Par Alain Goetzmann.
Tout vous réussit ! Vous avez choisi le succès et jusqu’à présent, il vous sourit. Mais, à la suite d’une décision aux effets indésirables, vous basculez subitement dans le doute.
Vous venez de créer, de toutes pièces votre pire ennemi : vous-même. Alors, pour éviter de sombrer, réfutez ces 7 réactions :
1. Penser que vos erreurs sont des échecs
2. Donner la même importance au passé qu’à l’avenir
3. Négliger vos acquis
4. Perdre l’estime de soi
5. S’isoler
6. Penser à vos droits
7. Négliger la définition de nouveaux objectifs
La perfection n’est pas de ce monde et les erreurs sont la contrepartie de l’action.
Bien sûr, on s’en passerait volontiers. Mais quand elles surviennent, il faut accepter leurs conséquences et garder un mental solide pour les analyser à froid et rebondir.
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pour Macron et ses sbires le mot imparfait n’est pas dans leur vocabulaire pour leur personne , alors reconnaître ses où son erreur …impossible ..cela devient une secte !!!
Et les dégâts deviendrons inévitable !!!
Il y a de l’idée mais c’est un peu court. On aimerait quelques explications, notamment sur les points 6 et 7.
Pour le 6 je le comprends comme ça.
Ne pensez pas à “vos droits à ” ( travail, logement, vacances etc… et mettez vous en mouvement pour trouver des solutions avec vos propres ressources.
Mais c est vrai que ça manque d explications.,
Pour le 7, se fixer un objectif intermédiaire moins difficile afin d éviter l’echec ( obtention d’un succès ).
un mental solide oui c est sûr…
plus que ça même….
pour arriver à quelque chose en France il faut se SACRIFIER pour récupérer des coquillettes.
alors oui je doute… mais pas de moi…
du système !
Même sur la mort le système se gave.
je suis un.peu hors sujet mais pas de panique je vais me reprendre???
Je doute avec assurance…
Sujet important, les idées avancées sont sympathiques, mais mériteraient un développement. On n’apprend pas facilement de ces erreurs. Et il est très difficile de faire la part des choses entre ce qu’on a raté et ce qui est dû au contexte ou à la malchance. Il n’est pas du tout évident de repérer ses acquis avec certitudes, en particulier lorsque l’on manque de points de comparaison. C’est le cas lorsque l’échec vous frappe en début de carrière.
Ca me fait penser à un article que j’ai écrit et que je ne crois pas avoir soumis à Contrepoints. En gros, j’y explique que changer d’air ne sert pas seulement à se sentir mieux, mais aussi à y voir clair. C’est ici, si ça intéresse quelqu’un:
http://egomet.sanqualis.com/cest-la-faute-de-la-societe/
“de Ses erreurs” Désolé.
Pour la 1, c’est quoi le problème avec les échecs ? D’où vient cette peur, cette haine ?
Un échec est certes désagréable, mais c’est surtout une leçon.
Oui, le résultat obtenu n’est pas celui qu’on voulait.
Oui, c’est désagréable. Ça nous force à changer nos plans. A voir les choses autrement.
A apprendre, à s’adapter, et à progresser.
Et en cela l’échec est une richesse. Il nous rend meilleurs.
Arrêtons de pleurer après une chute à vélo.
Remontons sur ce foutu vélo et pédalons plus fort, plus vite, plus loin. Car au final personne ne le fera à notre place.
On peut se casser bien des choses en tombant de vélo.
Pour apprendre de ses erreurs, il faut déjà y survivre.
Evitons les remarques trop générales. Quand la vitesse est la raison de la chute, il est sage de revoir un peu sa façon de pédaler et son itinéraire.
Il faut essentiellement croire à ce qu’on fait….Mon père me disait toujours:” Si tu crois tu décides et tu gagnes, si tu doutes tu hésites et tu perds”….
…Il était aussi très exigeant; combien de fois n’ai je pas entendu:”Tout ce qui n’est pas parfait est dérisoire”