Les impôts grimpent, la grogne aussi
Pour les coupes claires, vous repasserez. Pour les baisses d'impôts aussi. Et pour une retraite qui tient la route, pareil.
Pour les coupes claires, vous repasserez. Pour les baisses d'impôts aussi. Et pour une retraite qui tient la route, pareil.
Les finances affichent des déficits catastrophiques, l'économie se dégrade mais le train de vie de l’État reste inchangé. Tout va bien.
Les poseurs continuent de pousser le pays vers sa chute, pédalo rendu fou par l'incompétence de ses dirigeants.
Comme le rappelait notre chroniqueur il y a une dizaine de jours, l'austérité du projet de loi de finances 2013 n'est que façade. Manque l'inévitable baisse forte des dépenses publiques pour restaurer la croissance.
À rebours de ce que fait le gouvernement dans le budget 2013, il faut annoncer un gel total des prélèvements pour encourager la création de richesses.
En soumettant le gain en capital à l’impôt sur le revenu, il est taxé plus fortement que les revenus du travail courant. Cette surtaxation du capital entraine des comportements court-termistes.
Le mouvement des "pigeons" s'étend : ce qui était au départ un bricolage entre amis est en train de prendre des proportions qu’ils étaient loin d’imaginer. Chronologie des faits
Il était temps ! Avec le budget 2013, on va enfin bouter l'entreprise et la création de richesse hors de France.
Le déficit de l’Etat français devrait se situer au-dessus de 60 milliards d’euros. Cette première estimation est construite sur une hypothèse de croissance déjà caduque. Le pire est à venir sans une politique de réduction forte des dépenses publiques.
Le budget 2013 présenté aujourd'hui est un budget catastrophique, qui crée la récession au lieu d'encourager la croissance par la baisse des dépenses publiques.