Il faut se méfier des hommes

Certains disent qu’il faut se méfier des hommes, et ils ont bien raison. Comment leur faire confiance ?

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individus miroir CC Hassan Kardous

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Il faut se méfier des hommes

Les points de vue exprimés dans les articles d’opinion sont strictement ceux de l'auteur et ne reflètent pas forcément ceux de la rédaction.
Publié le 4 août 2014
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Par Baptiste Créteur

individus miroir CC Hassan Kardous
Photo : Hassan Kardous

 

On reproche souvent aux défenseurs de la liberté, de la responsabilité ou simplement de l’autonomie leur foi en l’homme. Certains seraient incapables de se prendre en main eux-mêmes, n’auraient pas les capacités ou opportunités leur permettant de devenir des hommes accomplis, ou seraient fondamentalement mauvais.

Pour protéger l’ordre et l’innocent, ou simplement pour éviter le creusement des inégalités et le développement des injustices, il faudrait donc réguler et encadrer les hommes et leurs actions. Et pour cela, nous aurions besoin de laisser certains hommes exercer le pouvoir. Que ces hommes soient dotés de capacités ou valeurs supérieures, ou que leur appétit pour le pouvoir soit limité par des contre-pouvoirs efficaces, ils éviteraient alors le chaos que les hommes généreraient naturellement en société.

Mais l’histoire montre qu’en dehors de rares exceptions (et encore), il est impossible de faire confiance aux hommes de pouvoir. Parce qu’ils sont naturellement mauvais ou parce que le pouvoir les corrompt, ils cherchent systématiquement à étendre leur pouvoir plus que tout.

Le pouvoir corrompt, le pouvoir absolu corrompt absolument. – Lord Acton

Et en ce sens, on ne peut pas totalement faire confiance aux hommes, notamment aux hommes de pouvoir.

Il est plus difficile de limiter la capacité de nuisance des hommes de pouvoir que celle des criminels de moindre envergure. Il suffit pour cela d’augmenter leurs chances de se faire prendre et les punitions au cas où ils se font attraper ; la punition plus probable et dure dissuade même les auteurs de crimes passionnels.

Mais, sans être intentionnellement mauvais comme l’homme de pouvoir et l’homme mauvais, il est un homme dont il faut se défier par-dessus tout : l’homme servile.

L’homme servile est celui qui est prêt à accepter à peu près n’importe quoi pourvu qu’il pense y gagner ou qu’on le laisse tranquille.

Nombre d’infamies ont été commises car ceux qui auraient pu les empêcher. De l’agression de rue où les témoins n’interviennent pas aux exactions de régimes entiers, l’indifférence des spectateurs nous parait toujours aussi stupéfiante. Il ne faut pas tant parler d’homme servile que d’homme indifférent.

Et comment ne pas le devenir, quand toute la vie politique devient révoltante ? Si les réactions des Français semblent se polariser, c’est sans doute avant tout parce qu’ils oscillent entre tristement indifférents pour les uns et écorchés vifs pour les autres.

Il ne faudrait pas tomber dans le piège de penser que toute révolte est bonne, toute indifférence mauvaise. La France regorge de révoltés professionnels, intermittents, lycéens ou de banlieue qui manifestent pour de très mauvaises raisons. Ils défendent l’immobilité : l’acquis, le statut, le statu quo. Ou cherchent à étendre leurs privilèges supportés par les autres. Et ce qui devrait révolter les Français semble les laisser de marbre ; chaque affaire est perçue comme la mauvaise action d’un homme ou d’un clan, rarement comme un échec du système (ne serait-ce qu’en rendant les affaires possibles).

Et il ne faudrait pas penser que tous les hommes sont mauvais. Ceux qui sont prêts à défendre la liberté de tous, ou au moins la leur, ceux qui sont révoltés par les abus et injustices, et indifférents aux épouvantails qu’on agite et aux problèmes qu’on invente, ceux qui font preuve d’assez d’empathie pour vouloir sincèrement tous les hommes égaux en droit, ceux-là sont des hommes libres, et il faut avoir confiance en eux.

Beaucoup désespèrent de trouver autour d’eux aussi peu de Français libéraux, et ne se rendent pas compte que beaucoup le sont profondément. Sous le vernis collectiviste se trouve en France une authentique soif de liberté, une défiance de la classe politique et une rébellion face à l’impôt.

Les Français commencent à percevoir qu’au-delà des rivalités partisanes, il n’y a qu’une bande de bras cassés se battant pour dépenser leur argent et faire la loi parmi eux. Que leur modèle social est une machine à générer des injustices et leur État le bras armé de lobbies.

Les mêmes causes ont produit aux États-Unis l’émergence des idées « libertariennes » en politique. Mais les Américains sont naturellement plus attachés à la liberté. Produiront-elles les mêmes effets en France ? Ce n’est qu’alors que l’on saura si la France mérite d’être une société de défiance.

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  • les hommes de pouvoir , serviles , pleutres , menteurs , cupides , aveugles et sourd ; comment leur faire confiance ? l’homme en général , je parle de toute l’humanité bien sur , indifférends , égoïstes , et aveugles lui aussi ; nous somme en 2014 , une guerre plane sur l’europe , et les hommes de pouvoir n’ont apparament….aucun pouvoir pour éviter le chaos qui se prépare ; les hommes de pouvoir sont des vendus , il ne faut pas leur faire confiance ;

  • L’autorité de l’Etat est essentiel. On peut très bien concilier autorité de l’Etat, Etat de droit, libéralisme et démocratie.
    S’il n’y a pas d’Etat, c’est l’anarchie qui règne.
    Les libéraux me font bien rire, quand ils dénoncent les politiques sécuritaires et qu’ils demandent en même temps la liberté d’entreprendre. Ils ne comprennent pas qu’il faut concilier liberté et sécurité. Sinon, c’est l’anarchie, les entrepreneurs seront confrontés à des hordes de délinquants qui viendront piller leur propriété. Hobbes n’a pas tort quand il dit que l’Homme est un loup pour l’Homme, de nombreuses personnes ne sont animés que par l’intention de nuire à leur prochain.
    Sarkozy concilie liberté et sécurité. Que vous le vouliez ou non, la loi TEPA était une loi libérale centrale de son quinquennat, et Sarkozy a mené aussi des lois sécuritaires.
    Quant à l’argument de la dette sous Sarkozy, ll faudrait rappeler que Ronald Reagen, président considéré comme libérale, a beaucoup plus augmenté la dette que Sarkozy. Sarkozy a été confronté à la crise et donc du dépenser pour venir en aide à l’économie, (tous les pays ont fait çà, Angleterre, USA…) Gordon Brown n’est pas un socialiste.
    De plus Sarkozy a commencé à mener des politiques de réduction des dépenses: carte judicaire, hospitalière, scolaire, non remplacement d’un fonctionnaire sur deux, réforme des retraites.

      • l’homme est capable du pire … quand l’état lui en donne les moyens. Parce que sinon, avec ses petits bras, un homme ne peut pas faire grand chose de mal.
        Curieusement les listes de tueurs en série et tueurs d’enfants n’inclut pas les plus célèbres et les plus remarquables : alexandre, cesar, gengis khan, louis XIV, napoléon, etc.

        • « l’homme est capable du pire … quand l’état lui en donne les moyens. Parce que sinon, avec ses petits bras, un homme ne peut pas faire grand chose de mal. »

          Je vous conseil un voyage en Indonésie avec visites gratuites des usines textiles (celles qui ne sont pas sur le guide). Les états n’y sont pour rien dans ce que vous y découvrirez pour peu que vous ayez l’honnêteté intellectuelle de voir la réalité.

          • Si les gens y bossent, dans ces usines de merde, c’est que de leur propre avis c’est mieux pour eux que ne pas le faire.
            Avec l’État en plus …
            soit l’usine ferme, et la situation des ouvriers est pire (la preuve, c’est qu »ils y vont alors que rien ne les y oblige)
            soit l’État fourni des barbelés, des miradors et des gardes armés pour que les ouvriers ne puissent pas sortir, et leur situation est pire.
            soit il ne fait rien et … non, ça c’est impossible ; l’État, c’est toujours des emmerdes, des taxes, des règles alakon et bien sûr de la corruption, encore de la corruption, toujours de la corruption)
            Et c’est toujours pareil …
            Pour chaque mal qu’un homme peut faire seul, il existe le même mal avec l’Etat qui intervient, et c’est 10, 100, un million de fois pire, jamais « mieux ».

            • Quand vous vivez pauvrement vous n’avez pas d’autres choix que d’accepter de travailler dans des conditions inhumaines et de vous faire fouetter, car le droit du travail y est inexistant. (en parlant , de droit du travail, je propose de s’inspirer du droit du travail suisse, beaucoup plus pragmatique et moins lourd libérale mais qui tient compte du droit des salariés)
              Qui c’est qui a aboli l’esclavage ? L’Etat, Qui c’est qui a proclamé le droit de propriété, l’égalité en droit, la liberté (qui ne veut pas dire que l’on peut tout faire, dans la limite de la loi pour ne pas empiéter sur la liberté d’autrui) ? L’Etat (Assemblée Nationale Constituante)
              Ce sont les hommes qui ont crée l’esclavage, parce qu’ils sont fondamentalement mauvais, et c’est l’Etat qui l’a aboli. Vous qui vous plaigniez tant de l’intervention de l’Etat.
              Les esclavagistes sortaient des arguments libéraux pour expliquer que l’Etat n’avait pas à se mêler de « leur propriété ».

              • Tiens, vous m’avez appris quelque chose. Moi qui croyais bêtement que l’Etat était créé et dirigé par des hommes, j’apprends aujourd’hui qu’en fait Lincoln et les autres étaient des entités abstraites totalement préservées de la nature humaine.
                Je suppose donc, Sarkozyste, que vous vouez le plus grand respect aux actes et décisions de M. Hollande. Après tout, pour 5 ans, il n’est plus un homme susceptible de faire des erreurs, mais l’Etat.

              • Du grand Nawak …
                contresens total sur l’esclavage : sans lois pour le faire appliquer, sans état pour le maintenir, il n’y a pas d’esclavage, il y a juste une séquestration d’un individu par un autre. L’État a pu abolir l’esclavage parce que c’est lui qui l’avait créé, en organisant une exception ignoble au droit des gens à vivre en maitre d’eux-même, en créant une catégorie juridique des humains-choses dès la naissance !
                Et autre contresens sur la proclamation de 1789, (que vous n’êtes même pas capable de citer correctement … : propriété, égalité en droit, sureté, résistance à l’oppression). Ce sont des hommes qui proclament, pas un Etat. L’Etat qui n’existe pas encore au sens où ceux qui font la proclamation le conçoivent, et ils proclament justement ce que l’État doit être, à quoi il sert, et ce qu’il n’a pas la légitimité de faire (bien qu’il le puisse, techniquement)

                « Les esclavagistes sortaient des arguments libéraux pour expliquer que l’Etat n’avait pas à se mêler de leur propriété ». ouais, c’était de bonne guerre, mais ça restait de la pure mauvaise foi. Moi je n’hésite pas à use d’arguments socialistes pour détruire le socialisme, ça ne fait pas de moi un socialiste plus qu’user d’une parodie d’argument libéral ne défini le libéral.
                Pour être tout à fait juste, certaines formes de libéralisme peuvent à la rigueur justifier qu’un individu se vende lui-même à un autre (mais alors avec des formalités bien lourde, afin que le consentement soi bien établi), mais aucune ne reconnait comme légitime une appropriation à la naissance ou par capture.
                Victor Schœlcher était député libéral, les bonapartiste (ancêtres des Sarkozystes) étaient des conservateur esclavagistes.

    • s’il n’ y a pas d’état, c’est deux entités qui prennent sa place : les mafias et le clergé.
      le role principal de l’état est donc de pratiquer un pouvoir légitime en remplaçant d’autres qui ne le sont pas …

    • « Quant à l’argument de la dette sous Sarkozy, ll faudrait rappeler que Ronald Reagen, président considéré comme libérale, a beaucoup plus augmenté la dette que Sarkozy. »
      Très beau contre-argument. Mais je dirais surtout qu’il faudrait rappeler que George Bouche aimait péter dans son bain.

  • Cà ne vous arrive jamais de vous énerver quand quelqu’un vous dit « touches moi pas tu me salis » ?
    Vous libéraux, si attachés au droit de propriété, vous devriez justement défendre les politiques sécuritaires, car s’ll n’y a pas de policiers, comment voulez vous que le droit de propriété en soit réellement un ?
    Un exemple: Attentat de Boston, 2013; Le coupable a été arrêté grâce à la vidéosurveillance, si décrié par les libéraux.
    En quoi la vidéosurveillance est elle une atteinte à nos droit ? On peut circuler librement, les seules choses que l’on a pas le droit de faire, c’est ce qui est interdit dans les lieux publics (tuer, voler, racketter, violer, agression sexuelle, fumer du cannabis) Quoique en France, bien que le cannabis soit interdit, on peut quand même le fumer, même devant des policiers ou des caméras de surveillance, la justice est tellement laxiste et Maman Taubira en supprimant les peines planchers mis en place sous Sarkozy, a l’intention de vider les prisons.
    Je suppose que vu que vous êtes des libertaires (le libertarisme est le vice du libéralisme, comme l’égalitarisme est le vice de l’égalité), vous êtes pour la légalisation du cannabis. Je suis contre car cela ne mettra pas fin aux trafics, les traficants se reconvertiront dans le crack, l’ectasy et la cocaine.

    • Bonjour sarkozyste
      « En quoi la vidéosurveillance est elle une atteinte à nos droit ? »
      Perso je suis contre la vidéosurveillance parce que je ne veut pas d’un ordre policier. La police n’a pas à surveiller constamment les gens. La police doit être au service des citoyens et ne doit intervenir qu’à la demande de citoyens pour un délit précis.

      « les traficants (sic) se reconvertiront dans le crack, l’ectasy et la cocaine. »
      Mais je suis pour la dépénalisation de toutes les drogues.

      • La vidéosurveillance n’est pas une atteinte à nos libertés (d’ailleurs en France, même ce qui est interdit est toléré). On a le droit de circuler, de s’exprimer, de vendre, d’entreprendre…
        Elle n’est pas non plus une atteinte à notre vie privée. Quand vous êtes dans la rue, il y a plein de gens qui ne vous connaissent qui vous voit, faudrait il interdire à ces gens de vous regarder.
        Il faut arrêter de dire que l’Etat exerce une dictature, en France, l’état est que vous le vouliez ou non républicain et démocratique.
        Quant à la drogue, vous voulez également la légalisation des drogues dures ?
        Cela ne mettra pas fin aux trafics, les gens continueront d’en vendre illégalement.
        Mettre en place une police privé ? La plupart des libéraux veulent restreindre l’Etat à ses compétences régaliennes (la police est une compétence régalienne)
        La vidéosurveillance existe dans toutes les sociétés démocratiques (Angleterre, USA)

        • Rebonjour Sarkozyste
          J’ai pas dit ça.
          J’ai dit que je ne voulais pas un ordre policier, un état policier, d’un état qui surveille tout, qui écoute tout le monde.
          Je regarde l’état est de plus en plus intrusif, il connait vos comptes en banque, il écoute ce qu’il se passe sur internet, etc…
          Pour la drogue, je parle français, j’ai dit toutes les drogues.
          « Cela ne mettra pas fin aux trafics, les gens continueront d’en vendre illégalement. »
          Alors là c’est le grand n’imp quoi. Si c’est légal je ne vois pas comment on peut le vendre illégalement.
          J’ai jamais parlé de police privé, faut suivre ce que j’écris. La plupart des libéraux veulent diminuer la surface d’intervention de l’état et au contraire recentrer l’action de l’état sur ses fonctions régaliennes (police justice armée diplomatie)
          Cordialement

        • La vidéo-surveillance donne à certains le droit de s’immiscer dans ma vie privée. Ca ne me gênerait pas outre mesure si je savais que je pouvais leur faire confiance pour n’utiliser ce droit que de manière raisonnable, et de n’utiliser ces images contre moi qu’en cas de véritable délit. Pas de violation d’un règlement, dont notre parlement nous pond des douzaines de plus chaque semaine, mais bien un délit où quelqu’un est effectivement lésé. Ca n’est évidemment pas le cas.

          Je suis aussi pour la légalisation des drogues dures, et l’inscription de l’emprise de la drogue comme circonstance aggravante dans les véritables délits, ainsi que le refus de toute aide publique à ceux qui se droguent. Tant qu’ils ne nuisent qu’à eux-mêmes, ça n’est pas à moi de demander réparation. Je peux me contenter de défendre l’abstinence par des actes personnels.
          Et soyez cohérent, si c’est légalisé, la vente illégale n’existe plus.

          Les polices privées seraient la preuve que l’état ne remplit pas ses fonctions régaliennes, lesquelles, même pour ceux qui ne sont pas libéraux, devraient être prioritaires par rapport à toutes les autres.

        • « La vidéosurveillance n’est pas une atteinte à nos libertés »

          Ben si, quand même.

          « On a le droit de circuler, de s’exprimer, de vendre, d’entreprendre… »

          Ben pas comme on veut. Et si on est surveillé, on peut se faire réprimer parce qu’on l’a fait d’une façon qui ne plait pas à machin socialaud ou à chose puritain.

          « Quand vous êtes dans la rue, il y a plein de gens qui ne vous connaissent qui vous voit, faudrait il interdire à ces gens de vous regarder.»

          Entre se faire regarder et se faire épier, il y a une différence. Au fait, connaissez-vous déjà la différence entre coucher et violer ?

          « Il faut arrêter de dire que l’Etat exerce une dictature, en France, l’état est que vous le vouliez ou non républicain et démocratique. »

          Voilà les mantras… Comme si républicain était une vertu… Comme si la démocratie signifiait la liberté…

          « Quant à la drogue, vous voulez également la légalisation des drogues dures ? »

          Franchement, comme si cela allait empêcher les gens d’en consommer… Et si les gens en consomment, vous allez les punir pour leur bien ?

          « Cela ne mettra pas fin aux trafics, les gens continueront d’en vendre illégalement. »

          Si c’est légal, les traficants seront en concurrence avec les légaux. D’ailleurs, regardez ce qu’il se passe aux USA avec la légalisation dans certains états: les cartels mexicains sont en faillite.
          Et la DEA harcèle les vendeurs légaux parce que sans cartels, ils peuvent plus justifier leur existence…

          « Mettre en place une police privé ? La plupart des libéraux veulent restreindre l’Etat à ses compétences régaliennes (la police est une compétence régalienne) »

          L’un n’empêche pas l’autre.

          « La vidéosurveillance existe dans toutes les sociétés démocratiques (Angleterre, USA) »

          Et les politiques socialistes aussi, et la guerre aussi, et les lois mauvaises aussi…
          L’esclavage a existé aux USA jusqu’à la 2e moitié du XIXe, c’est un argument pour légitimer l’esclavage ?

          • Comparer l’esclavage à la vidéosurveillance, c’est révoltant.
            Ce sont justement les socialistes qui défendent dans leur grande majorité la légalisation du cannabis.
            C’est une question de santé publique, nos hôpitaux sont public (je suis contre leur privatisation, je suis une libéral modéré, d’ailleurs, les ultras libéraux devraient arrêter d’être dogmatique et de penser qu’il faut tout privatiser) Si c’est privé comment les pauvres vont se le financer, car je suis désolé, construire un hôpital, cela coûte cher.
            Je persiste à dire que les parents peuvent se servir de l’interdit pour dire à leur enfant de ne pas fumer.
            D’autant plus que votre peur de l’Etat vire au paroxysme/.
            Il faut arrêter de penser que la liberté peut être absolu.
            Le droit à la liberté, et à la propriété, c’est un principe et qui dit principe dit exception. Notre Etat que vous le vouliez ou non est républicain et démocratique.
            Quant à la vidéosurveillance, on ne nous épie pas, c’est comme si vous disiez que vous étiez épiés si il y avait un policier dans la rue. Car de toute façon, un policier dans la rue ou la vidéosurveillance, c’est la même chose. Le policier qui vous regarde à travers la caméra, n’en a rien à faire de vous du moment que vous n’enfreigniez pas la loi. Vous pourriez faire le guignol, tirer la langue, embrasser votre copain ou copine, montrer vos penchants homosexuels, il n’en aurait rien à foutre.
            Arrêter de penser que notre pays est socialiste ! La dette ? (Ronald Reagen a laissé courir les déficits, cela n’en fait pas pour autant un socialiste)
            Quant à l’Etat oppresseur de nos libertés ? La liberté, c’est tout ce qui n’est pas interdit et globalement je trouve qu’on vit dans un pays assez libre, on peut même faire ce qui est interdit, la justice est tellement laxiste. La preuve, la préfecture de police interdit avec raison des manifestation propalestiniennes, et elles sont quand même organisés et cela dégénère (preuve qu’on avait eu raison de les interdire) Et n’allez pas dire que les policiers sont antipalestiniens, la preuve, la préfecture de police a autorisé des propalestiniens à défiler et cette fois cela s’est passé dans le calme.
            Les scènes d’émeutes qu’on voit tous les jours en France prouvent justement que l’on vit dans une démocratie libérale, les policiers n’osent même pas tirer sur les manifestants, dans des pays comme les USA ou l’Angleterre, quand il y a des émeutes; les policiers tirent. En France depuis l’affaire Malik Oussekine en 1986 (ce jeune qui s’est fait tuer lors d’une manif malencontreusement par un flic, qui ne le souhaitait pas, concernant la loi devaquet visant à instaurer un contrôle des connaissance à l’entrée de l’université, certainement une bonne chose)

            • Scènes d’émeutes donc démocratie libérale ?

              Sérieusement ?

              • Vous voyez souvent des scènes d’émeutes en Chine, en Corée du Nord, au Vietnam, en Birmanie, au Qatar, en Arabie Saoudite, en Oman, au Yémen ?

            • Un vrai festival ma parole !

              « Ce sont justement les socialistes qui défendent dans leur grande majorité la légalisation du cannabis »
              – Oui mais pas pour les mêmes raisons que les libéraux : c’est une manière pour eux d’aller contre la morale bourgeoise ; s’ils sont cohérents ils sont pour la légalisation de TOUTES les drogues

              « les ultras libéraux  » – une définition svp ?

              « Si c’est privé comment les pauvres vont se le financer, car je suis désolé, construire un hôpital, cela coûte cher » – ce n’est pas le problème des « pauvres » car s’ils peuvent avoir une assurance santé ils paieront leur soins au sein d’un établissement privé sans être obligé de cotiser pour des hopitaux publics en quasi-faillite
              La santé en France coûte cher car il faut financer une assurance santé inefficace monopolistique
              Allez demander aux travailleurs frontaliers suisse ce qu’ils en pensent.

              « Je persiste à dire que les parents peuvent se servir de l’interdit pour dire à leur enfant de ne pas fumer »
              – Menacer un gosse de 11 ans de prison s’il fume un joint…
              Sinon on peut faire comme avec tout ce qui est interdit pour ses enfants (quand on a pris la peine de les éduquer) dire NON ET C’EST TOUT !

              « Arrêter de penser que notre pays est socialiste ! »
              – 57€ sur 100€ dépensés en France le sont par les services publics…on est pas encore au niveau de Cuba mais on s’approche…

              « on peut même faire ce qui est interdit, la justice est tellement laxiste »
              – disons qu’elle n’est pas laxiste dans la même intensité ; voyez-vous dans notre beau pays quand on agresse les gens on a des rappels à la loi et quand on dit q’une personne ressemble à un singe on a 9 mois de prisons ferme

            • « Les scènes d’émeutes qu’on voit tous les jours en France »
              Vous regardez trop W9.

            • « Quant à la vidéosurveillance, on ne nous épie pas, c’est comme si vous disiez que vous étiez épiés si il y avait un policier dans la rue. Car de toute façon, un policier dans la rue ou la vidéosurveillance, c’est la même chose. Le policier qui vous regarde à travers la caméra, n’en a rien à faire de vous du moment que vous n’enfreigniez pas la loi. Vous pourriez faire le guignol, tirer la langue, embrasser votre copain ou copine, montrer vos penchants homosexuels, il n’en aurait rien à foutre. »

              non, ce n’est pas du tout la même chose : j’ai une habitude tout à fait bénigne qui pourrait paraître suspecte à un oeil extérieur. je rentre du travail, je passe du temps avec mes enfants, nous mangeons, je couche mes enfants, et ensuite, je m’occupe de mes papiers devant internet et devant la télé. j’ai donc très souvent des courriers à déposer dans la boîte aux lettres, des chèques à remettre à la banque, des papiers à déposer à la caf, à la ss, aux impôts tard voir très tard la nuit. vers 22 heures, 23 heures ou 24 heures la nuit. clairement, ce n’est pas un comportement normal de sortir de chez soi à 23 heures pour aller poser un papier dans une boîte aux lettres alors qu’on peut le faire si facilement en journée de manière plus confortable.
              si il y avait une caméra dans ma rue que pensez vous que le policier pourrait penser ? il me voit sortir de chez moi, mais il ne voit pas ce que je fais car c’est dans la rue suivante où il n’y a pas de caméra… il me repère, il remarque que je sors régulièrement plusieurs fois par semaine, à des heures irrégulières, que ça ne dure que quelques minutes et il me voit rentrer chez moi.
              je ne fais rien de répréhensible, je ne commets aucun crime réel et aucun crime imaginaire, mais je deviens de facto suspect parce que j’ai un comportement anormal…

              à l’inverse, si je croise une voiture de police, je constate qu’ils font une patrouille, c’est à dire leur travail et je me sens rassuré.

    • Ah bon et en introduisant la sécurité et par exemple une lutte exemplaire contre le trafic de cannabis, tu les payeras comment les policiers ?
      Sachant que tu feras tomber un dealer un autre prendra de suite sa place….

      La politique de prohibition on voit ce que cela donne.

      La solution: libéralisation du marché du cannabis et la police se recentre sur le crime. Les pt’its jeunes ouvrent des commerces officiels de ventes et on est tous content.

      En attendant ton gosse qui fume du cannabis, fume du cirage qui lui bouffera les poumons. Il peut se prendre une bonne amende, voire si il est basané une bonne nuit au poste avec blagues racistes, fouille rectale et j’en passe. Évidemment, si tu veux te retourner contre la police qui à dépucelé la passerelle arrière de ton gosse, tu affronteras alors l’état sécuritaire dans toute sa splendeur. Celui même à qui tu as donner des armes pour te protéger….

      • Parce qu’évidemment, tous les policiers sont racistes. Il faut arrêter de voir du racisme partout, si des personnes de couleur sont arrêtés, c’est qu’elles ont commis un délit.
        Vous me faites penser aux soixanhuitard qui criaient « CRS SS » et « il est interdit d’interdire ».
        Une société démocratique a tout à fait le droit d’interdire. Quant au cannabis, il ne faut pas le légaliser car si des parents arrivent à convaincre leurs enfants de ne pas fumer, c’est en se servant du prétexte de l’interdit, ils se servent de la loi pour convaincre leurs enfants de ne pas fumer.
        Les drogues sont des produits dangereux.
        Edouard Balladur, assez libéral sur le plan économique, a lui même dit que la phrase « il ne faut pas interdire d’interdire » était la plus grosse ânerie de Mai 68.

        • « si des parents arrivent à convaincre leurs enfants de ne pas fumer, c’est en se servant du prétexte de l’interdit »

          Si les parents arrivent à convaincre leurs enfants de ne pas fumer, c’est en se servant de raisonnements sensés. Je ne connais pas de cas où les parents obtiennent de bons comportements de leurs enfants par le prétexte de l’interdit.

        • « Une société démocratique a tout à fait le droit d’interdire »
          Je ne connais pas un pouvoir qui s’interdit d’interdire. Un pouvoir c’est même à cela que l’on le reconnait, c’st sa capacité de contrainte.
          « à convaincre leurs enfants »
          A ça l’argument des enfants un graaaaand classique pour imposer les lubies du pouvoir aux individus.
          « Les drogues sont des produits dangereux. »
          Ah bon !!!
          « Edouard Balladur, assez libéral sur le plan économique, »
          Je suis désolé mais balamou n’est pas ma référence.
          Cordialement

        • « Une société démocratique a tout à fait le droit d’interdire. »

          Qu’il est lolilol, le socialaud.

          « Edouard Balladur, assez libéral sur le plan économique, a lui même dit que la phrase « il ne faut pas interdire d’interdire » était la plus grosse ânerie de Mai 68. »

          Encore un qui a tout compris…

        • On vend bien un psychotrope très puissant en bouteille à peu près partout France et c’est un business plutôt rentable…

        • « Quant au cannabis, il ne faut pas le légaliser car si des parents arrivent à convaincre leurs enfants de ne pas fumer, c’est en se servant du prétexte de l’interdit, ils se servent de la loi pour convaincre leurs enfants de ne pas fumer. »

          quand à moi, ce n’est pas avec le prétexte que je convainc mes enfants de ne pas fumer (de tabac ou de cannabis), c’est en leur montrant l’exemple et en leur disant que fumer, c’est ringard, ça coûte cher et qu’on laisse ça aux faibles de caractère qui se laissent influencer.
          il y a tellement d’interdits et de crimes imaginaires… j’apprends au contraire à mes enfants à braver les interdits stupides.

      • Rien n est pire qu une approche idéaliste des problèmes : vouloir tout interdire en matière de drogues ou bien tout autoriser sont deux approches identiquement rigides et à mon sens inadaptées. Par ailleurs j imagine que le plus libéral sera d accord avec le fait que l on ne peut considérer raisonnablement l accès à toutes les drogues à des enfants du collège/primaire . Donc on voit bien qu’il y a matière à réflexion .
        Regardons les médicaments : serait il sain de tous les vendre au supermarché ? Je ne pense pas que cela soit souhaitable . Même aux UK , pays assez libéral, cela ne se fait pas …
        Revenons en aux drogues : avez vous parle à des ex drogues ? Ce sont les premiers a prôner l interdiction à la vente libre . Ayez la curiosité de rencontrer des ex accros aux cannabis/acides . Ceux qui sont pour sont les consommateurs qui n ont pas su décrocher ….. En faites vous partie ??

        • Un enfant contrairement à un adulte n’a pas à être libre de toutes ses décisions personnelles car il n’est pas responsable !

          Vous allez attendre que votre bébé atteigne ses 16 ans ou vous allez le vacciner dans les mois qui suivent la naissance ?
          Vous laissez votre/vos enfants choisir leur menu ? jambon frites toute l’année !

          Idem pour les produits stupéfiants : on ne refile pas de la vodka / cannabis / LSD à un gosse quand on est normalement constitué ; si malgré tout ce que vous avez pu lui transmettre sur les dangers liés à la consommation de drogues il passe outre à sa majorité c’est son choix

          L’argument des ex-drogués…chaque cas est « unique » mais les problèmes liés à la drogue sont accentués par l’illégalité de son commerce
          La prohibition aux USA a enrichi les mafieux et n’a pas limité l’alcoolisme

    • En quoi, concrètement, le sécuritaire viole t’il la liberté ? Les caméras de surveillance n’enlèvent rien à votre liberté et à vos droits, alors en effet, vous ne pouvez pas faire des choses interdites, mais il n’y aurait pas ces caméras de surveillance, vous n’auriez toujours pas le droit de faire des choses interdites.
      Quant à la vie privée, les caméras dont on parle sont dans des lieux publics (rue, avenues, administrations publics, hôpital…) Vous avez une vie privée dans un lieux public, vous ? De plus, si on considère que toutes les caméras de vidéosurveillance sont une atteinte à la vie privée, vous devez aussi considérer que le fait que si vous croiser un inconnu dans la rue, c’est une atteinte à votre vie privée, car si vous voyez cet inconnu, automatiquement, ce dernier va vous voir aussi.

      • Vie privée ne signifie pas lieu privé ou sphère privée. Vie privée signifie vie privée.
        Si vous mettez un micro espion sur moi dans un lieu public, je doute franchement que le juge accepte votre argument sur le fait que vous ne violez pas ma vie privée…

        L’inconnu que je croise en rue, contrairement aux caméras, ne cherche pas à m’épier.

        • L’inconnu ne traitera pas non plus votre image avec un logiciel de reconnaissance faciale.

        • Dans ce cas, il faut que vous interdisiez aux policiers de patrouiller dans la rue, car quand ils patrouillent dans la rue, ils voient également des gens qu’ils ne connaissent pas.
          Des caméras de surveillance ou des policiers dans la rue, c’est la même chose.
          De plus, c’est utile, car cela permet une réduction du nombre de policier, il suffit que le policier qui regarde les vidéos surveillances appellent ces collègues pour qu’lls se déplacent rapidement vers le lieu de l’infraction.
          Quant à l’argument du microespion, c’est différent car dans ce cas, il y a clairement volonté d’espionner quelqu’un en particulier
          Alors que dans le cas de la vidéosurveillance, les policiers observent l’ensemble, ils ne suivent pas quelqu’un en particulier, à part les délinquants qu’ils poursuivent mais çà c’est normal.

          • A moins que les policiers soient dotés d’une mémoire absolue, ils sont très différents d’une caméra dont les images sont enregistrés.
            De plus, la patrouille peut nous voir entrer dans tel immeuble à telle heure, mais ne sera plus là quand nous en sortirons, tandis que l’enregistrement vidéo permettra de savoir précisément combien de temps nous sommes restés.

            Ajoutons à cela des phénomènes comme l’aveuglement au changement ou l’aveuglement d’inattention, un nombre d’écrans trop important et il est possible de mettre en défaut la video surveillance ( dernier exemple en date, déjà mentionné, la femme agressée dans le métro lillois dont le réseau de vidéo surveillance est massif et aucun opérateur pour voir quoique ce soit)

            • Ce n’est pas parce que les caméras de surveillance ont échoué une fois que cela veut dire que c’est parfait.

              En fait vous devriez vous en réjouir car cela peut même servir d’alibi.
              De plus, je persiste à dire que ce n’est pas une atteinte au droit au respect de la vie privée. D’ailleurs, ni la France, ni aucune nations européennes n’a été condamné par la cour européenne des droits de l’Homme, en raison de la vidéosurveillance.
              L’article 8 de la convention européenne des droits de l’Homme concernant le droit au respect de la vie privée, considère que la vie privée relève de ce qui est intime et prévoit qu’il peut y avoir des restrictions (vous ultralibéraux considérez qu’un droit est absolu et qu’il ne peut y avoir de limites, tout se fait dans la modération, qui dit droit dit exception) si les restrictions sont prévues par la loi dans une société démocratique.
              75 % des français sont pour la vidéosurveillance. lci.tf1.fr › Société › Notre société
              (sondage du 25 mars 2013)

              • Mais des échecs, il y en a tout le temps, ma ville est vidéosurveillée, un DAB dans une zone commerciale s’est fait braqué à la voiture bélier, la vidéosurveillance n’a servi à rien :
                les types étaient casqués, gantés et dans des bleus de travail
                les voitures utilisées étaient volées et elles ont fini incendiées histoire qu’on ne puisse pas retrouvé un cheveu ou un lambeau de peau.

                Avec la vidéo surveillance, vous n’attrapez que les loosers, les abrutis, les ptits cons qui se sont crus capables de faire un braquage, pas les professionnels.

                Alors vous voulez quoi ? avoir une base de données qui recense la biométrie de toute la population ? et puis l’adn aussi ?

                Ca n’est pas être ultralibéral ni même libéral, que de refuser ça, c’est juste une question de bon sens : l’Etat n’a pas à connaitre tout cela de quiconque, car rien ne garantit que l’Etat restera garant du droit.

    • Mais voyons, les libéraux sont pour la sécurité. Du moment qu’elle respecte le droit.
      Sinon, rien ne vous empêche de librement organiser votre sécurité. Pourquoi ce seraient aux autres de le financer ? L’assistanat, il est aussi dans le sécuritarisme, cette fiction qui consiste à croire que l’on puisse se gambader sans soucier du danger qui existe dans toute vie en société…
      La première responsabilité en sécurité, c’est d’éviter le danger, la seconde : fuir, la troisième : se défendre.

    • Ah oui… boston… et si on revenait en France ?

      Le type qui a tiré dans des journaux, décrit comme un européen, ah bah finalement non. La fille agressée sur Lille dont le calvaire a été filmé sur une bonne partie du trajet… elles n’ont même pas servi.

      Et combien d’autres affaires dont les medias ne parlent pas et pour lesquelles la videosurveillance a été inutile ? (Braquage de magasin ou attaque chez un particulier, types cagoulés, voiture volée… OMG ! La belle caméra qui coûte un bras à la communauté ne sert pas, enfin si : à la video verbalisation ! Parce que faut pas déconner, le ptit con qui vient de cramer un feu orange, foi de redresseur de torts, il va manger !)

      D’autre part, la vidéo surveillance, dans un État de droits, respectueux des libertés individuelles, admettons, mais rien, absolument rien ne garantit que cet État sera immuable et qu’il restera respectueux des libertés et des droits, rien ne dit, ni ne promet, qu’il ne deviendra pas une dictature.
      J’ajouterai que la vidéo surveillance n’empêche pas qu’un délit ou qu’un crime soit commis au mieux, permet-elle éventuellement d’identifier le ou les auteurs; si pour vous, cela s’ appelle de la sécurité, pour moi, c’est de l’illusion.
      Et vivre dans l’illusion, ca n’est pas mon truc.

  • Il y a du bon et du mauvais en chaque homme . La bonne politique est celle qui tend sans contrainte chacun d entre nous vers des actions positives . Un problème majeur est que les uns et les autres ne sont pas d accord sur l « action positive » . Ainsi je pense que le travail quel qu il soit est une action positive , alors que mon cousin collectiviste pense qu il peut être une aliénation (par ex : ouvrier , employé de maison etc) et qu il lui préfère l assistance.
    Mon cousin collectiviste dit croire fermement en l homme alors qu il ne jure que par l état contraignant.
    Je crois fermement en dieu qui nous rend libres et responsables « chaque jour je mets devant toi le bien et le mal , choisis le bien  »
    Deux visions de l homme .

  • « En chacun de nous il y a deux loups un bon et un féroce, le dominant sera celui que tu nourris. »

    Oui l’homme est un loup pour l’homme dès que les intérêts sont diamétralement opposés comme ils le sont entre un vendeur et un client et dans le cas d’un contrat de travail entre employeurs et employés.

    • Ils ne sont guère méchants vos « loups » s’ils passent pacifiquement entre eux des contrats (contrats de vente, contrats de travail…).

      • Les bonnes affaires, comme on dit, c’est quand les deux partis sont contents et c’est pas toujours le cas surtout quand il y a un rapport de forces déséquilibré.
        Par exemple quand le chercheur d’emploi n’a pas de choix avec 10% de chômeurs pour lui disputer la place à prendre.

        • Lorsque les intérêts sont « diamétralement opposés », il n’y a pas de contrat possible.
          Il y a contrat lorsque les parties ont des intérêts différents et complémentaires.

          Ce que vous avez affirmé précédemment est totalement faux. Il n’y aurait jamais d’acte de vente si les acheteurs et les vendeurs avaient par nature des intérêts diamétralement opposés. Par définition, la relation contractuelle repose sur un échange fondé sur une complémentarité d’intérêts différents. Le contrat repose sur la différence et non l’opposition. La différence ne crée pas nécessairement de différend. Bien au contraire.

          Il ne s’agit pas de jouer sur les mots ici. C’est extrêmement important. Cette falsification de la réalité – qui voit une opposition d’intérêts là où il y a convergence – est le fondement même de l’idéologie marxiste.

        • « Par exemple quand le chercheur d’emploi n’a pas de choix avec 10% de chômeurs pour lui disputer la place à prendre. »
          Aveu !
          Ce que vous dites en fait, et c’est la vérité que vous refusez de voir et d’admettre, c’est que l’ennemi du travailleur, ce n’est pas le patron (au contraire le patron est indispensable à celui qui ne peut trouver seul de quoi produire sa pitance), c’est le travailleur concurrent, qui peut prendre sa place.
          Mais il est toujours là, ce travailleur concurrent. Même à 0% de chômage !
          Le rapport de force, il n’est pas entre le patron et le travailleur, il est entre le travailleur et les autres travailleurs actuels ou potentiels, éventuellement chômeurs … ou pas !
          La théorie du chômage « armée de réserve du capitaliste » est juste débile : l’armée de réserve du capitaliste, c’est 100 % des travailleurs, alors que l’existence d’un potentiel de 10 % de travailleurs oisifs, « inexploités » comme on dit dans les manuel marxiste, ça rend fou le capitaliste qui imagine tous les profits qu’il pourrait faire si c’est gens étaient dans son entreprise…

          • Bullshit. L’exclusion des non-expérimentés est la conséquence du SMIC et de l’augmentation des charges, qui ont supprimé les postes à faible productivité.
            Le chômage a toujours été un produit du socialisme, regardez les autres pays. Dans les économies libérales, le taux de chômage est négatif : ils importent des travailleurs.

          • il faut être con pour penser que c’est une nouvelle … et qu’elle est mauvaise …
            Il n’y a pas « d’exclusion » du marché du travail, il y a deux chose : un subventionnement de l’oisiveté de travailleurs aptes, et souvent une interdiction pure et simple. Par l’État. La « préférence sociale pour le chômage », ce n’est pas les auteurs libéraux qui l’ont constaté, ce sont tous les auteurs.

        • chaque fois que j’ai été au chômage, j’ai retrouvé du travail. pas en disant au patron « je ne sais rien faire de plus que les 3 millions de collègues au chômage », mais au contraire en lui disant « voila ce que je sais faire que d’autres ne savent pas faire ». il n’y a pas 3 millions de chômeurs qui me disputent la place à prendre, il n’y en a que quelques dizaines. et après l’entretien, si j’ai été bon, il n’y en a que 3 ou 4 autres qui peuvent éventuellement me disputer la place à prendre. et au bout d’un certain temps, c’est moi qui signe le contrat.

    • Le vendeur veut vendre au plus cher et l’acheteur aux meilleures conditions. Pourquoi d’après vous, à un certain niveau, chacun des contractants est accompagné de son avocat spécialisé ? C’est pas pour faire plus de risettes à son vis à vis croyez moi 🙂

      Il faut avoir toujours vécu dans un zoo bien tenu, où les prédateurs ne croisent jamais les herbivores pour croire au monde où tout le monde il est beau tout le monde il est gentil, ceci dit on peut tout à fait vivre heureux et sereinement entre herbivores grassement nourris 😉

      • Le libéralisme, en économie, marche, le marché s’autorégule.l’Etat et les pouvoirs publics doivent juste veiller à en corriger les défauts (SDF, pauvreté…), ou au cas où il y a un effondrement bancaire, il peut sauver les banques en leur prêtant de l’argent. Il faut moins de règles, mais des règles plus optimales efficace à assurer la sécurité sur les marchés.

        • ReBonjour Sarkozyste (J’ai du mal avec votre pseudo)
          « Le libéralisme, en économie, marche, »
          La question n’est pas là, un système d’économie planifiée marche, il produit des biens des services.
          La seule question qui vaille, voulez vous un système centré sur la liberté des individus ou un système niant l’autonomie des individus et organisé d’une manière hiérarchique?
          Si ne pas être maître de votre destin, si le fait que les autres décident à votre place vous indiffèrre…

          « J’appelle libre, quant à moi, une chose qui est et agit par la seule nécessité de sa nature ; contrainte, celle qui est déterminée par une autre à exister et à agir d’une certaine façon déterminée. »
          Spinoza

          • « Si ne pas être maître de votre destin, si le fait que les autres décident à votre place vous indiffèrre… »
            C’est difficile à comprendre pour un libéral, mais des tas de gens préfèrent que quelqu’un d’autre décide à leur place, même pour des choses qu ne concerne qu’eux. C’est dans leur « nature », pour faire allusion à Spinoza : dépourvus de squelette et de nerfs, ils ont besoin du corset de l’Etat et des fils d’un marionnettiste pour se tenir et marcher.
            Certains suivent les idées abstraites de morts qui ont écrits des livres plein de débilités séduisantes, d’autres des « leaders »

            • Comme dit Peter Sloterdijk : « L’être humain n’existe pas, il doit se produire lui-même dans une querelle permanente autour de son être non déterminé » (La domestication de l’être)

            • « dépourvus de squelette et de nerfs, ils ont besoin du corset de l’Etat et des fils d’un marionnettiste pour se tenir et marcher.’
              Joli 🙂

          • Je suis pour un système, où la liberté est garantie mais limité par la loi.
            Ce que vous ne comprenez pas, c’est que un droit n’est jamais absolu (la preuve, vous criez au loup dès qu’il y a une toute petite atteinte à la liberté)
            Vous confondez anarchie et liberté.
            Il n’y’ a pas de liberté sans sécurité et cette sécurité est demandée par la plupart des français.
            Nous vivons en démocratie et on a droit à notre sécurité. Sans sécurité, c’est l’anarchie, et donc on n’a plus de liberté, car on risque sa vie à chaque instant.
            La sécurité n’est pas une atteinte à nos droits et à nos libertés, c’est un droit et une liberté.
            La sécurité, c’est la liberté.

        • l’état ne doit pas s’occuper de loger les sdf, ou plutôt, il ne devrait pas interdire les privés de le faire. car il y aurait un marché pour peut qu’on n’empêche pas l’offre de se manifester.
          l’état ne doit pas s’occuper de la pauvreté, qui n’est qu’un problème de définition statistique, c’est à dire un non problème.
          et enfin l’état ne doit pas s’occuper de sauver les banques en faillite. les mauvaises banques doivent disparaître au profit des bonnes, et non pas être maintenues sous perfusion avec mon argent.

          • Vous vous accepteriez de vous occuper d’un SDF. Il faut laisser l’Eglise (ils font énormément, n’en déplaise à Mme Duflot, pour s’en occuper), ls restos du cœur et Emmaus. (déductions fiscales)

            • il se trouve que ça m’est déjà arrivé plusieurs fois :
              je pense qu’un réfugié angolais à qui le fonctionnaire en charge du foyer des travailleurs de ma ville dit de prendre son sac d’habits et de partir ailleurs pour laisser de la place à d’autres, il était sdf à l’instant où j’ai accepté de signer un contrat de location avec lui.
              je pense que une dame à qui l’hôpital psychiatrique dit qu’elle est guérie maintenant et qu’elle doit partir, elle était sdf au moment où j’ai accepté de signer un contrat de location avec elle.
              je pense que un gitan dans une caravane avec sa femme et 2 gosses, il était sdf au moment de la signature du contrat de location. bon, celui là n’est pas resté longtemps chez moi, une semaine environ. le maire (rpr à l’époque) a envoyé son flic municipal pour le faire déguerpir…

              je persiste à dire que l’état et ses filiales ne doivent pas s’occuper de loger les sdf. le secteur privé (les propriétaires individuels ou les entreprises privées) le font beaucoup mieux.

          • Si l’état doit sauver les banques. Même les pays libéraux ont fait çà. Gordon Brown est-il un socialiste (c’est un blairiste)
            C’est facile à dire çà, je suis sûre que si c’était votre banque qui avait fait faillite, vous vous plaindrez parce que vous avez perdu toutes vos économies.
            Je suis pour une économie libérale. Mais il faut être pragmatique et comprendre que si une banque fait faillite (je dirais plusieurs), cela met à mal la sécurité nationale, si les banques ne peuvent plus donner de liquidités à leurs clients, on assistera à des émeutes qui pourront mener à une dictature.

            • si les banques savent qu’elles ne couleront jamais à cause de leurs risques mal gérés, il n’y aura justement plus aucune limite à la prise de risque, et pour le coup, l’ensemble du système bancaire s’effondrera.
              il faut justement laisser couler.
              voyant un exemple, on assistera à une modification des comportements salutaire : les banques prendront moins de risque et les clients seront plus exigeants envers leurs banques ou alors ils reprendront leur argent pour le stocker chez eux.
              franchement, laisser 10 000 euros sur un livret a pour avoir 100 euros à la fin de l’année tout en courant en permanence le risque de se le faire voler par l’état…

      • « ceci dit on peut tout à fait vivre heureux et sereinement entre herbivores grassement nourris »
        Et non.
        Philosophiquement, heureux ou serein, il faut choisir (la sérénité, c’est juste l’inverse du bonheur). et Matériellement, dans un monde fini, il ne peut pas y avoir de population infinie grassement nourrie.
        Alors si ce n’est pas les prédateurs qui limitent la population, ce sera autre chose : la faim, les parasites, les maladies propagées par les souffreteux que les prédateurs auraient manger bien avant, les combats internes, des contraintes biologiques (durée de vie / rythme de reproduction) …
        C’est pour ça que les herbivore ne se battent pas contre les prédateurs, alors qu’il sont 10 fois plus nombreux et d’une force musculaire souvent comparable.
        L’humain n’avait pas de prédateur, il en a inventer un : l’État.
        Reste à choisir votre ennemi : un humain comme vous, comparable à vous, ou une organisation méta-biologique, bureaucratique, qui peut vous bouffer tout cru … qui ne supprime même pas l’inimitié entre humains ! elle ne fait que la changer de nature.
        Vous connaissez la blague des deux amis qui rencontre un lion ? alors l’un se prépare à courrir, ce qui étonne le second qui lui dit « tu ne crois quand même pas que tu vas courir plus vite que le lion ?! » et le premier réplique, en fuyant « non, je me prépare juste à courir plus vite que toi » ?
        Vous n’avez pas le choix de la lutte. Vous avez juste le choix de la forme qu’elle prendra : celle d’un combat direct homme à homme, celle d’une course à qui ne sera pas bouffer par le lion (ou la faim, ou la maladie, ou les parasite, etc. : peu importe), mais une course où il serait permis de faire trébucher l’ami …
        Bref : ne comptez pas sur l’État pour vous protéger. Il est là pour vous tuer, vous ou un autre.
        Et la concurrence aussi, bien sûr, vous tuera tout pareil que le lion, mais au moins elle vous obligera à produire le meilleur de vous même sans vous attaquer à votre ami (puisqu’en pratique c’est bien ça que l’Etat exige : pousser quelqu’un d’autre dans sa gueule pour qu’il se repaisse de taxe, à l’exemple des artisan qui exigent que les auto-entrepreneur payent plus de taxes …)

        • Vous savez que vous en êtes en train de reprendre les théories de Rousseau.
          Rousseau qui est le précurseur du socialisme et à l’opposé des valeurs libérales des Lumières, car contrairement à ce que l’on dit, Rousseau n’est pas un philosophe des Lumières, d’ailleurs, ses querelles légendaires avec Voltaire qui lui incarne pleinement la philosophie des Lumières.
          Il explique contrairement à Hobbes qu’avant l’Etat, les hommes vivaient très bien et que l’état a été crée pour garantir la propriété (Rousseau est un anarcho-socialiste, il pense que l’Etat vise à défendre les plus aisés)
          Regarder la Somalie, pas d’état et c’est le repère des pirates.
          L’homme est capable du meilleur mais aussi du pire. Il y a des gens qui sont uniquement animés par une seule chose, la haine, et qui ne pensent qu’à faire le mal et biens ces gens qui sont des déchets toxiques des pourritures, il faut que la justice les condamne très sévèrement, pour le bien commun.

          • « Regarder la Somalie, pas d’état et c’est le repère des pirates »

            RegardeZ la Corée du Nord, plein d’état et c’est le repère des crèves-la-faim

            Ce que vous avez du mal à comprendre c’est que l’état ne peut pas tout (même Jospin l’avait reconnu :p)

            • Je n’ai jamais dit que l’Etat peut tout mais dans ses compétences régaliennes, il doit assurer son autorité. Je vous ferais remarquer que dans toutes les démocraties libérales dignes de ce nom (USA, Angleterre…), l’Etat n’a pas peur d’affirmer son autorité pour faire face aux sales racailles/

          • Rien à voir avec Rousseau (qui au demeurant, même si il a dit essentiellement des conneries, n’a quand même pas dit que ça …).
            « Regarder la Somalie, pas d’état et c’est le repère des pirates. » Magnifique aveu : les pirates somali pillent l’étranger et sont une plaie pour nous, mais sont très bien vus de leurs concitoyens. L’État, si il réprime la piraterie, c’est qu’il réprime ses concitoyens. Effectivement c’est ce que l’Etat fait. Partout. Toujours.

      • « on peut tout à fait vivre heureux et sereinement entre herbivores grassement nourris »
        Certainement pas, parce qu’à un moment donné il faut décider de qui va manger le dernier brin d’herbe et qui va crever de faim, ou qui va aller replanter plutôt que de se dorer la pilule, ou qui va mettre la capote et qui va faire 4 petits. Les avocats sont là pour trouver un accord qui satisfasse tout le monde, servir d’intermédiaires dans un contexte où le tête-à-tête n’aboutit qu’à l’enchevêtrement des bois des deux cerfs en rut et la mort des deux.

        Chez les carnivores, par contre, avez-vous remarqué qu’on ne se nourrit qu’aux dépens d’une autre espèce ? Entre carnivores de la même espèce, on trouve des arrangements, mais on sait que si on se cannibalisait, l’espèce n’y survivrait pas.

        • Il y a plein de grands libéraux qui sont d’accord pour un Etat fort qui assume son autorité.
          Turgot, le ministre libéral de Louis XVI, voulait mener des réformes libérales, mais Louis XVI a commis l’erreur des restaurer les Parlements ( des cour de justice, un véritable gouvernement des juges, comme quoi quand les libéraux défendent les juges, ils devraient faire attention et plutôt prendre parti pour l’exécutif) , Turgot était opposé, avec raison, aux rétablissement des Parlement car il voulait un Etat fort qui impose ses réformes libérales. Il n’a pas réussi à les mener donc cela va être appliqué par les révolutionnaires qui vont mettre en place l’égalité fiscale, la fin des corporations, la défense de la Nation contre l’arbitraire royal (la nation, cela n’a rien de raciste, cela désigne l’ensemble d’un peuple, sa culture, on peut accepter des immigrés à condition qu’il n’y en ait pas beaucoup pour que cela soit plus facile de les assimiler).
          J’ai lu une idiotie un jour sur un site libéral, l’auteur expliquait que l’Etat était centralité sous l’ancien régime. Quelle blague ! Louis XIV avait essayé de lutter contre la noblesse pour centraliser l’Etat et imposer le français comme langue officielle partout. Il a supprimé avec raison les Parlements. Enfin sa « centralisationé est toute relative. Les Parlements (des cours de justice d’aristocrates qui sont uniquement animés vont être rétabli sous la régence et Louis XV ne pourra pas imposer la moindre petite réforme, sauf la réforme Maupeou, une réforme de la justice ambitieuse qui supprime les Parlements et met en place une justice payé par l’Etat (avant les Parlementaires, qui sont des juges, étaient payés par les parties, ce qui question indépendance de la justice, laisse à désirer) Maupeou a au moins l’intelligence d’empêcher ces aristosjuges de faire des remontrances et d’empêcher le roi de faire des réformes.
          Contrairement à ce qu’on croit la plupart des rois ne pensaient qu’au bonheur des français, le problème, c’était cette cohorte de nobles qui empêchait le roi de donner plus de libertés à son peuple.

          • « quand les libéraux défendent les juges, ils devraient faire attention et plutôt prendre parti pour l’exécutif »
            Nicolas on t’a reconnu.

            « Contrairement à ce qu’on croit la plupart des rois ne pensaient qu’au bonheur des français »
            Bon, faudrait arrêter d’écrire nimp quoi, parce que là c’est un festival.

          • « Contrairement à ce qu’on croit la plupart des rois ne pensaient qu’au bonheur des français »

            Le problème c’est que tous les tyrans croient savoir ce qui est bon pour les autres

            Lorsqu’ils sont libéraux et éclairés c’est une chance mais ce sont des exceptions.
            Donc dans le doute autant leur retirer leur couronne non ?

            • +1
              Le peuple sait tout seul où se trouve son bonheur, et il n’a jamais été dans les grandes « réalisations » des rois : château de Versailles, guerre et conquêtes, etc.
              Dans toute l’histoire de France il n’y a qu’un Roi qui notoirement « pensait au bonheur des français » (mais il ne pensait pas qu’à ça, en faites il ne pensait qu’à « ça » ) : Henri IV. Ajoutons Louis XV, éventuellement (pas guerrier pour deux sous), et Louis XVI, ce con dont la bonté est directement a l’origine du désastre révolutionnaire (et, accessoirement, de la mort de toute sa famille).
              Finalement les Roi Fainéants ne sont pas les pires. Tant qu’ils arrivent à laisser l’intendant à sa place.

  • Sarkozyste a dû s’échapper du zoo UMP. Il faudrait lui offrir des cours de libéralisme.

    • Il ne s’est pas échappé du zoo umpiste, il a été envoyé pour « racoler » les libéraux… sauf qu’il s’est trompé de trottoir… il devrait pourtant savoir qu’un libéral n’est ni de droite ni de gauche… quant à lui offrir des cours, vous plaisantez ! il n’a qu’à se les payer !

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