Ce 20 janvier, à l’occasion d’une conférence de presse le Premier ministre Jean Castex, a présenté aux côtés d’Olivier Véran un calendrier de levée des restrictions liées au covid. Néanmoins, comparé à certains pays européens, cet allègement est faible et une vraie sortie de crise semble encore loin.
Levée de certaines restrictions
En matière de levée de restrictions, le calendrier est le suivant :
- 2 février : fin du télétravail obligatoire, des jauges dans les stades et du masque à l’extérieur
- 16 février : réouverture des discothèques, reprise des concerts et des consommations debout dans les bars
- Après les vacances de février : un potentiel protocole sanitaire allégé à l’école
L’évolution de la situation sanitaire nous permet d’envisager un allègement des contraintes dès les premiers jours de février : pic.twitter.com/sxzCiXDzIt
— Jean Castex (@JeanCASTEX) January 20, 2022
Le gouvernement prend son temps pour supprimer des mesures absurdes comme le masque à l’extérieur et l’interdiction de manger debout. Ce calendrier est finalement très administratif comme toutes les décisions du gouvernement français, empêtré dans une logique technocratique.
Le pass entre en vigueur lundi… pour très longtemps ?
Sous réserve de la décision du Conseil constitutionnel attendue aujourd’hui, le pass vaccinal entre en vigueur lundi 24 janvier.
Le pass vaccinal, que la représentation nationale a voté, entrera en vigueur lundi prochain, le 24 janvier – sous réserve, bien sûr, de la décision du Conseil constitutionnel attendue demain. pic.twitter.com/8I8LyxFJKc
— Jean Castex (@JeanCASTEX) January 20, 2022
Jean Castex a annoncé les conditions dans lesquelles le pass pourrait être suspendu (on notera qu’il parle de suspension et pas de suppression) :
Le pass pourrait tout à fait être suspendu si la pression épidémique et surtout hospitalière venait à se réduire fortement et durablement. Si nos services de réanimation ne voyaient plus arriver de nouveaux malades pendant plusieurs semaines, si nos hôpitaux n’étaient plus obligés de déprogrammer des soins, si la pression sanitaire redescendait au plus bas, alors nous serions amenés à lever le pass, tout en nous tenant évidemment prêts à le réactiver en cas de redémarrage.
Mais l’hôpital étant toujours sous pression, y compris avant l’arrivée du covid en 2020, ces conditions pourraient être très difficiles à satisfaire même en cas de fin de pandémie.
Une politique à contrecourant de certains voisins
Ces mesures prouvent une approche très technocratique, ce qui n’est guère surprenant puisque le président et le Premier ministre sont énarques. Pendant ce temps, la République tchèque renonce à la vaccination obligatoire, le Royaume-Uni lève les restrictions, dont le pass sanitaire (qui était moins strict qu’en France, car exigé seulement pour les discothèques et les grands rassemblements), l’Espagne se prépare à considérer le covid comme une grippe…
Sauf erreur, les vaccins actuels n’ont aucune efficacité sur les nouveaux variants voir néfastes, ils accentuent l’épidémie…. Alors son pass..il ne s’arrêtera jamais puisque les vaccins arn sont mauvais, ils n’empêchent pas la contamination bien au contraire.. Mais sans doute est-ce leur but.. Ainsi que la vente d’auto test douteux partout pour accentuer la peur, faut enfermer d’urgence ces guignols. Y a jamais eu autant de contaminés que depuis qu’on impose le vaccin et les masques…
Si, si, si, si et si !
Le fake premier ministre s’empêtre dans une justification administrative de l’incertitude couvrant les calculs électoraux de son maître. Cela en devient risible : afin de ne pas prendre de risque pour son boulot de dans 3 mois, M l’emm… décide de ne rien décider mais de nous en détailler la mise en place par l’administration.
La vérité est que omicron-bis (modèle danois) va torpiller les stats qui servent de justificatif aux décisions pifométriques du chef de guerre. Le druide marseillais a fait part il y a une semaine d’une inquiétante constatation sur les “vagues” : leur durée semble assez constantes et peu dépendantes du taux de contamination ou de la dangerosité. S’il a raison, M sera encore empêtré dans ses indicateurs absurdes dans 2 mois avec de nombreuses contaminations, des “hospitalisations” d’une journée (?!?), et une gestion de la crise de plus en plus loufoque.
En effet, les données écossaises, danoises, norvégiennes… montrent qu’avec Omicron l’efficacité des vaccins est désormais négative (on a plus de chances de chopper Omicron en étant vacciné qu’en ne l’étant pas, et même plus en étant “3 doses depuis plus de 3-4 semaines” que “2 doses”… et plus de chances d’être hospitalisé pour Omicron si vacciné que si non vacciné, et plus de chances d’aller en réa si vacciné que non vacciné. Pour la réa, les chances d’y aller avec trois doses récentes sont assez faibles, ayons l’honnêteté de le reconnaitre).
Résultat, et si cela se confirme, la politique “vaccin, vaccin, vaccin” de notre brave péquenaud de premier ministre et de notre ado écervelé de président s’apparente à une mise en danger de la vie d’autrui. Et cela même si les nombreux effets secondaires qui n’existent pas mais s’expliquent aisément par l’effet nocebo -media dixit- (faut croire donc que la majorité des vaccinés l’ont été malgré eux, alors, et donc que le “consentement éclairé” des patients aurait été piétiné ?).
L’un comme l’autre, la fin de partie risque de se passer devant un tribunal international type Nuremberg (encore !) et comme les peines prévues par le code de Nuremberg comprennent la mort, on pourrait voir nos fiers énarques-politiciens pendus haut et court. Ce qui au vu des annonces récentes (éclairées par les données et études récemment publiées dans la monde) serait bien triste mais ne me choquerait pas tant que ça, en fait…
Le scénario qui se déroule sous nos yeux accrédite les pires théories complotistes.
L’adoption du passe vaccinal par les députés est logique, puisque les élus LREM doivent tout à leur chef.
La décision du Sénat est déjà nettement moins compréhensible et on se demande bien quelle est leur véritable motivation. Si quelqu’un a une explication je suis preneur.
La décision du Conseil constitutionnel qui, à l’évidence, est constitué de membres adeptes de la position couchée est inique.
Comme le dit l’auteur de cet article, le premier ministre n’a pas évoqué la suppression du passe, mais uniquement sa suspension en cas d’amélioration de la situation. Notons que c’est ce même gouvernement qui appréciera l’amélioration de cette situation. Sur quels critères ? On ne sait pas encore…
Chaque citoyen français sait maintenant qu’il vit dans un pays qui n’est plus un état de droit, malgré les leçons que nos dirigeants se permettent de donner à la terre entière.
J’ai bientôt 63 ans, je m’intéresse depuis tout petit à la politique, je vote généralement eu centre droit, et j’assure aux plus jeunes que je n’ai jamais vu un tel abus de pouvoir.
Je comprends très bien qu’on doive prendre des mesures exceptionnelles pour faire face à un évènement imprévu, mais ce que je vois là n’a plus rien à voir avec la crise sanitaire.
Depuis 2 ans, nous avons eu droit à l’attestation pour sortir de chez soi à 1km pendant 1 heure, aux couvre-feu, à la fermeture des commerces” non essentiels”, au port du masque en intérieur puis en extérieur, au passe sanitaire puis au passe vaccinal.
Nous avons maltraité les enfants qui respirent leurs miasmes piégés par leur masque, la vision de ces mômes masqués qui jouent dans la cour de l’école de mon village me déprime
Nous avons maltraité les résidents des Ehpad en les privant de visite.
Nous avons empêché les familles d’accompagner leurs parents mourants, nous les avons même privés de funérailles dignes de ce nom.
Nous avons vu notre pays s’enfoncer dans la spirale infernale de la dette à cause d’une économie ultra subventionnée.
Rien n’a servi à rien puisque le virus est toujours là.
Monsieur le Président, inutile d’éteindre la lumière en partant, c’est déjà fait.
J’attends des candidats à la présidentielle qu’ils se prononcent clairement sur le devenir de toutes ces mesures s’ils sont élus. Je n’attends rien de Valérie Pécresse puisqu’elle est favorable, non seulement au passe vaccinal, mais à l’enfermement des non vaccinés.
Maintenant c’est sûr que je préférerais être contaminé par Omicron que vacciné.
Surtout que j’ai eu le variant anglais (L’option du vaccin n’existait pas encore), que je me suis traité hydroxychloroquine/azithromycine (Le traitement qui ne sert à rien?) mon épouse et moi 71 ans ça a duré cinq et sept jours. Nous faisons tester nos anticorps tous les six mois et nous en avons encore plein…
Ils peuvent se garder leurs vaccins de m….
La majorité des effets indésirables ne sont même pas rapportés. Je connais des gens qui ont eu une maladie auto-immune, des zonas, des acouphènes et comme ils sont à fond pour le vaccin ils n’en parlent même pas. Ou alors c’est par égoïsme et ils se disent que si ils ont eu des effets indésirables il n’y a pas de raison que ça puisse être épargné aux autres.