Un billet d’humeur de Michel Gay.
Le système de protection contre la corrosion des éoliennes en mer commence à polluer la Mer du Nord et la Mer Baltique avec de l’aluminium. Les « anodes sacrificielles » en aluminium, zinc et indium des supports en acier, dont le but est d’empêcher la corrosion par le sel marin, sont pointées du doigt en Allemagne.
Les 6500 éoliennes prévues en 2020 vont rejeter 13.000 tonnes de composés métalliques dans la mer, selon l’hebdomadaire allemand Der Spiegel. La méthode de protection classique utilisée contre la corrosion sur les bateaux pourrait aussi convenir, mais elle est plus coûteuse. Et le coût des éoliennes en mer est déjà suffisamment élevé, voire inabordable, pour ne pas en rajouter…
Faut-il s’en inquiéter ? Non bien sûr, (chut !) puisqu’il s’agit d’un moyen de production d’électricité « verte » à partir d’une énergie renouvelable censée sauver la planète !…
Inutile de sortir des arguments de type principe de précaution, ça détourne l’attention du véritable problème : les éoliennes en mer ne sont pas rentables.
Après le mercure, l’aluminium. C’est cool l’écologie ❗
faudrait demander aux thons si l’alu est plus digeste que le plomb ou le mercure ou…. c’est vraiment un argument débile , la mer reçoit déjà toutes nos ordures , un peu plus ou un peu moins…
Voila qui risque de faire beaucoup plus d’aluminium dans l’eau de mer que dans les vaccins! Professionnels de l’alarmisme il est temps de commencer a rédiger vos articles et a biaiser vos études ‘scientifiques’.
13 000 tonnes ? voila bien un argument digne des pastèques.
Déjà, on ne précise pas sur quelle durée… Je parie qu’on parle de 20 ans.
L’aluminium sera précipité au fond pour former … de l’argile ; vous savez, cet horrible composé chimique qui empoisonne les arbres et végétaux qui ont le malheur de pousser dans la terre (ça explique que ça n’arrive jamais dans la nature), et bien sûr les animaux et les humains ; il parait même que certains inconscients en font même les murs et les sols de leurs logement, voire leurs ustensiles de cuisines (pots, assiettes), et ça ne loupent pas, ils meurent tous dans d’horrible souffrance en quelques jours.
O_o
Pareil pour le zinc et l’indium …
quid des structures des plates formes pétrolières ?
entre les poissons à la pilule contraceptive, et ceux à la chimiothérapie, choisis ton camps camarade !
(et tous les autres poissons, hein, je ne suis pas sectaire …)
« Un billet d’humeur de Michel Gay »
L’auteur ferait mieux d’un peu moins répandre ses humeurs et d’un peu mieux se documenter.
Le Spiegel n’a pas débusqué un lièvre dont tout le monde ignorait l’existence. Le problème est connu depuis longtemps, puisque la technologie des anodes sacrificielles est également utilisée pour les bateaux militaires, les grands porte-container ou les pétroliers. Et qu’effectivement, des alternatives existent, sans dépot de matériau. D’ailleurs, ces technologies sont déjà utilisées pour plus de la moitié des parcs éoliens offshore allemands.
Mais de quel éolien offshore parle-t’on ? 6500 turbines en 2020 ? Absolument, pas ! L’objectif officiel du gouvernement allemand est de 6500 MW installés en 2020, soit un millier de turbines. Et ces 13000 tonnes de dépôts métalliques ? L’article du Spiegel n’est pas clair, mais il évoque tout de même une durée de vie de 25 ans. En cherchant un peu il apparaît que c’est en effet la quantité de métaux qui serait relachée par un millier de turbines, dont aucune ne disposerait d’une autre technologie que les anodes sacrificielles, pendant 25 ans. Il faut donc mettre cela en perspective avec les déchets produits par toute autre système de production d’énergie pour des quantités équivalentes. Déchets parfois autrement plus nocifs que l’aluminium, comme le fait remarquer P plus haut.
Petit calcul :
6000 éoliennes* 30 m de partie immergée * 1 m de rayon cela fait une surface à protéger de 565 000 m²
gazoduc Nordstream dans la Baltique 800 km * rayon 0.75 m * 2 tuyaux cela fait 2.8 millions de m²
Si l’estimation est bonne pour les éoliennes (je n’ai pas le moyen de la vérifier) cela fait un facteur 5 …
Maintenant comparez la quantité d’énergie fournie.
lol
Faut-il critiquer ? Oui bien sûr(par tout les moyens !), puisqu’il s’agit d’un moyen de production d’électricité « verte » à partir d’une énergie renouvelable censée sauver la planète !…
Une simple question à titre de comparaison objective:
Combien rejettent les plateformes offshores actuellemnent en composés divers et variés ?
On est nombreux à se poser la question à savoir si certains élus se moquent du peuple ou si une élite à décidé de tester notre intelligence à détecter le vrai du faux.D’un coté on astique les pécheurs responsables de la diminution des poissons et de l’autre on rejette de l’alu dans l’océan? on se moque de nous ou alors la robotique perd complètement les pédales
Mais arrêtez avec cette mauvaise foi ! Tout les prétextes sont bons. C’est vraiment grotesque. Vous osez comparer ces traces d’aluminium au ravage de la pêche intensive mal maitrisée? Et les sacs plastiques par contre ça vous dérange pas.
Exprimé en tonnes ça fait pas assez impressionnant!
Essayez en moles ça sera plus sympa. (Et en nombre d’atomes c’est encore mieux.)
C’est la stratégie du million de milliard de béquerels.
d’où la vaste fumisterie de l’énergie « écologique » éoliennne