Quand le père Noël se fait piéger par la réglementation française
Le père Noël a du mal à faire son travail à cause des réglementations françaises.
Le père Noël a du mal à faire son travail à cause des réglementations françaises.
Est-il judicieux de recourir à l'arme fiscale pour punir des comportements à "vice" et améliorer le bien-être de la population ?
Les écueils de la fiscalité dite « comportementale » : si taxer les « vices » est politiquement attrayant, une telle instrumentalisation de la fiscalité cause toutes sortes d’effets indésirables sans pour autant changer les modes de consommation.
La réglementation actuelle est la cause d’opportunités manquées de créer de la valeur.
Loin de diminuer les risques sanitaires et environnementaux, le principe de précaution débouche souvent sur des « remèdes pire que le mal ».
Le gouvernement fait-il semblant d’ignorer les effets très indésirables de sa politique anti-tabac ?
Il faut « libérer » le marché légal pour lutter efficacement contre l’économie souterraine et les trafics illicites.
À chaque fois que quelqu’un dépose de l’argent sur son compte courant ou son Livret A, on le prête en fait à sa banque, qui en fait ce qu'elle veut.
En raison de récentes études, les hommes politiques français ont peut-être eu tort d’interdire le bisphénol-A de tous les contenants alimentaires.
La destruction des marques crée inutilement une défaillance du marché et n’est pas la solution aux problèmes de santé publique.
Le Sénat a décidé d’entériner l’interdiction du Bisphénol A de tous les contenants alimentaires pour le 1e janvier 2015. Est-ce bien raisonnable ?
L'Institut Economique Molinari publie une nouvelle étude sur les dangers d'une interdiction sans fondements réels du Bisphénol A. Le principe de précaution amène à se priver des bienfaits du progrès pour des risques non établis.
À l’évidence, les liquidités coulent à flot, de plusieurs manières, en direction des banques commerciales. Si elles ne peuvent plus se refinancer auprès de la BCE, elles s’adressent à leur banque centrale nationale qui crée en quelques clics de souris – grâce à l’ELA – les quantités d’euros dont elles ont besoin.
Dans une logique digne du pilotage des économies planifiées des pays ex-soviétiques, les économies nationales des pays-membres de l’UE, se trouvent de facto soumises au contrôle central de Bruxelles.
En France, la politique de santé publique a réduit la liberté de choix des patients et une bureaucratisation de l’offre de soins
L’EBA, l'autorité bancaire européenne, accuse toujours plusieurs coups de retard
L’idée derrière l’expansion du crédit relève en réalité de la pensée magique
La solidité du Fonds européen de stabilité financière est déjà mise à l’épreuve et testée par les marchés financiers
Attention, le placement or est sur la sellette : certaines banques européennes seraient sur le point de gager l'or de ses déposants
Loin de protéger le pouvoir d’achat des Français, ce produit d’épargne liquide le détruit bel et bien