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Renaud Dozoul, 34 ans, est architecte de formation. Il crée une agence à Paris en 2004 après avoir exercé pendant deux ans à Mexico. Il se consacre désormais à la recherche économique à l’Institut économique Molinari, et à l’écriture. Il publie notamment en 2011 "10 bonnes raisons de restaurer la Monarchie", aux éditions Muller, et travaille actuellement sur un ouvrage consacré aux fondements de la liberté en occident.
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La Cour européenne des droits de l’homme a récemment épinglé une loi sur le blocage des loyers mise en place par l’État norvégien. Cette décision devrait faire réfléchir Cécile Duflot, la ministre française du Logement, qui doit présenter un projet de loi assez similaire devant le Parlement à la rentrée.

Par Renaud Dozoul. Publié en collaboration avec l'Institut économique Molinari.

La Cour européenne des droits de l’homme a rendu un arrêté le 12 juin 2012 indiquant que la loi sur le blocage des loyers mise en place par l’État n... Poursuivre la lecture

Article paru dans Enquête&Débat le 23 novembre.

Sans doute l’une des idées fausses les plus ancrées dans les têtes, à droite comme à gauche. Il y aurait toujours quelque chose de suspect ou d’un peu honteux à chercher son intérêt. Un mélange de cupidité et d’égoïsme. Bref, le seul intérêt qui vaille, serait le fameux « intérêt collectif », que ses défenseurs ont tant de mal à le définir qu’ils se réfugient le plus souvent derrière une soi-disant évidence, qui voudrait que « collectif » implique généreux et universel.

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En répétant toute la journée que le pouvoir politique est « à la botte » du pouvoir financier, les journalistes et les représentants de l’opposition se gargarisent d’une lotion certes sucrée, mais confondante de mauvaise foi (ou chez les plus simples, de sottise). En effet, comment donner des leçons de morale aux marchés le matin, et y faire la manche l’après midi ?

Par Renaud Dozoul.

Quand même à gauche, on cite le général De Gaulle (qui inspire aujourd’hui jusqu’à Arnaud Montebourg) comme modèle de défiance vis-à-vis des « pou... Poursuivre la lecture

« Une société est plus juste quand elle subventionne les pauvres » : les bonnes intentions rendent cette idée reçue particulièrement tenace. Pourtant, la logique élémentaire permet de comprendre comment, en réalité, en cherchant à « aider » celui qui est en difficulté, l’État ne fait que cultiver la pauvreté. Et ça pousse…

Le principe de la subvention, c’est favoriser quelque chose. Et mécaniquement, plus l’on subventionne cette chose, plus l’on en récolte. Le problème, c’est qu’en « favorisant la pauvreté », l’État la favorise... Poursuivre la lecture

La pauvreté ? Les injustices ? L’exclusion ? Fini. Les sauveteurs de la France ont trouvé un nouveau mantra : « la lutte contre les inégalités ». Une aubaine, car si l’on peut venir à bout de la pauvreté et perdre son fond de commerce politique, l’égalité, elle, n’est pas pour demain. Pour une raison simple : ce n’est pas la vie.

On organise une course. Celui qui arrive en premier a gagné. Ce n’est ni par méchanceté ni par gentillesse, il a couru plus vite, il est arrivé premier, il a gagné. Imagine-t-on un instant faire la moyenne de... Poursuivre la lecture