Loi sécurité globale : ruine progressive des libertés publiques
Cette loi de sécurité globale, supposée garantir plus de sécurité en préservant les libertés, porte naturellement atteinte aux libertés publiques.
Cette loi de sécurité globale, supposée garantir plus de sécurité en préservant les libertés, porte naturellement atteinte aux libertés publiques.
Sous couvert de l’état d’urgence sanitaire, la France multiplie des initiatives plus liberticides les unes que les autres, en tentant d'aller au-delà de la réglementation européenne.
Quels sont les résultats et la contribution de l’application à la résolution de la crise ? Il demeure impossible d’en juger.
OPINION. Intelligence artificielle : Bercy vs Beauveau, la bourse ou la vie ?
En France, "liberté surveillée, égalité variable, fraternité dans un sens" est plus qu'une devise, un modus operandi.
Loi de "sécurité globale" : des mesures qui ne répondront ni aux attentes générales de sécurité, ni aux garanties en matière de libertés individuelles.
Nous assistons désormais à une tendance autoritaire et liberticide qui, si elle se poursuit et s'intensifie, pourrait à terme être qualifiée de totalitaire.
En quoi les caméras-piéton peuvent-elles améliorer la sécurité des citoyens sur notre territoire ? Est-il même certain qu'elles le puissent ?
L’application #StopCovid sur la base du volontariat apparaît de fait comme une action tardive, expérimentale, mais augurant de jours qui pourraient se révéler très sombres.
Stopcovid est au pire une étape supplémentaire dans la constitution de l’État de surveillance, et au mieux une entreprise de gaspillage d’argent public aux résultats incertains. Le déconfinement a-t-il vraiment besoin de ça ?
Le 11 mai nous introduit dans une nouvelle période de théocratie impériale. Nous serons surveillés par des brigades d’anges gardiens.
Un chien robot qui rappelle à l'ordre les passants qui ne respectent pas les consignes de sécurité concernant la pandémie. Singapour l'a fait, demain l'Europe ? L'avenir de l'État de surveillance.
La surveillance administrative et la collecte de données sont des sujets controversés depuis longtemps aux Etats-Unis et la pandémie COVID-19 actuelle nous montre pourquoi.
Les décisions politiques et économiques qui sont prises au niveau national et mondial nous emmènent tout droit vers le collectivisme.
Jusqu’à quand se prolongera le confinement ? Certains scénarios parlent de l’étendre jusqu’à fin juin. Ce sera trop tard pour nous en remettre économiquement, mais le temps qu’il faut pour nous transformer en prison de haute sécurité.
Un nouveau rapport, qui peut s’apparenter à une proposition de « traité de Prüm seconde génération » et hautement attentatoire aux libertés publiques, serait en pourparlers.
Voulons-nous poursuivre la fuite en avant et en aveugle vers une société du contrôle ?
Il nous appartient de tirer les leçons de l’expérience de la Stasi et de la surveillance constante de la vie quotidienne.
Réjouissons-nous, la France « est sur le point de devenir le premier pays européen à utiliser la technologie de reconnaissance faciale pour donner aux citoyens une identité numérique sécurisée, qu'ils le veuillent ou non. ».
La crise des Gilets jaunes a accéléré la transformation des pouvoirs publics en État de surveillance, et peut-être faudra-t-il compter à l’avenir sur l’Union européenne pour ralentir le mouvement du tout répressif.