Coronavirus : les ministres "plus égaux que les autres"
Dans le domaine de la détection du coronavirus, tous les Français ne sont pas logés à la même enseigne : les députés et les ministres semblent avoir un traitement particulier.
Dans le domaine de la détection du coronavirus, tous les Français ne sont pas logés à la même enseigne : les députés et les ministres semblent avoir un traitement particulier.
Jean-Baptiste Say disait : "S’il y a quelque bénéfice à retirer d’une industrie, elle n’a pas besoin d’encouragement. S’il n’y a point de bénéfice à en retirer, elle ne mérite pas d’être encouragée. » Une réflexion développée aussi par Dupont de Nemours en 1765.
Quand vous devez financer une entreprise nationale déficitaire avec vos impôts, c’est au nom de l’intérêt général. En bref, l’intérêt général, c’est le nom que donnent certains groupes particuliers pour obtenir des privilèges aux dépens de la collectivité.
En enfreignant les règles élémentaires du Code de la route, ces véhicules gouvernementaux (et souvent ministériels) signalent, de façon ostentatoire, que leurs passagers ne sont pas des citoyens comme les autres.
Les privilèges dont jouit Alexandre Benalla ne sont pas une situation que l'on peut qualifier de "normale".
Si nous regardons les retraités ou les cheminots, mais aussi par exemple nos chers parlementaires, cotisent-ils ou ont-ils cotisé autant que les employés du secteur privé d’aujourd’hui pour leur retraite ?
Sauvage" voilà un qualificatif dont d’aucuns aiment commodément affubler le libéralisme, surtout quand ils ne le connaissent pas. Mais qu’en est-il ? Troisième partie de la série « Ce que le libéralisme n’est pas ».
Le contribuable verse actuellement chaque année plus de 12 200 euros (3 300 000 000 euros/270 443 retraités selon Info retraites SNCF) de supplément de pension, c’est-à-dire plus de la moitié de sa pension à chaque retraité de la SNCF.
Les parlementaires tentent de peser de tout leur poids pour faire taire le net : à la différence de la presse écrite, qui dépend des subventions publiques, Internet est libre, donc dangereux.
Quelles sont les caractéristiques des monarchies ?
La distribution de rentes et de privilèges pourrit la démocratie et l'économie.
Un peuple ne peut pourvoir à sa survie et simultanément lutter contre les législations délétères : il en viendra à ne plus résister du tout.
Radio France doit faire des économies pour équilibrer son budget. Problème : les salariés ne veulent pas de ces économies, qui remettraient en cause leurs nombreux avantages et les obligeraient à être un peu plus productifs.
Les privilèges intellectuels ne sont pas l’alpha et l’oméga de la rémunération des talents et des innovations.
C'est la peur qui est motrice dans la société construite sur les privilèges.
Les réformateurs doivent réaliser que l’avenir de leurs idées dépend de leur réponse aux besoins des personnes en situation précaire.
De quelle aide auront besoin les pauvres, lorsque plus personne ne bénéficiera de privilège ayant pour conséquence d'annihiler toute possibilité pour eux de sortir de la pauvreté ? »
Parlement européen : l'Inde n'a pas le monopole des castes !
Le paquebot « France » coule mais nos édiles flambent sans se soucier de son sort.
Les députés ont la vie dure. Les bureaux mis à leur disposition sont des "cagibis", le rythme de publication des lois est trop rapide, et 11 000 euros nets par mois, ce n'est pas vraiment la joie.