Il faut que les choses soient claires : l’empreinte carbone qu’il s’agit de réduire, c’est vous ! Et c’est tellement vrai, tellement évident qu’une récente tribune du journal Le Monde revient sur ce qui est maintenant un but affiché de l’écologie de combat, à savoir la réduction active de l’humanité.
Peu importe que les dernières projections raisonnables montrent une réduction naturelle drastique (plus de 50 %) de la population d’ici 2100 ; pour les activistes malthusiens du climat, pas de doute : éliminer rapidement une partie de la population constituerait une vraie solution pour lutter contre un réchauffement climatique qu’ils continuent de voir dans des phénomènes disparates et à l’aune de prophéties plus ou moins catastrophistes pourtant régulièrement repoussées (nous devions tous mourir brûlés ou noyés en 2000, puis 2010, puis 2020 puis… bientôt, promis juré craché).
Et il est indubitablement exact que si on élimine les humains, il n’y aura plus de dioxyde de carbone anthropique, par définition. Vu ainsi, on comprend que les doses d’humanisme des écologistes sont rapidement passées dans le domaine homéopathique : en quelques décennies, l’écologie s’est transformée d’une collection de principes – dont certains de bon sens comme une lutte contre les atteintes dangereuses pour l’Homme à son environnement – en une idéologie de plus en plus invasive puis une véritable religion avec sa doctrine (dont la hausse du niveau des océans ou le réchauffement climatique en sont des piliers), ses prêtres (politiciens et figures médiatiques d’ONG officiellement syntonisées avec Gaïa) et ses rites depuis le tri des déchets jusqu’à la lutte contre le nucléaire ou la pédalomanie cyclopathe fièrement affichée par certains.
Comme il s’agit maintenant de religion, que cette dernière n’est pas ouverte à débat et comme manifestement la majorité du peuple ne suit pas (en témoignent les scores systématiquement faibles des écolos pur sucre aux élections), l’usage de la force devient de plus en plus nécessaire. C’est donc sans surprise que ces mêmes écolos, se cachant derrière un paravent de non-violence, multiplient les actes délictueux dont la violence n’est justement plus exclue : blocages d’autoroutes et vandalismes plus ou moins démonstratifs se multiplient pendant qu’en parallèle se propage le parasitage systématique des activités humaines par des actions destructrices.
On répètera que c’est non-violent (même lorsqu’on observe le contraire) et le journal de 20 heures est garanti.
Dans ce contexte, les politiciens auraient tort de ne pas pousser leur Agenda 2030 qui offre un boulevard à la mise en coupe réglée de toute l’économie et au contrôle total (et totalitaire) de chaque individu par une petite caste de décideurs, ce qui leur permet d’aller pavaner en toute hypocrisie à Charm El Cheikh sous les bravos serviles des médias subjugués.
Pourtant, le suicide collectif auquel ces mesures débiles aboutissent inévitablement commence à en inquiéter plus d’un à mesure que les effets palpables commencent à se faire sentir : c’est bien joli de multiplier les règles environnementales toutes plus handicapantes les unes que les autres, c’est très mignon de réclamer la sauvegarde de la galinette cendrée à tout prix, c’est fort écolo de se ferrer aux pieds tous les nouveaux boulets à la mode avant de tenter de courir, mais ces signalements vertuels gluants se traduisent maintenant par une baisse de compétitivité, puis des pertes d’emploi, puis des fermetures d’usines, puis de la misère pour tous.
La ZAD, son cortège de cahutes minables et son côté bidonville boueux, était jusqu’à présent l’horizon indépassable des seuls hypocondriaques de l’environnement. Au vu du déluge incessant de législations mortifères, elle va devenir la norme pour les citoyens français forcés de retourner bien vite dans un Moyen Âge éco-conscient c’est-à-dire sans énergie et avec le ventre vide.
Ce n’est pas une exagération : le suicide de la société occidentale et notamment française est en cours, résolument choisi par une part maintenant croissante d’hurluberlus incapables de planifier au-delà de quelques jours mais persuadés d’avoir tout compris du climat sur 100 ans.
Ainsi, le cas de Bridor est symptomatique : harcelée par les bobos écolos du cru, l’entreprise se voit contrainte d’abandonner complètement un projet d’usine de viennoiseries en Ille-Et-Vilaine. Les 500 emplois et la richesse créés le seront donc ailleurs, hors de France.
Ce n’est pas un exemple isolé, loin s’en faut : comment croire que la guerre ouverte menée actuellement contre les voitures thermiques, dont la disparition a été arbitrairement décidée pour 2035, va se passer comme sur des roulettes électriques ?
Les coquefredouilles gouvernementaux découvrent seulement maintenant que cette législation est en train de condamner directement à la ruine tout un pan de l’économie européenne, entraînant dans sa disparition celle de millions d’emplois et la délocalisation (en Asie essentiellement) de douzaines d’entreprises et de savoir-faire pourtant uniques. On s’amusera (modérément) de voir ces imbéciles diplômés aux maroquins trop importants tenter à présent de rétropédaler devant l’énorme bourde qu’ils ont commise en essayant d’introduire des clauses de revoyure d’ici quelques années.
Comme le disait Philip K. Dick, la réalité c’est ce qui persiste à exister même lorsqu’on cesse d’y croire, et le crépi rugueux de cette dernière commence tout juste à râper les fesses tendres et trop dodues de certains politiciens qui comprennent – malheureusement trop tard et encore trop confusément – que les prochaines semaines, les prochains mois tout au plus, verront l’aboutissement catastrophique d’années de décisions imbéciles.
Devant ces perspectives, il n’est dès lors pas du tout étonnant que tout soit fait en coulisses pour mater le peuple lorsqu’il aura assez de ces vexations idiotes. Les prochains mois seront musclés.
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Il va devenir urgent de s’expatrier en direction de l’Asie ( Vietnam, Thaïlande,…..etc) Chine mise à part bien sûr!
La « pédalomanie cyclopathe » a fait mon bonheur ce matin. Merci pour ce billet malheureusement beaucoup moins réjouissant sur le fond.
Et les coquefredouilles? N’oublions pas les coquefredouilles!
Et du coup on peut aussi décliner en pédalopathe cyclomaniaque
Soyons égoïste et constatons que l’ex-président Obama s’est offert une villa de 12 millions de dollars au bord de l’océan à Martha’s Vineyard. On va supposer que, certes il est riche, mais pas suffisamment pour s’asseoir sur 12 millions. Comme il a 61 ans, en bonne santé avec pleins de toubibs qui veilleront sur lui, on peut se dire qu’on a encore une trentaine d’années de tranquillité avant la montée des eaux…
« Prends plutôt garde aux tsunamis qu’à l’élévation climatique du niveau des océans. » — Proverbe japonais.
Vous n’avez rien compris ! Ainsi que François Hollande nous l’a assuré, les tsunamis, les tremblements de terre et les éruptions volcaniques sont tous des conséquences du réchauffement climatique…
Désolé, je ne comprends pas ce qui est écrit en hollandais.
La nasa, l’affirme, y a pas de réchauffement même que…, le niveau de la mer… Ça bouge pas trop même qu’on ne sait pas si c’est la mer qui monte ou la terre qui s’enfonce.. Et pour la pollution, on n’a jamais été aussi vieux… Malgré nos hôpitaux et médecins de pacotilles… Pourquoi font ils ça…… Sans doute pour de bonnes raisons… Financières, est-ce quelque chose est plus important ?
Homo Sapiens étant ce qu’il est depuis qu’il est (???), avec sa tendance à se prendre pour « Dieu », a besoin de croire que sa faiblesse physique est compensée par l’intelligence qu’une entité divine lui a donnée.
Certes nous sommes intelligents, mais nous avons une faiblesse : celle de croire qu’on sait. Alors il y aura toujours des petits malins pour profiter de nos peurs et nous manipuler.
La Fin du Monde ! La naissance des religions…
@Baby-foot: Mais si, on le sait. Ce n’est pas la mer qui monte, c’est la terre qui s’enfonce sous le poids des Migrants. C’est (peut-être) Zemmour qui l’a dit, donc c’est sûrement vrai.
La « pédalomanie cyclopathe » 😀
Merci à h16 pour le vrai plaisir occasionné par la lecture de cette expression !
Pour revenir sur le sujet-même de votre billet :
Le dogme (excluant toute controverse) + la propagande (permanente) + la censure (envahissante) : cela ne s’apparenterait-il pas à une sorte de totalitarisme ?…
Les Français qui croient au réchauffement d’origine humaine sont majoritaires, en particulier dans les milieux éduqués, même chez les ingénieurs.
C’est très inquiétant car ce sont eux qui ont voix au chapitre et qui cautionnent les politiques gouvernementales, en achetant des véhicules électriques par exemple.
On peut facilement faire un parallèle avec ceux qui étaient pour le vaccin anti Covid obligatoire. Ce sont grosso-modo les mêmes.
Je pense que l’esprit critique n’a rien à voir avec le niveau d’études mais est lié à notre caractère.
Quand on est docile, on manque forcément d’esprit critique et on pense sincèrement que nos autorités ne nous veulent que du bien.
Les moutons ont peur du loup alors que c’est leur berger qui les conduit à l’abattoir…
la question n’est pas de croire au réchauffement climatique anthropique ..le diable est dans les détails…
combien?
Autrefois, l’esprit critique participait à l’élévation sociale. Maintenant, avec le politiquement correct omniprésent, c’est le contraire.
Regardez de quoi se vante un ingénieur sur LinkedIn ou sur le site internet qui l’emploie : maîtrise de l’Eurocode ceci, connaissance et respect des enjeux environnementaux, formation au développement durable, etc., là où mes parents faisaient état des réalisations délicates auxquelles ils avaient contribué.
@jean paul pas seulement caractère : respect de classe aussi . Les plus formés font confiance aux gens qui sont comme eux . Et puis aussi le culte de la raison portée au pinacle chez nous et dont l’indice se mesure aux cursus scolaire , et au détriment des « tripes » de l’intuition , de l’expérience vécue .
« C’est très inquiétant car ce sont eux qui ont voix au chapitre et qui cautionnent les politiques gouvernementales, en achetant des véhicules électriques par exemple. »
Ne vous trompez pas de cible. J’ai moi-même acheté un véhicule électrique par souci d’économie, étant un gros rouleur par obligation professionnelle, mais dans un périmètre réduit autour de chez moi. Le prix de l’essence et les fréquentes grèves de raffineries entraînant des pénuries m’ont d’ailleurs conforté dans mon choix.
Je considère que le choix de la motorisation de son véhicule doit être dicté par ses propres besoins et non par une quelconque idéologie, qu’elle soit « pour » ou qu’elle soit « contre ». Je ne cautionne aucunement les politiques gouvernementales à coups de vignette Crit’Air et autres ZFE visant à jeter une bonne partie du parc automobile actuel à la casse.
Excusez-moi si je me suis mal exprimé : je ne vise aucunement les possesseurs de véhicules électriques mais il se trouve que ceux que je connais font un prosélytisme que j’ai du mal à supporter.
Je suis pour la liberté de chacun et, bien que vivant confortablement, je m’inquiète comme vous pour ceux qui ne pourront bientôt plus circuler dans les « ghettos bourgeois »
Votre phrase de conclusion est, je trouve, une très belle image.
« Je pense que l’esprit critique n’a rien à voir avec le niveau d’études »
Au contraire, il a tout à voire, mais dans l’autre sens : les études depuis fort longtemps (l’abandon de la méthode scolastique, peut-être?) consistent à avoir devant soi un gus « qui sait » et à considérer ce qu’il dit comme vrai, par construction. Ca entraîne a laisser l’esprit critique au vestiaire.
On pourrait penser qu’au niveau doctorat (les vrais, pas ceux en médecine) ça change… mais ça serait (un peu) à tort. Certes on est enfin entraîné à considérer que la vérité écrite ici où là peut se contester, n’est sans doute pas absolue. Mais dans le même temps on est également (sauf en maths, dieu merci) contraint à ne rien pouvoir écrire sans avoir auparavant dit « comme le dit bidule dans son papier de 20XX,… » Et à considérer que le fait qu’un truc ait été publié le rend « sans doute vrai ». Au moins jusqu’à ce qu’il faille le considérer comme faux !
Bref, on a sans doute plus d’esprit critique si on s’abstient d’étudier trop et qu’on observe juste que tout le monde se trompe régulièrement et que la différence entre « une vérité certaine » et « un mythe » était de quelques siècles jadis mais n’est plus de nos jours que de quelques années, en général…
Vous avez raison, l’évolution du nombre de diplômés n’a rien arrangé.
Autrefois, les entreprises comptaient quelques ingénieurs, pas mal de techniciens et beaucoup d’ouvriers. Aujourd’hui, la pyramide est inversée et ne laisse plus aucune place à la promotion des autodidactes qui avaient une connaissance empirique plus proche de la réalité.
Et la propagande continue son train train : « prenez les transports en commun. » que les élites ne prennent pas, le jet privé, le 4×4 personnel, c’est mieux.
Il y a environ 30 ans, dans un article dans les Courriers de l’UNESCO, le Commandant Cousteau disait qu’il fallait réduire la population de 300 000 personnes… par jour.
Le commandant Cousteau avait beaucoup baissé sur la fin !
Et comme déjà il est parti de sous la surface…
L’ivresse des profondeurs…
Merci, une synthèse lucide.
« une part maintenant croissante » rhooo..pas gentil..
Quand je suis né il y avait 50 millions de francais. maintenant on est 68 millions et ca continue de monter…
Evidement c est difficile de prevoir ce qui se passera dans 80 ans mais penser qu il y aura un declin de la population mondiale c est comme ceux qui en 1965 pensaient que l homme s installerai sur mars en 2050 ou qu on pourrait aller en vacances sur la lune ..
A part si une epidemie genre peste noire arrive, la population mondiale continuera de croitre tout simplement parce que l afrique ou l inde continueront le lapinisme (une guerre n ets pas suffisante.la seconde guerre mondiale n a pas freiné l accroissement de la population)
Et meme en europe ou aux USA, la tendance decroissante pourrait se retourner. La baisse de la natalite est surtout due aux conditions economiques des jeunes generations : chomage, emploi mal payé, immobilier cher. Sur les 2 premier points, c est en train de changer (justement parce la baisse de la natalité fait qu on a moins de chomeurs 20 ans plus tard). pour l immobilier c est aussi en train de se retourner (hausse des taux). Quand les boomers vont deceder en masse ou devoir vendre pour payer l ephad, ca risque de chuter severe. Evidement, il se peut que les boomers reussisent a transferer les couts sur les jeunes generations (et donc pas de vente) mais ca va etre difficile : nos cotisations sociales/impots sont deja au taquet
N’ayez crainte : le bâtiment va stopper net son activité, faute de matériaux bon marché 🙂
@cd
Bonsoir,
« . La baisse de la natalite est surtout due aux conditions economiques des jeunes generations : chomage, emploi mal payé, immobilier cher. »
Non, la baisse se la natalité n’est pas due à cela. Elle se produit quand l’économie d’un pays se porte bien. Tous les pays occidentaux, dits « riches’, ont une natalité qui décroissante. Certains réussissent à atteindre le seuil de 2,1 avec l’immigration.
« A part si une epidemie genre peste noire arrive »
La peste communiste suffit : en 100 ans, 262 millions de personnes ont été tuées par leurs gouvernements socialo-communistes, hors Guerres Mondiales. Les famines plus ou moins organisées (Ukraine par exemple) sont des bons outils pour éliminer des populations sans passer par la case génocide.
Les Arrmeniens apprécieront votre commentaire.
Le but n’est pas que les boomers aient leurs retraites, le but est la fin de la propriété privée. Comment cela s’est produit pour les Juifs en Allemagne dans les années 30 à votre avis ?
On a beaucoup dit à l’encontre des écologistes. L’avenir semble les effrayer et la pollution leur devient de plus en plus secondaire. Je pense qu’aujourd’hui ils sont tombés dans cette sorte de morbidité qui, faute de pouvoir faire face à un monde complexe, se manifeste par la propension infantile à vouloir tout détruire.
Il y aura des problèmes mais tout se fera à bas bruit. Il suffit de voir les réactions durant le covid pour se rendre compte qu’une majorité de français sont de vrais moutons. Ceux que ça dérange ne feront rien.
Il se passera comme lorsqu un parking/espace public devient payant ou plus cher. Plutôt que de se plaindre au maire, plus personne ne va dans les centre villes qui deviennent morts tandis que les plus malins iront se garer plus loin dans les quartiers résidentiels. Rares seront ceux qui prendront le bus ou tramway.
Ce n’est que 10 ans après un changement de maire que le successeur se posera effectivement la question et tentera éventuellement de revenir en arrière. Malheureusement pour tous, comme son prédécesseur aura pris soin de passer des contrats avec une société privée et aura tellement détruit les routes pour élargir une chaussée ou construire une piste cyclable que le coût de tout refaire dissuade de tout retour arrière.
Il se passera pareil. Il y aura quelques aménagements mais personne ne fera machine arrière. L’inertie est trop importante. Tous les médias sont largement acquis à la cause et aucun politique n’a envie de se retrouver face à tout le monde.
On reviendra certainement en arrière. Il n’y a rien de plus facile que de dégommer des aménagements qui utilisent déjà des axes préétablies qui étaient des routes. On va voir également en cas d’urgence comment les ambulances et pompiers vont se débrouiller, bloqués sur un axe sans possibilité d’avancer et de reculer. Ne rigolez pas, il y a déjà pas mal de villes où c’est déjà comme ça. Combien de morts à la clé?
L’écologie n’est rien d’autre que nous ouvrir les yeux sur les limites déjà dépassées de l’extraction des matières premières, des rendements décroissants et des pollutions en tout genre. Ex: La voiture électrique c’est admiré son nombril, pour notre mobilité nous avons nos jambes, le vélo, la trottinette, le cheval etc. par contre nos marchandises ne se déplacent pas toutes seules et dépendent des énergies fossiles et rien ne peut les remplacer. L’agriculture est aussi 100 % fossiles, engrais, phytosanitaires, tracteurs, moissonneuses électriques ? (100 litres de diesels par hectare cultivé) et toute la logistique, froid, emballage jusqu’aux consommateurs. Depuis 2015 les investissements dans les fossiles sont passés de 800 à 350 Milliards de dollars par an à cause du manque de financement dû au changement climatique, donc en déclins volumiques. Les découvertes sont 1/10 de la consommation. Nous avons donc le choix maintenant entre la sobriété voulue ou la pauvreté imposé avec le même résultat.
L’industrie des énergies fossiles s’arrêtera quand le rendement énergétique sera négatif, même avec un baril a 10.000 dollars, c’est-à-dire qu’elles n’auront rien à vendre pour avoir consommé tout ce qu’elles auront produit, c’est de la physique et n’a rien à voir avec l’économie. On ne peut pas dupliquer les autres énergies sans les fossiles. Donc retour au 18 ieme siècle.
https://www.aspo.be/les-decouvertes-mondiales-de-petrole-et-de-gaz-de-2021-au-plus-bas-niveau-en-75-ans/
https://www.aspo.be/lunion-europeenne-risque-de-subir-des-contraintes-fortes-sur-les-approvisionnements-petroliers-dici-a-2030-une-analyse-de-the-shift-project-juin-2020/
Belle enfilade de poncifs faux.
« Les réserves mondiales de pétrole seront épuisées en l’an 2000. C’est une certitude ». René Dumont, des Amis de la Terre, dans les années 60.
« un but affiché de l’écologie de combat, à savoir la réduction active de l’humanité. » Et ça ne date pas d’aujourd’hui : « dans le siècle à venir, deux dixièmes de la population active suffiraient à maintenir l’activité de l’économie mondiale» Brzeziński 1995. Ancien conseiller de Carter, il a fait son nid dans la haute administration américaine, dont il continue d’animer la politique étrangère (notamment ukrainienne) à l’ombre d’Obama (patron réel de Biden). Accessoirement, membre fondateur de la Trilatérale en compagnie de David Rockefeller.