Euro digital : la BCE à l’offensive ?
La BCE voit en l’euro digital un formidable instrument de puissance, c’est peut-être pourquoi elle s’y intéresse tant.
La BCE voit en l’euro digital un formidable instrument de puissance, c’est peut-être pourquoi elle s’y intéresse tant.
Que se passe-t-il si un État peut faire porter une partie des coûts du confinement sur les autres avec de la dette supplémentaire ou des aides ? Le confinement peut durer longtemps.
Le gouvernement improvise des mesures qui risquent de vous appauvrir. Voici comment.
Par Karl Eychenne. Jusqu’où ira la BCE ? Encore de nouvelles mesures toujours plus extravagantes. Mais à trop vouloir plaire, elle se retrouve dans la peau…
Les facteurs qui ont soutenu la croissance économique en zone euro s’évaporent. Mario Draghi a une bonne raison de s’en réjouir : c’est son successeur qui gérera les échecs.
Entretien de 2003 du prix Nobel d'économie Milton Friedman qui revient sur l'évolution du monde depuis 1980.
Il risque d'y avoir de nouvelles législations pour permettre à l'euro de combattre l'or et le bitcoin : interdire le cash ne sera pas suffisant.
Les centaines de milliards d'euros de la BCE vont-ils générer de l'inflation ?
Pourquoi ne pas donner le libre choix de l'outil monétaire aux utilisateurs ?
Penser que la réforme monétaire préconisée par le rapport Sigurjonsson mettra un terme aux excès du système bancaire et financier est une illusion.
La zone euro n'a qu'une seule route à prendre si elle souhaite s'en tirer : restaurer la vision libérale de l'Europe.
Le président de la BCE, Mario Draghi, promet une inondation monétaire en vue de relancer l’économie.
Le Quantitative Easing est responsable d'une dégradation du marché de l’emploi et du niveau de vie de la classe moyenne aux États-Unis.
Le président de la BCE s’est engagé dans une politique conjoncturelle keynésienne qui tient plus du tour de passe-passe que de la réforme.
La menace de la déflation mobilise le gouvernement Hollande... mais faut-il vraiment en avoir peur ?
On sait que les économistes, notamment ceux qui conseillent les banques centrales, s’arrachent les cheveux : ils ne savent pas comment faire repartir de façon stable les économies, ni en Europe ni même aux USA.
C'est la surprenante argumentation du magazine Capital, en décalage avec la réalité.
Tandis que Ben Bernanke préfère ne pas discuter de la « relique barbare », il semblerait que Mario Draghi, président de la BCE, ait une opinion différente sur l’or.
Face à la taille de la dette belge, plusieurs scenarii demeurent possibles, mais aucun ne nous évitera la catastrophe.
Si l’imagination est au pouvoir chez les Banques Centrales, elle consiste avant tout à revenir aux erreurs du passé.