’à la cause elle même. Et que le Team Malizia y a vu une opportunité pour faire du green washing.

    Ce choix donne une visibilité très crue sur le peu de profondeur de réflexion de l’entourage de notre sainte !

    Enfin, il est aussi ironique de regarder la lignée des propriétaires du bateau et grands mécènes de la voile : d’abord dans la famille Rothschild (Team Gitana) puis dans la famille Casiraghi (Team Malizia).

    • Le premier vol autonome d’avion motorisé a parcouru 12 mètres… avec 1 passager à son bord. Mais c’est parce qu’ils y ont cru et qu’ils poursuivi leurs efforts qu’on a aujourd’hui des avions long courrier portant plusieurs centaines de passagers, pour une consommation de carburant individuelle inférieure à 150 l pour un Paris-New York.
      L’engin de Zapata pourrait bien être amélioré, voler plus loin avec une consommation moindre, mais par chez nous on préfère « innover » des trottinettes électriques qui font chier le monde.

      • Difficile à améliorer car il utilise des turbines dernière génération et cette technique de vol sans ailes pour la portance n’est guère améliorable. (Actuellement, un avion moderne tourne à 3 l /passager/100 km en moyenne) .

        • « Il y a ce que l’on voit et ce qu’on ne voit pas »
          Ne jamais oublier cette leçon.
          Un avion moderne, c’est aussi des millions de mètres cubes de béton par aéroports et des hectares de terrain, des transports pour s’y rendre (des trains, des métros, des autoroutes) donc du carburant, etc.
          Pour Zapata, c’est un mètre carré d’herbe n’importe où.

          • Et l’avion moderne, c’est des dizaines (centaines) de millions de voyageurs sur des millions de km parcourus ! Zapata lui est tout seul pour si peu de km parcourus, avec de nombreux accompagnateurs et soutiens techniques qui accroissent encore plus la dépense énergétique !

      • En fait l’equation de Tsiokovski limite la performance de ce genre de machine: les turbines ont des isp de l’odre de 3000 et ratio de poussée 10. Même avec un barril à la place de Zapata et voler tout juste, maximum 1h30.
        La bonne solution est d’augmenter le Cx de l’ensemble avec par exemple « un carénage » pour augmenter la portance. Au minimum un wing suit. Mais on se rapproche d’un avion… Le corps humain n’est pas très aérodynamique.

        • et assez fragile …un exploit certes… spectaculaire , sans doute utile dans certains cas.. mais…pas une révolution globale du déplacement…

  • De qui se moque-t-on ?
    Des « bananes suédoises » ?! Tiens, un scoop ! La Suède, pays producteur de bananes ?! Sont-elles issues des serres suédoises dégageant « zéro carbone » ? Si non, de quel pays viennent-elles ? Ont-elles franchi les océans à la nage ou par voiliers « zéro carbone » ? Quoi qu’en soit la réponse, ces bananes « empestent » et traînent dans leurs sillons un « relent de pollution »… tout comme ce tintouin, autour de la « sainte greta-écolo » – qui n’a pas d’avis sur le CETA- mais qui est adulée par ces journaleux puants de supercherie et d’hypocrisie ! Ras le bol de ce pharisaïsme sociolo-écolo-bobo !!!!
    Une dernière chose : qu’on fasse vivre cette « greta gâtée » selon ses principes écolo, (aucun plastique, ni fruits ni légumes non « produit local », ni smart-phone, déplacement uniquement à pieds (vélo, train, auto, bateau à proscrire car productions polluantes)… etc… Evacuant toutes ces fabrications, elle déchanterait vite la gamine par ce retour brusque au Moyen-Age !… N’omettons pas l’effondrement économique qui s’en suivrait !
    Et que les sociolo-écolo-bobo ne répliquent pas avec leur arguments à gomme : éoliennes, panneaux solaires… etc… qui sont fabriqués avec des produits polluants, souvent non recyclables et surtout peu productifs et non fiables !

  • Rien de neuf finalement… Sous Staline on instrumentalisait déjà les enfants…ça continu…
    Dés fois je me demande quelle issue il y reste à tout ça… Des milliers (dizaines, centaines de milliers…) de Français diplômés ou simplement motivés ont fuis le pays… (vers les US, la Grande Bretagne,la Suisse, le Canada, l’Australie…) certains sont revenus, mais pas beaucoup…
    Il ne reste que des hordes d’assistés, de voyous, de propres à rien qui ne pensent qu’a réclamer de l’aide sociale sans se demander de quelles poches l’argent sort…
    et il reste une poignée de garçons et de filles sur ce site qui croit que le collectivisme ambiant peut disparaitre… Mais comment?
    L’immense majorité de nos compatriotes ne comprend rien à rien et leur expliquer revient à tenter de faire comprendre la théorie de la relativité à une poule… Ce pays est foutu c’est certain… Et les quelques centaines que nous sommes encore seraient peut être bien inspirés de se construire une arche pour se tirer avant que le spectre de la guerre civile nous rattrape, quant il n’y aura plus d’argent pour payer tout ce social…
    On demandera à Zapata de nous faire les plans…

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