Par Charles Bwele.
Boîte aux lettres, mobilier urbain, transports en commun, télévision, cinéma, internet, jeux vidéo… La publicité est si omniprésente dans les espaces physiques et virtuels que bon nombre d’humains mémorisent intuitivement et/ou identifient instantanément les logos des grandes marques, leurs packagings, leurs slogans et leurs thèmes musicaux.
Selon James B. Twitchell, professeur de marketing & publicité à l’université de Floride, « la vraie question n’est pas : combien de publicités voyons-nous ? La vraie question est : Qu’est-ce que nous avons à faire pour ne voir aucune publicité. Et la réponse est : aller dormir ».
En effet, nos rêves nocturnes sont le dernier refuge et rempart contre les stratégies invasives de la publicité, toujours en quête de « temps de cerveau disponible ». Mais qu’adviendrait-il en cas de percée révolutionnaire des neurosciences en général et du neuromarketing en particulier ? Dans Branded Dream – The Future Of Advertising, le studio néerlandais StudioSmack imagine des rêves influencés et façonnés par la publicité, notamment par Coca-Cola, pôle position du don d’ubiquité mercatique. Ce futur conditionnel évoquant peu ou prou le film culte Inception fait carrément frémir…
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J ‘aimerai faire un très beau rêve : tous les politiques se sont suicidés !