Les démocraties vacillantes d'Europe
La crise sanitaire n'est-elle pas en train de révéler la "crise de gouvernementalité" qui traverse toute l'Europe ?
La crise sanitaire n'est-elle pas en train de révéler la "crise de gouvernementalité" qui traverse toute l'Europe ?
L’une des grandes questions que pose l’épidémie de Covid-19 est celle du statut social de la science et de son rôle dans le monde d’après.
Dans son édition du 14 avril, le Financial Times a tiré la sonnette d’alarme : sauf changement radical sur la route, le Mexique est en train de passer de manière accélérée d’une décomposition graduelle à une grande crise.
Pétrole et nucléaire, les grands oubliés des entreprises considérées comme essentielles, qui pourtant permettent la fabrication des sur-blouses, charlottes, masques FFP2 (100 % polypropylène) et seringues.
Et si le fait d’avoir plafonné les prix de vente en France avait provoqué la fuite d’une partie de la production vers les marchés étrangers où la fixation du prix est libre ?
Comme le dit Anett Numa, de l’e-Estonian Briefing Centre, un organisme chargé de promouvoir l’exemple estonien à travers le monde, le pays balte est probablement « le mieux préparé aux conséquences de cette crise ».
Opinion : le principe de non-discrimination est, ou tout du moins devrait être un principe fondamental. Dans ce cas précis, il est clair que le gouvernement français ne considère pas devoir l’appliquer aux entreprises étrangères.
Depuis plus de 40 ans les mêmes politiciens qui ont ruiné économiquement et culturellement le pays appliquent les mêmes plans ayant entraîné la ruine et s'étonnent que le résultat ne soit pas la prospérité.
Selon Forbes, Bill Gates, le cofondateur de Microsoft, serait en 2019 le détenteur de la deuxième fortune du monde, juste derrière Jeff Bezos, le fondateur d'Amazon, ce qui fait donc d'eux des méchants, des suspects.
On ne pourra pas manquer de s’interroger, ex post, pour savoir quel aura été, finalement, le prix que le pays aura payé pour sauver chaque vie.
Rassurant les parents inquiets, le gouvernement imaginait un retour progressif des élèves sur trois semaines, mais l’inquiétude grandit quant aux coûts financiers, juridiques et politiques de ces réouvertures.
L’idée qui prédomine pour justifier les mesures de confinement dans la plupart des pays est que la santé doit passer avant l’économie. Cette approche est néfaste.
Il ne faut pas espérer retrouver notre liberté de circuler, de vivre et de commercer comme nous l'entendons, avant un temps (in)certain, ce qui apparaîtra fort long à tous les amoureux de la liberté.
OPINION : Abaisser le seuil de rentabilité de notre tissu de TPE-PME, d’indépendants et de micro-entrepreneurs doit être notre priorité.
Retour sur les élucubrations dont nous ont gratifié nos responsables politiques en ce début d’année complètement déjanté.
Si l’Occident a fermé les yeux sur les massacres chinois quand ceux-ci étaient limités à la Chine, il est temps de les ouvrir désormais que cette idéologie et ses mensonges menace directement la vie des Occidentaux.
Contrairement à ses voisins européens et à une grande partie du monde, la Suède n’est pas confinée. L’essayiste suédois Johan Norberg explique pourquoi son pays reste ouvert et autorise l’activité économique.
OPINION : nous avons besoin de sang froid et de remarques constructives, pas de petites phrases assassines. Faire confiance est risqué, mais avons-nous vraiment le choix ?
Pourquoi s’en faire chez Renault ? Des salariés devenus des fonctionnaires temporaires, une trésorerie garantie par l’État, l’attente d’un nouveau Directeur Général : tout est fait pour se presser lentement.
Il faut déconfiner au plus vite pour retrouver nos libertés et ne pas laisser la dépression économique tout emporter sur son passage.