Carrefour dégringole en bourse, la faute au « souverainisme économique »
Non seulement l’État donne son avis, mais il se fait arbitre d’un intérêt général qui se construit en opposition aux principes élémentaires du libre-échange.
Non seulement l’État donne son avis, mais il se fait arbitre d’un intérêt général qui se construit en opposition aux principes élémentaires du libre-échange.
Chaque jour on nous ressert désormais l’idée qu’on va bâtir un nouveau monde. Dans lequel, bien sûr, il sera mis fin à cette horreur suprême que constitue le « néolibéralisme ».
En période de pandémie, faut-il préférer la santé ou l’économie ? Il s’agit d’une question d'ordre philosophique, à laquelle il n’est pas possible d’apporter une réponse, mais à laquelle nous devons répondre.
Plutôt que de vouloir punir Amazon, tous les commerces devraient être à égalité de traitement, c’est-à-dire autorisés à vendre leurs produits sans devoir tout attendre de l’arbitraire de l'État.
Critique des règlements, des corporations, du protectionnisme, des limites au prêt, autant de thèmes libéraux chers à Vincent Gournay, et qui alimenteront les débats de la deuxième moitié du dix-huitième siècle.
L'Etat est responsable des délocalisations à cause des contraintes fiscales, sociales et réglementaires qu’il fait peser sur les productions françaises et qui les rendent non compétitives.
Que d'idées reçues à propos du « néolibéralisme », chimère tant fantasmée devenue un bouc émissaire bien commode pour expliquer toutes les fautes et malheurs du monde.
Comment savoir quels secteurs seront utiles en cas de crise ? Cette connaissance sera-t-elle accessible aux experts à la fois les plus compétents et les plus honnêtes intellectuellement ?
Les protectionnistes devraient trouver d’autres hérauts s’ils veulent défendre leurs thèses avec efficacité.
Rien n'est made in France ou made in quelque part. En cette période où la mondialisation est fortement conspuée, relisons ce qu'elle apporte.
Alors que la femme africaine amorce une forte émancipation, l’exemple des États-Unis devraient les inspirer. Le marché peut les libérer comme en son temps il avait libéré les Américaines !
La critique du protectionnisme par Bastiat illustre à quel point nous devons nous sentir responsables de nous-mêmes.
La fermeture des frontières est une mesure protectionniste contre-productive qui ne règle pas les vraies entraves à l’essor de la compétitivité des produits nigérians.
La ZLEC se présente comme une opportunité pour les États de redynamiser leurs échanges à condition de lutter contre toutes les tentations protectionnistes et les distorsions pouvant pervertir le fonctionnement d’un marché concurrentiel.
La France ne doit pas céder à la tentation protectionniste.
Des économies qui ne se parlent plus, des Banques centrales un peu têtues, et des marchés qui rêvent toujours plus. Tentons trois fables récréatives pour raconter tout cela.
L’enfer est pavé de bonnes intentions : le localisme est une aberration économique et écologique. Ignorer les principes de la division du travail, c’est s’exposer à de graves déconvenues. REPLAY
La prétendue « guerre commerciale » est en réalité une guerre de la stupidité et ses dommages collatéraux sont supportés par chacun de nous.
Pendant que Donald Trump construit des barrières douanières, l’Union européenne en abat… mais les résultats sont mitigés.
Refuser les flux de migrants, c'est se retrancher dans un bunker. Notre monde gagnerait à faire tomber les barrières qui séparent les peuples.