500 000 fonctionnaires de moins ? Impossible pour Juppé !

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  • Depuis des lustres on à laissé s’accroître le nombres des fonctionnaires à tous les niveaux alors que beaucoup de ces « emplois » pourraient et devraient être du ressort du privé. Les seuls qui devraient être « fonctionnaires » sont ceux qui dépendent des ministères régalien : justice, police, armée avec un bémol pour cette dernière puisque des gens peuvent s’engager que pour une période limitée. dans une autre époque, celle des nationalisation, même les travailleurs des usines d’aviation (e, particulier) était assimilé fonctionnaires. Outre le fait qu’ils soient trop nombreux et surtout pas au bon endroit, ils devraient être soumis aux mêmes règles que le privé ou qu’on mette le privé au même niveau que les fonctionnaires, pour moi ce ne serait que justice. Quand on voit le niveau de recrutement dans l’éducation nationale ça fait peur pour la qualité de l’enseignement, les places de la France dans les différents classements internationaux laisse pantois. Le statut des fonctionnaires devrait être calqué sur ce qui se fait en Suisse (sauf deux cantons), contrat de droit privé renouvelable si capacités reconnues. Le fonctionnariat à « vie » ne doit plus être le règle. Il en est de même pour les retraites de certains organismes : SNCF, EDF, etc. qu’ils financent leurs retraités sans aller ponctionner les caisses de retraites du privés. tant pis s’il ne sont pas assez nombreux à payer par rapport au nombre de leurs retraités, ou que l’ensemble de la fonction publique paye pour eux, pas les autres.

    • Même si les militaires sont fonctionnaires ils n’ont pas le même statut que les civils, l’une des différences fondamentales entre le statut de fonctionnaires civils et militaires est que contrairement aux premiers ces derniers n’ont pas le droit de grève.

      • Les militaires, comme les policiers ou les pompiers par exemple, sont les seuls vrais fonctionnaires. Ils sont les seuls à mériter le statut de fonctionnaire, payé au prix de leur vie, au prix de leur sacrifice pour autrui. Dernièrement, un petit malin, raisonneur compulsif, demandait ce qui justifiait qu’on finance seulement les fonctions régaliennes par l’impôt plutôt que les autres secteurs devenus publics par erreur ou démagogie. Le prix de la vie des personnes chargées de ces fonctions justifie qu’on organise les fonctions régaliennes sur un mode de financement public. Comme chacun sait, la vie n’a pas de prix. En conséquence, le marché est incapable de découvrir le prix de ces services particuliers. En dehors des fonctions régaliennes, tout, absolument tout, doit être privatisé et soumis à concurrence afin de découvrir le prix des services échangés.

        7 secteurs à privatiser en urgence : retraites, santé, éducation, énergie, logement, transports, culture.

  • Coté argumentaire de cette primaire cela relève d’une cour d’école … même pas niveau école primaire … mais plutôt école maternelle …. pour être sympathique « grande section »
    Il faut me raconter autre chose pour que je m’y intéresse

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ENA, école de fonctionnaires
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Clémenceau disait :

« La France est un pays extrêmement fertile : on y plante des fonctionnaires et il y pousse des impôts ».

En effet plus il y a de fonctionnaires, plus il y a d’impôts. Diminuer le nombre des fonctionnaires est un moyen efficace pour diminuer les impôts.

Mais ce n’est pas facile. Car les fonctionnaires savent défendre leurs avantages : emploi à vie, études supérieures gratuites (et même rémunérées), avancement à l’ancienneté, temps de travail réduit, retraites avancées et plus élevées (75 % de la moyenn... Poursuivre la lecture

Dans mes articles je cite fréquemment le site Fipéco. Dans un récent billet son président François Ecalle fait un état des lieux de la France. Il conclut que face à une inflation qui s’envole il est urgent de réduire drastiquement sa dette colossale.

Avec un taux de prélèvements obligatoires des plus élevés au monde il n'est pas possible d’augmenter les taxes et impôts. Au contraire, pour que le pays retrouve sa compétitivité, il faut les réduire fortement. François Ecalle, conseiller maître honoraire à la Cour des comptes détaille com... Poursuivre la lecture

C’était mieux avant.

Mais de quel avant s'agit-il ? avant 1975, lorsque la France dégageait un budget non déficitaire ? c’est possible mais certainement pas avant 1945.

De 1945 à 1975, ce furent les Trente glorieuses, lorsque le PIB augmentait de 5 % par an et que le chômage restait en dessous de 4 %.

En 1973, le premier choc pétrolier est venu perturber cette belle mécanique. Le PIB progresse alors plus lentement et s'accompagne d’une augmentation sensible du chômage atteignant 10 % voire 24 % chez les jeunes.

Que s'... Poursuivre la lecture
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