"L'appel de la tribu" de Mario Vargas Llosa
Un autoportrait intellectuel passionnant doublé d’une série de portraits de grands intellectuels libéraux.
Un autoportrait intellectuel passionnant doublé d’une série de portraits de grands intellectuels libéraux.
L'étatisme est un malheur bien français et ce sont nos entreprises qui en payent le prix estimé.
La centralisation, la puissance procurée par les prélèvements obligatoires les plus élevés du monde, la règlementation et l’armée des 7 millions de fonctionnaires devraient nous permettre d’anticiper les crises, sinon de les résoudre au mieux.
Le président de la République vient d’annoncer un plan contre le cancer. Quelle est l'approche libérale dans ce cas de figure ?
Il faudra quand même bien un jour expliquer en quoi instaurer l’oppression de la population est une approche démocratique. En vérité l’opposition aux mesures coercitives est éthique. Elle se fonde sur leur inhumanité.
Pour une fois l’État doit accepter de déléguer une part essentielle de la responsabilité aux individus : que chacun ré-apprenne à se prendre en charge sans attendre des décisions qui pourront être critiquées.
Le socialiste d'aujourd'hui n'est pas le socialiste d'antan. Cette distinction est importante à garder en tête lors de l’élaboration d'une éducation libertarienne pour contrer cette évolution.
La France vit son troisième confinement : l’analyse des disparités et des incohérences qu’un an de régime de tyrannie sanitaire aura révélée nous permet assez clairement de voir ce qui ne va pas dans notre pays.
La prise en charge de l’épidémie n’a pas été médicale mais politique, avec l’« état d’urgence sanitaire », le confinement, le couvre-feu. Aujourd’hui la vaccination a elle aussi quitté le domaine médical pour se retrouver dans le domaine politique.
Les libéraux savent que le progrès de la liberté exige un engagement personnel. En 2021 les libéraux doivent s’engager.
Par h16. Il y a tout juste un an, je vous souhaitais une joyeuse année 2020 et faisais le pari (audacieux et raté) que l’année…
Emmanuel Macron déplore la contestation de l'autorité parmi ses concitoyens. Une vision de la gouvernance exclusivement verticale.
L’État aime jouer au père Noël. Souvenez-vous juste que sa besace, c’est votre porte-monnaie, et en dépit de vos droits.
Opinion : rester confiné ou pas ? Et si on pouvait choisir ?
Ce qu'il faut craindre, c'est qu'avec le temps les Français finissent par s'habituer à ce que les hommes de l'État agitent la carotte et le bâton pour les faire avancer.
Ce mercredi est une journée de deuil national en sa mémoire. Il est dommage que l’intelligence de VGE ait été corrompue par la vie politique française empoisonnée par l’étatisme et le socialisme, alors qu’il aurait pu la réformer en profondeur.
Nous approchons rapidement de l'étape de l'inversion ultime : l'étape où l’État est libre de faire ce qu'il veut, tandis que les citoyens ne peuvent agir que sur autorisation.
La technocrature française n’écoute rien ni personne, hors du sérail et n’apprend rien de ses insuffisances. Sa volonté de tout contrôler, son interventionnisme, jusque dans les moindres détails, vont nous conduire à une crise majeure.
La réalité de la France covidée dépasse tout ce que l’humour français est capable d’inventer. La grande roue sera installée à Lille comme chaque année… mais elle n’accueillera pas de public.
Depuis le début de cette crise, nous ne pouvons qu’être frappés par l’amateurisme du gouvernement et par l’arbitraire de ses décisions.