Le socialisme aime tant les pauvres qu’il les fabrique

Les hausses de prix –  conséquences de la politique monétaire inflationniste des deux dernières décennies – font basculer rapidement toujours plus de monde dans la précarité.

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Le socialisme aime tant les pauvres qu’il les fabrique

Publié le 11 septembre 2023
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Le Secours populaire et Ipsos ont sorti une étude abondamment commentée, en même temps que l’association Les Restos du Cœur faisait part de ses difficultés financières.

Les points saillants de l’enquête Secours populaire IPSOS :

  • 53 % des Français déclarent ne pas pouvoir épargner.
  • 45 % déclarent avoir du mal à assumer leurs dépenses courantes, chiffre en hausse de 6% par rapport à l’année dernière.
  • 18 % vivent à découvert.

 

Tous ces chiffres sont en hausse.

Par ailleurs, ils sont 60 % à déclarer que la hausse des prix a fait baisser leur pouvoir d’achat (40 % sont donc probablement des esprits purs qui se télétransportent, ne se nourrissent pas, ne s’éclairent pas, et ne se chauffent pas).

X-Tweet du journal Le Parisien sur ce sujet :

 

Dans un billet bien troussé sur la polémique relative au don de la famille Arnault aux Restos du Cœur, le blogueur Charles Sannat met en regard deux autres statistiques prises sur le site viepublique.fr :

  1. À la date de l’enquête (mi-2022), 87 % des répondants possédaient un smartphone. Chez les plus jeunes, 18 à 25 ans, c’est 98 %.
  2. La durée moyenne de temps passé sur un écran s’élève à 32 heures par semaine.

 

Trente-deux heures, presque une semaine de travail à temps plein.

Pourquoi cette statistique est-elle importante ?

En 2014, Julien Damon, ancien président de l’Observatoire national de la pauvreté et de l’exclusion sociale, décrivait :

« Aujourd’hui, le pauvre est jeune, vient d’une famille monoparentale, demeure en zone urbaine et ne parvient pas à s’insérer sur le marché du travail ».

Le jeune possède un smartphone, et il est souvent au chômage. Il a le temps de surfer sur des publicités qui sèment la confusion entre besoins et envies.

 

Lutte contre la pauvreté ou l’inégalité : ce n’est pas la même chose

Les statistiques ont cela de merveilleux qu’elles concernent tout le monde, mais que personne ne s’y reconnaît.

Niveau de vie, pouvoir d’achat, revenu par habitant sont des notions en apparence simples, mais en réalité complexes. Une fois passé du nécessaire à la survie, chaque individu ne consomme pas les mêmes choses, n’a pas les mêmes besoins en fonction de son âge, du climat auquel il est soumis, etc.

L’INSEE considère qu’un foyer est pauvre si son revenu est inférieur à 50 % du revenu médian. Pour Eurostat, ce niveau se situe à 60 %.

La pauvreté telle que la mesure l’INSEE (ou Eurostat) est en réalité une mesure d’inégalité, entachée d’idéologie.

Petit exercice arithmétique pour prouver ce point.

Supposons que le Bar des Amis compte cinq habitués qui gagnent respectivement 50, 60, 80, 120 et 150 euros.

Le salaire médian est donc 80 euros (deux personnes ont plus, et deux personnes ont moins), et le salaire moyen est de 92 euros. Selon l’INSEE, aucun pauvre ne fréquente le Bar des Amis. Un beau jour, Bernard Arnault – qui gagne 10 000 euros- pousse la porte de notre paisible bistro et se retrouve inclus dans les statistiques du Bar des Amis. Le revenu médian du Bar des Amis va légèrement remonter pour se caler sur 100 euros (intermédiaire en 80 et 120 euros) et non plus sur 80 euros. L’irruption de Bernard Arnault a créé un pauvre. C’est proprement scandaleux, s’étoufferont les suppôts de la Nupes ! Inversement, le départ de Bernard Arnault fera disparaître ce pauvre éphémère.

Un pauvre est, sans aucun doute statistique, quelqu’un qui ne peut atteindre l’indépendance financière. Dans nos sociétés modernes, cet état est adouci par la redistribution, mais être dépendant de subsides étatiques ou de la charité, c’est toujours être dépendant. D’où la frustration des « sans-dent » comme les désignait avec compassion un président socialiste.

 

La lutte contre les inégalités engendre la pauvreté

Quelques chiffres et ratios clés de la fabrique de pauvres :

  • La France consacre 31,6 % de son PIB aux dépenses sociales, premier rang parmi les 34 pays de l’OCDE (source Statista)
  • 82,8 % d’une classe d’âge obtient son baccalauréat, contre 35 % il y a quarante ans (source INSEE). Mais le chômage des jeunes de moins de 25 ans atteint 32 % (source viepublique.fr)
  • Les entreprises subissent des prélèvements record par rapport à leurs résultats comptables comparés aux autres pays de l’OCDE.
  • Entre 1990 et 2012, le nombre d’agents publics a augmenté de 26,2 %, tandis que l’augmentation de la population n’était que de 12,5 %. La France compte 5,67 millions d’agents publics (source viepublique.fr) dont la masse salariale représente 22 % du budget de l’État, et 13,5 % du PIB, un des niveaux les plus élevés des pays développés.
  • Les chômeurs s’ajoutant aux retraités et aux assistés, à peine 40 % des Français produisent par leur travail les ressources qui font vivre l’ensemble de la population.
  • Le dette publique dépasse 3000 milliards d’euros, suite à une politique de déficits chroniques appliquée depuis plus de 50 ans.
  • Les déficits commerciaux s’enchaînent depuis vingt ans.

 

Un pays qui consomme plus que ce qu’il produit s’appauvrit.

Plus d’exclus, plus de pauvres mais toujours plus d’impôts, de taxes, de charges, de dettes… censés justement lutter contre les inégalités, faire régner la « justice sociale ». Et si c’était politiquement planifié ?

 

Il est de l’intérêt des politiciens de créer la dépendance

L’influence d’un homme politique est proportionnelle à la masse d’argent qu’il distribue. Plus de nécessiteux, c’est davantage de dépendance à la redistribution, et davantage de voix faciles à conquérir. Si rien ne change, c’est que l’ordre établi satisfait ceux qui nous gouvernent.

La fabrique de pauvres est donc voulue et assumée par la classe politique, quel que soit le bord dont elle se réclame. Il y a des socialistes de gauche et des socialistes de droite, mais toujours des socialistes.

Lorsque l’environnement économique international était particulièrement porteur, la France aurait pu corriger le tir et mener une véritable politique de pouvoir d’achat.

Mais les gouvernements de l’époque ont préféré importer encore plus de pauvres et taxer plus.

« La France ne peut accueillir toute la misère du monde » indiquait Michel Rocard en 1989 avant de se reprendre et de préciser : « La France ne peut accueillir toute la misère du monde, mais elle doit en prendre sa part ».

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  • La formule du titre est intéressante parce qu’elle interpelle, mais pour qu’elle soit utilisable comme un bon slogan il serait préférable qu’elle ne suggère pas une intentionnalité, à l’instar du texte (c’est la concurrence entre les politiques qui engendre leur attention particulière pour les pauvres).

    • Depuis le temps, les politiciens savent très bien que le système socialiste n’a jamais marché et ne marchera jamais.
      A part quelques omnubilés qui croient encore au système, c’est à peu prêt clair que les politiques aujourd’hui utilisent le socialisme volontairement pour rallier les gens à leur cause (pognon gratuits etc..) pour mieux les asservir.

      Ce n’est pas pour rien que la ré-education nationale aujourd’hui est une usine à future electeur socialiste.
      C’est devenu son but premier: assurer un électorat socialiste massif et lobotomisé sur la prochaine génération.

      D’ailleurs dans l’intro, il manque juste une dernière statistique de l’enquète IPSOS.
      90% de ces même gens qui se plaignent revoteront socialiste aux prochaines élections

      • ça marche pour arriver au pouvoir;.. ça peut aussi réduire les inégalités. voire la pauvreté relative mais ça ne marche pas pour diminuer la pauvreté absolue..

    • Marre de cette culture de la bonne intention et de la bonne excuse. Les bonnes excuses et les bonnes intentions, ça va un moment, mais quand ça fait au moins 40 ans que ça dure, il faut se rendre à l’évidence : les mauvais, que ce soit intentionnel ou pas, doivent être punis et mis hors d’état de nuire.

  • La démonstration est claire : pour supprimer les pauvres, il faut faire fuir les riches ou réduire à l’état de pauvres la classe moyenne, deux des activités favorites des partis socialistes.

    Pour compléter la phrase de Margaret Thatcher, il aurait fallu ajouter le constat qu’ il vaut mieux être pauvre dans un pays riche que pauvre dans un pays pauvre.

  • Si la classe politique agit d’une même volonté,
    Si la France est assez prévisible dans son déclin ou plutôt son manque de réactivité,
    C’est que notre régime politique ultra centralisé crée des circonsantes favorables à cela

  • Un politicien français est un remarquable commerçant. Et le produit qu’il vend, c’est lui-même. Se vendre en promettant de distribuer de l’argent n’est-il pas la meilleure façon de se faire élire ?
    Et plus il y a de pauvres, plus il y a d’électeurs pour la gauche : ce qui démontre que le socialisme n’a aucun intérêt à enrichir la population. Et ce qui explique l’idéologie de M. Panot :  » Un milliardaire, ça ne sert à rien « .

    • Le politicien promettrait donc d’enrichir ses électeurs pour être élu tout en s’assurant qu’il reste pauvre pour être réélu ?

      • Les politiciens français ne promettent pas d’enrichir leurs électeurs. Ils promettent de faire payer très cher les riches, puisqu’ils se seraient enrichis aux dépens des pauvres. Sauf les riches politiciens, cela va de soi…

      • Si le politicien ne touchait comme indemnité de son mandat que le salaire médian de ses électeurs (hors aides sociales, c’est à dire qu’un électeurs au RSA compterait comme ayant 0€ de revenu), soyons certains que tous se bougeraient pour que les Français deviennent vite riches.

  • « Et si c’était politiquement planifié ? »
    Ce serait faire un pari bien présomptueux sur l’intelligence du politique.
    Simone ne connaît pas le rasoir. A part celui de Gillette sans doute. Je parlais de celui de Hanlon :
    – Ne jamais attribuer à la malveillance ce que la bêtise suffit à expliquer.

    • Très bien observé !

    • planifié si on veut, mais pas l’appauvrissement, le plan est avoir le pouvoir, et, pour les intellectuels, se venger des « mercantiles » …nous avons des armées de diplômés qui estiment mériter du pouvoir et de l’argent..et qui vomissent le succés des gens « non éduqués  » qui gagnent bien leur vie…

      la formule le socialisme ne marche pas est lassante..ça marche très bien pour arriver au pouvoir dans les démocraties;

      • Le socialisme, c’est comme le Port-Salut, c’est écrit dessus.
        Le parti socialiste a fait moins de 2 % aux dernières élections.
        Donc, oui, ça ne marche pas.
        Les autres partis ne sont pas socialistes, mais étatistes.
        Si déjà Simone et Cie savait de quoi elle parle, sur ça et tout le reste…
        Ce qui me désespère, voyez-vous, ce n’est pas que Simone soit bête. Je m’y habitue.
        Ce qui me désespère, c’est qu’elle soit bête tout en se présentant comme libérale.
        C’est pas une brillante publicité pour un libéralisme triomphant.

        -4
        • l’étatisme, c’est du socialisme et réciproquement, c’est à dire transférer de force à l’Etat et à la sphère publique ce qui relève de la liberté et du privé.

          • Tout ça est aussi surréaliste que ces gauchistes qui voient du fascisme ultralibéral partout.
            A chacun son point Godwin. Là le facho. Ici le socialo.
            Mais qui ou quoi produit toute cette mélasse ?

            -1
        • AbsconNeant et ses procédés ad personam, ses jugements personnels dénués de toute argumentation mérite bien une réponse à la hauteur.
          Dire que les autres partis ne sont pas socialistes est comme dire que les autres partis ne sont pas étatistes: c’est une vraie idioti.e que vous proférez là. Bien sûr que les autres partis sont tous socialistes, à des degrés divers, mais ça ne cause même plus de débat. Et cependant, du haut de votre perchoir vous en concluez que Simone est bête.
          En fait, vous lui attribuez tous les travers dont vous êtes vous-même porteur, et si quelqu’un ici n’est pas une publicité pour un libéralisme au moins intelligent, c’est définitivement vous.
          Simone Wapler écrit des articles, vous les commentez comme ça, cela suffit à établir une claire différence. En toute amitié. Bisous.

    • @Abon Neabcent Vous faites un pari présomptueux sur l’inculture de Simone, qui ne connaîtrait pas le rasoir. Or, ressortir cette citation à toutes les sauces n’est pas non plus un signe d’intelligence ou de culture. Oui la bêtise peut expliquer ces choix calamiteux, mais, s’il est clair que certains de nos politiques sont des idiots, le 1er d’entre eux ne l’est pas. Macron a su se mettre les journaleux dans la poche. Oui, il est intelligent, suffisamment pour planifier la décadence et distribuer les chèques pour se faire réélire. Ça marche.
      Et suffisamment intelligent pour continuer à ne surtout pas former correctement les Français, qui ne connaissent rien à l’économie. Il ne va surtout pas modifier les programmes ni, surtout, les enseignants gauchistes. Pap nDiaye était son choix, maintenant il choisit Attal pour faire plaisir aux 60% de Français qui ont les yeux ouverts sur l’islamisation de la France, et obtenir leurs votes à terme. C’est de l’intelligence, du calcul politique intelligent, rien à voir avec Hanlon.

      • « … suffisamment pour planifier la décadence » … vraiment ?
        Quel est son intérêt ?
        Il est intelligent, alors il devrait savoir que la planification ne fonctionne pas, non ?

        • Celle-ci, si ! La preuve ? Elle réussit à faire élire et réélire des gens de gauche, alors que les Français ont le cœur à droite ! Les Français ne sont pas formés aux rouages économiques, leurs profs sont de gauche et ça arrange bien celui qui est au pouvoir. Grace à la promesse de « protéger » les Français, du « tous ensemble », de l’égalitarisme, il obtient des gens qu’ils votent pour lui.

          • Pourquoi je dis « planifier la décadence » ? Parce que je parle de l’école. On n’apprend plus rien, à part trier les déchets et désormais qu’un homme peut être enceint. On fait en sorte que surtout les Français ne sachent plus réfléchir, qu’ils se contentent de gober ce que dit BFM (et le Covid a bien prouvé que ça marche) et vous obtenez un pouvoir facile. Plus besoin d’être bon et d’avoir des arguments, de devoir obtenir l’adhésion éclairée des électeurs. Non, juste promettre des chèques.

  • Bah, c’est la base du capitalisme, pour avoir plus de riches il faut plus de pauvres… Il y a plein de riches… Normal, le socialisme n’y est pour rien, leur fond de commerce est le pauvre, évidement plus nombreux pour voter… D’où l’échec du communisme… Limiter la classe moyenne , erreur grossière, qui va acheter du viton (lvmh) et le rendre riche ?…. Surment très dur en virant la Russie et la Chine…

  • Analyse brillante, malheureusement, car rien ne change malgré les avertissements. L’argent que l’on n’a pas, enfin que l’Etat n’a pas, continue à couler à flots.

  • Voilà ce que disait Krouchtchev en 1959
    1. Santé : contrôlez les soins de santé, vous contrôlerez le peuple.
    2. Pauvreté : augmentez la pauvreté au niveau le plus haut possible, les pauvres sont plus faciles à contrôler et ne riposteront pas si vous leur fournissez tout.
    3. Dette : augmenter la dette à un niveau insoutenable, de cette façon, vous êtes en mesure d’augmenter les impôts, ce qui entraînera plus de pauvreté.
    4. Contrôle des armes à feu : supprimer aux citoyens la capacité de se défendre eux-mêmes, de cette façon, vous pouvez créer un État policier.
    5. Aide sociale : prenez le contrôle de tous les aspects (nourriture, logement, revenu, chômage, retraite) de leur vie, cela les rendra entièrement dépendants du gouvernement.
    6. Éducation et médias de masse : prenez le contrôle de ce que les gens lisent, écoutent et voient et contrôlez ce que les enfants apprennent à l’école.
    7. Religion : enlever toute croyance en Dieu du gouvernement et des écoles parce que les gens doivent croire au seul gouvernement qui lui, sait ce qui est le mieux pour le peuple.
    8. Guerre de classe : divisez le peuple entre les riches et les pauvres et éliminez la classe moyenne. Cela provoquera plus de mécontentement et il sera plus facile de taxer les riches avec le soutien des pauvres.

  • En France on aime la pauvreté.
    Alors maintenant que nous sommes tous pauvres, de quoi nous plaignons nous ?

  • Quoi qu’on pense de Sarko, sa formule est bonne :
    « La différence entre Hollande et moi ? Hollande voulait moins de riches, moi je voulais moins de pauvres ! »

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