Éducation en France : trop chère et peu efficace
Si l’on s’inspirait des caractéristiques communes aux pays les plus performants, on pourrait améliorer la qualité tout en réalisant des économies substantielles.
Si l’on s’inspirait des caractéristiques communes aux pays les plus performants, on pourrait améliorer la qualité tout en réalisant des économies substantielles.
Par h16 Ah, l’école française, l’Éducation Nationale de la République Française, celle qui aura amené tant de grands hommes et de grandes femmes dans les…
Connaissez-vous l'effet Baumol ?
Par h16 À mesure que se multiplient les affaires terroristes, celles portant sur le burkini, le voile et autres chiffons devenus politico-religieux par la force…
Être un lieu d’instruction, préservé et indépendant car voué à l’émancipation de tous les Hommes, telle est la définition que pourrait donner Condorcet de l’école.
Les boursiers, sur critères sociaux des classes préparatoires, devraient se voir attribuer des points de bonification lors des épreuves d’admissibilité des concours. Nouvelle usine à gaz et problèmes en perspective.
Parfaitement inutile sur le plan éducatif, l’abaissement de l’âge de la scolarité obligatoire à 3 ans affecte les finances publiques et risque de limiter encore plus la minuscule liberté d’enseignement qui existe dans ce pays.
On aimerait parfois que les grands de ce monde cessent de se croire indispensables, de vouloir nous aider avec des « écoles de la confiance » et de nouvelles lois.
Par Michel Gay. 250 000 classes de collège et de lycée vont élire cette année au moins 20 000 « éco-délégués » pour participer à la mise…
Accroître le prestige des enseignants, placer le pouvoir au niveau local, limiter les directives venues du haut, favoriser l'expérience et les pratiques locales a probablement plus de chances de succès que l'opposition stérile entre scientisme, traditions et sciences de l'éducation.
Le public coûte 1,5 milliard d'euros de plus que le privé dans l'éducation, et ce sans raison valable ! Osons rappeler cette vérité en cette période de rentrée scolaire.
Développer un service numérique dans l'éducation, d'accord. Mais le secteur public en a-t-il les moyens ?
Le but masqué ou avoué de l’éducation obligatoire est de mettre en place l’égalité, telle que l’imaginent les socialistes totalitaires.
Les considérations sur la communication gouvernementale ne devraient pas faire oublier que le principal problème porte sur le SNU lui-même, plus que sur les moyens de le « vendre » à la jeunesse.
En France, la mobilité sociale est faible : la société manque de fluidité et de concurrence, qui permet aux plus méritants, d’où qu’ils viennent, de réussir.
À l’oral, 75 % des élèves ne sont pas capables de s’exprimer dans une langue globalement correcte en anglais, contre 73 % en espagnol et 62 % en allemand.
Le lycée ne sera plus un lieu d’apprentissage, mais un bachotage permanent. Il ne sera plus possible d’échouer à un devoir blanc, car tout sera désormais sous l’emprise du bac.
Décentralisation, autonomie, une révolution dans l’éducation et deux termes étrangement absents du projet de loi sur « l’école de la confiance » alors qu’ils lui étaient associés dans le livre programme de Jean-Michel Blanquer.
Les ministres de l’Éducation nationale successifs se félicitent de l’augmentation des bacheliers… tout en feignant de ne pas savoir qu’elle se fait au prix d’une baisse de niveau !
On s’enroule dans le drapeau comme pour voiler les nudités honteuses des nouvelles lois.