La gauche entre socialisme et libéralisme
Christiane Taubira s'ajoute à la liste des ministres les plus à gauche qui ont quitté le gouvernement. Est-ce le signe d'un virage libéral ?
Christiane Taubira s'ajoute à la liste des ministres les plus à gauche qui ont quitté le gouvernement. Est-ce le signe d'un virage libéral ?
Christiane Taubira qui démissionne, c'est le dogmatisme idéologique de gauche qui est sanctionné.
Suffit-il d’enfoncer quelques portes ouvertes sur le rôle excessif de l’État pour être un authentique libéral ?
Pourquoi Emmanuel Macron cultive-t-il avec tant d’application un profil vaguement libéral, qui fait sauter au plafond l'aile gauche du PS ?
L’idéologie de gauche est en souffrance, comme le montrent les déchirements de la cléricature socialiste.
Pourquoi les militants socialistes sont-ils coupés des réalités économiques ? Éléments d'explications.
Jean-Christophe Cambadélis, Premier secrétaire du PS, a pris ses distances avec le "social-libéralisme". Mais que recouvre réellement cette notion ?
Par Philippe Robert. Manuel Valls à l’université d’été du Medef : une pleine charrette de portes enfoncées… Non pas que je dénie au Premier ministre…
Les temps sont durs pour les adversaires de l’économie de marché.
Plus d'État social et plus d'impôts, voici donc les idées neuves du socialisme qui ressemblent à s'y méprendre à des incantations anciennes.
La gauche totalitaire et la gauche parasitaire sont toutes deux nocives aux libertés, même si la première l'est beaucoup plus que la seconde.
Selon Jean-Luc Mélenchon, ce qui distingue la gauche de la droite est qu'elle est préoccupée par les "besoins humains".
Comment repenser la démocratie et le fonctionnement de ses institutions afin de lutter efficacement contre la montée des populismes dans les urnes ?
Dans le mariage social-libéral entre la Carpe et le Lapin, c’est bien la Carpe qui finit par l’emporter.
La France n'est pas actuellement une social-démocratie. Faut-il s'en rapprocher et si oui comment ? Les pouvoirs publics ne peuvent pas se contenter de promesses ou de symboles.
Gonfler l’État en écrabouillant les contribuables et les entreprises, ça ne pouvait évidemment pas marcher.
Comme le pilote du Titanic, François Hollande a choisi la pire des stratégies politiques : l’évitement.
Les « contreparties » souhaitées par le gouvernement dans son "pacte de responsabilité" sont en fait la négation de l’économie de l’offre.
Le regard de René Le Honzec.
Pas de panique (ou de fausse joie), François Hollande n’est pas devenu libéral : il est juste à la recherche de ce « juste milieu » dont les socialistes français ont fait leur Graal il y a bien longtemps.