L’échec face à une rupture : le cas de General Motors dans les années 70
L’exemple du déclin de GM et de l’industrie automobile américaine illustre bien comment l’échec face à une rupture a d’abord et avant tout une cause interne.
L’exemple du déclin de GM et de l’industrie automobile américaine illustre bien comment l’échec face à une rupture a d’abord et avant tout une cause interne.
Nous pensons être à la fin du cycle économique selon l’économie autrichienne. Dans ce cas, la gueule de bois qui suit l’abondance de liquidités est pour bientôt.
Alors que Tesla lance son nouveau modèle de voiture électrique fin mars, de nombreuses questions restent en suspens...
Le Trésor américain ne détient plus aucune action de General Motors. Il a récupéré 39 milliards de dollars sur les 49,5 milliards qu’il avait investis pour sauver le constructeur auto de la faillite à partir de 2008.
Si la mauvaise gestion des élus du Michigan et de Détroit n’est plus à prouver, on parle peu des raisons qui ont mené GM, Chrysler et Ford dans l’ornière.
La prime proposée par le ministre Montebourg devait finalement aider Mitsubishi à importer ses modèles en France !
Comme Barack Obama est en campagne pour garder son poste, il prétendra que le sauvetage de ces entreprises a été une réussite
Certains sujets sont décidément presque tabous pour nos politiciens qui montrent ici les larges limites de leurs compétences...