Dette mondiale : nouveaux records chez les émergents (aussi) !
La dette explose partout dans le monde. La "zombification" s'étend aussi aux États dits "émergents".
La dette explose partout dans le monde. La "zombification" s'étend aussi aux États dits "émergents".
L’Afrique est le lieu où les vrais émergents (asiatiques et arabes) projettent en premier leur nouvelle puissance et s’offrent de nouvelles clientèles dans le cadre d’une compétition acharnée.
Le dollar, les politiques mercantiles et les taux de change fixes de l’euro créent des déséquilibres sans possibilité d’autocorrection. Premières victimes : les pays émergents.
Le salut des pays émergents passe par la mondialisation, y compris dans le football. Cette mondialisation du football est même déjà là.
Que s’est-il passé depuis l’arrivée au pouvoir de Jacob Zuma en 2009 ?
Après sept années de politique monétaire d’urgence, il est possible que nous ayons dépassé le niveau où celle-ci fait plus de mal que de bien.
Les pays émergents accusent les banques centrales d'escroquerie : ils sont en effet les grands perdants de l'affaire.
Au cours des 30 dernières années, c’est la première fois que la hausse du dollar dure aussi longtemps et qu’il atteint une telle amplitude.
La dépense publique reste une illusion à court terme, entretenue par les politiques pour ne pas décourager leur électorat.
L'économie occidentale a repris son essor tandis que les pays dits émergents et les pays les plus pauvres ne rattrapent pas leur retard si rapidement que prévu.
Les pays émergents sont restés l'an dernier le moteur de la demande mondiale d'énergie. Le bond de la production de pétrole aux USA a permis de compenser son effondrement en Libye,
Le nez sur la conjoncture immédiate nous fait perdre de vue l'essentiel : le monde change à grande vitesse autour de nous.
Quelles sont les spécificités et les perspectives économiques des pays du pourtour méditerranéen à l'issue des révolutions arabes ?
L'alliance de la prospérité et de la liberté d'expression ne suffit pas à faire le bonheur des Coréens du Sud si on en juge par des indicateurs sociaux extrêmement troublants.
Le FMI prévoit une croissance mondiale de 3,6 % en moyenne en 2014, contre 3 % en 2013, puis de 3,9 % en 2015.
Quels sont les effets prévisibles et/ou observables de la crise économique européenne sur l'Afrique ? Et quels sont les perspectives de développement ?
Une analyse de Serkan Arslanalp et Takahiro Tsuda. À lire sur le site du FMI.
Les difficultés actuelles des pays émergents ont une origine principale : les politiques monétaires menées par les banques centrales occidentales.
L’économie mondiale n’est pas nécessairement réglée à l’heure européenne. Tout au contraire, le contraste est saisissant entre une Europe en récession et un monde globalement…
Selon PwC, les pays à forte croissance investissent désormais plus dans les pays développés que l'inverse. Un constat qui vient souligner l'intérêt économique de l'ouverture des frontières pour les pays développés.