Vidéo : peut-on sauver l’école française ?

Comment réformer l’éducation ? Les solutions libérales existent.

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École By: Rahul Narain - CC BY 2.0

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Vidéo : peut-on sauver l’école française ?

Publié le 25 août 2021
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Par Jeunes Libéraux.

Lorsqu’il s’agit de faire l’état des lieux de l’éducation en France, tout le monde ou presque s’accorde à dire que la situation n’est pas optimale et que le pays est à la traîne. Si le constat fait consensus, les mesures à mettre en place pour y remédier font l’objet de débats passionnés et pas toujours très constructifs.

Nous avons essayé de rendre compte le plus objectivement possible de la situation dans laquelle se trouve notre système éducatif, pour ensuite comprendre comment nous inspirer des pays qui réussissent le mieux. La première partie de la vidéo est ainsi la plus pragmatique et factuelle possible. De cette manière, on abandonne les approches idéologiques où chacun est persuadé de détenir la vérité et qui ont conduit à multiplier les réformes inutiles et même nuisibles.

Nous nous éloignons ensuite de cette approche purement empirique pour présenter les propositions de Milton Friedman en matière de système éducatif. Nous avons pensé que ce serait intéressant car les médias n’évoquent presque jamais sa proposition d’introduction d’un chèque éducation, alors que des pays comme la Suède ou le Chili l’ont partiellement mis en œuvre et ont obtenu des résultats encourageants.

La liste des sources serait trop longue à ajouter dans la description, mais si vous souhaitez obtenir l’origine d’une information n’hésitez pas à nous la demander dans les commentaires.

Diffusion des idées libérales

Afin de diffuser plus efficacement les idées libérales auprès des plus jeunes, nous aimerions à moyen terme créer une chaîne Twitch qui traitera de l’actualité sous un prisme libéral. En plus de toucher les plus jeunes, Twitch a l’avantage de permettre un échange en instantané. Nous espérons que cela nous permettra non seulement de répondre aux questions des spectateurs, mais aussi de dissiper les malentendus qui persistent à l’encontre des libéraux.

C’est un projet qui demandera du temps et de l’organisation, et si vous souhaitez  y participer n’hésitez pas à nous envoyer un mail à cette adresse :

elie.blanc@edhec.com

 

Publié initialement le 15 mai 2021.

 

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  • « la situation n’est pas optimale » montre l’influence anglo-saxonne croissante dans nos medias

    Le « british understatement » au pays des sans-culottes

    La voix de velours au pays de Mélenchon

    Pour réveiller le mammouth, il faudra plus que ça

    • un conférencier disait il y a trente ans : « l’Education nationale n’est pas réformable, il faut la détruire ».

  • Regrouper la totalité des services de l’éducation nationale en un seul lieu y compris l’inspection: le plateau de Saclay ?

  • Même si je suis totalement pour le chèque scolaire et l’autonomie des écoles, force est de constater que la Suède ne brille pas non plus dans le classement pisa (certes bien plus que la France).
    Qu’est ce qui coince en Suède?
    Comment fait l’Estonie, pays le mieux classé d’Europe avec un budget 30% inférieur à la moyenne européenne?
    Et la Suisse, qui permet à des jeunes de trouver du travail rapidement grâce à l’apprentissage?

  • les classements pas pays ne sont pas l’alpha et l’omega..

    c’est en premier lieu aux parents de décider de l’education à donner à leur enfant.. et de payer…

    sans mécanisme de marché et de concurrence, sans possibilité réelle de voir les effets d’une bonne éducation..on va regarder des classements..et agir pour monter dans les classements..

    la bonne éducation n’ets pas un droit.. c’est un choix autant qu’une opinion.

    • « c’est en premier lieu aux parents de décider de l’education à donner à leur enfant.. et de payer… »

      Hum ! Pas aussi simple.

      Par exemple l’état n’acceptera jamais qu’on crée des écoles de cambrioleurs et que des parents y inscrivent leurs enfants.

      Mais ce n’est pas non plus à l’exécutif de décider le contenu et la forme de l’éducation et encore moins à des syndicats de sachants pédagogues auto-proclamés ou cooptés.

      • Il existe des écoles de cambrioleurs..clandestines..

        en fait ce n’est pas l’etat qui refuserait l’ecole de cambrioleurs ayant pignon sur rue..c’est les gens..

        c’ets sans doute pas simple… mais surtout parce que l’etat veut faire en sorte de supprimer dans la société les forces de clivages possibles entre différents groupes.

    • Le classement concerne les élève à l’entrée du secondaire et ne porte que sur des acquis élémentaires :
      – compréhension de la lecture et connaissances de la langue maternelle en écriture
      – mathématiques générales
      – physique générale.
      La France est à peine meilleure que la Turquie !! Juste devant elle. Bel exploit.

  • Nos Fénéants, pardon nos enseignants sont peut et moins bien payé que la moyenne des enseignants européens mais ils travaillent nettement moins (15h/semaine selon l’éducation nationale). Ce qui fait que, par rapport à un ingénieur du privé et en comptant les heures de préparation des cours et les corrections des contrôles, leur salaire horaires est 2 fois plus élevé.
    Ne parlons pas des 25% des enseignants qui n’enseignent pas pour des raisons obscures.
    Quant à privatiser les enseignants, oublions. Kamarad syndical va tout de suite mettre le pays à feu et à sang : touche pas à mes Fénéants !!.
    Depuis Mitterrand, les méthodes changent, les budgets augmentent, les ministres changent; mais la seule chose qui n’a pas changé, c’est la mentalité de nos Fénéants syndiqués de l’éducation.
    Dernière en date : lors du 1ier confinement Covid ils étaient tous d’accord pour faire le viaduc jusqu’au vacances d’été. Je n’en ai pas vu un seul qui ait proposé, compte tenu qu’il n’y avait pas eu d’enseignement depuis plusieurs mois, de faire cours en juillet pour rattraper une partie du programme et limiter le retard des élèves. Il est vrai que nos Fénéants n’ont qu’un souci : le bien être et l’éducation des élèves …

    • On écrit « fainéant ». On voit que vous avez été instruit par l’Education nationale.

      • Sauf quand on veut rappeler l’omniprésence de la FEN dans le système. On voit que certaines subtilités vous échappent…

    • Les poncifs habituels. Le CAPES c’est 18h minimum +2h sup non refusables (payées moins que les heures normales…). On se demande pourquoi ces ingénieurs du privés ne se pressent pas pour faire cours, 2 fois mieux payés!
      Le souci, et ce qui fait baisser toutes les moyennes, ce sont les profs à 0h ou à 0 élèves. Kamarad syndical a souvent 0 élèves d’ailleurs…
      Enfin pour le covid, ce n’est pas comme si les profs avaient le choix. Le ministère aurait pu l’ordonner, mais toucher aux saintes vacances des parents (réservées depuis longtemps), vous n’y pensez pas!
      P.S. comme tout employé, ce qui nous intéresse est le salaire, le devenir de la boite on en a rien à foutre tant qu’elle ne fait pas faillite, ni de la qualité des produits etc.. Le reste c’est de la com. Etre prof, c’est un métier pas un sacerdoce.

      • Hé Titi, on se demande pourquoi les enseignants tjs en grève, à se plaindre et en dépression ne vont pas travailler dans le privé !
        Ah bon, quand j’entends les délégués syndicaux des profs à la télé, ils disent tous que leur seule préoccupation est l’élève, pas leurs congés. Le devenir de la boîte privée dans laquelle un salarié travaille est sa principale préoccupation : si elle fait faillite, plus de boulot et plus de revenu. Mais je note que l’enseignant n’a rien à foutre de son boulot, de sa boîte… Seul son salaire et ses congés compte. Quand Est-ce que la France va devenir bolchevique pour que ce soit la même chose pour tous les salariés du privé ?

        Raphaël, merci pour ta correction. Dommage que je n’ai eu que des fainéants pour m’enseigner le français !

      • Si tu n’as rien à foutre du devenir de ta boite et de la qualité du produit tu oublies que tu risques justement de la mener à la faillite car ce sont les consommateurs qui décident de les acheter ou pas, selon qu’ils trouvent qu’ils sont d’un bon rapport qualité prix! Mentalité typique socialo française ignorant tout des lois du marché!

  • Les commentaires sont fermés.

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Les auteurs : Nathalie Sayac est Professeure des universités en didactique des mathématiques, directrice de l’Inspe de Normandie Rouen-Le Havre, Université de Rouen Normandie. Eric Mounier est Maitre de Conférences en didactique des mathématiques, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC).

 

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