Réchauffement climatique : les prédictions d’Al Gore… et la réalité

Al Gore, gourou auto-proclamé du réchauffement climatique, et un groupe de soi-disant « climatologues » sont dans le pétrin, et pas qu’un peu !

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Réchauffement climatique : les prédictions d’Al Gore… et la réalité

Publié le 15 janvier 2014
- A +

Par Alex Newman.

En 2007, 2008 et 2009, Gore prévenait publiquement qu’« il n’y aurait plus de glace » au pôle Nord d’ici 2013 environ en raison du présumé « réchauffement climatique d’origine humaine ».

En se référant aux experts du « climat », la BBC, financée par le gouvernement, attisa l’hystérie collective avec un article aujourd’hui embarrassant, dont le titre était : « Des étés arctiques sans glace avant 2013 » . D’autres médias officiels relayèrent la même information.

Eh bien, 2013 est sur sa fin et à l’inverse des prédictions alarmantes d’Al Gore et de ce que les critiques ont baptisé « la secte de la fin du monde », les dernières données satellite montrent qu’en Arctique, la glace a en fait augmenté de 50 % par rapport aux niveaux de 2012. Et même en octobre les niveaux de glace ont augmenté à une vitesse telle que c’est la plus rapide enregistrée depuis les premiers relevés en 1979.

Les experts prévoient que cette hausse va se poursuivre dans les années à venir et laissent les catastrophistes du réchauffement mondial se débattre comme de beaux diables dans des explications pour sauver la face et pour ranimer une hystérie climatique qui fond à vue d’œil.

Pendant ce temps, en septembre, le niveau de glace de l’Antarctique a enregistré une hausse record pour la deuxième année consécutive. Bien sûr, à l’heure actuelle quasiment tous ceux qui ont suivi les informations au sujet du « réchauffement climatique » – aujourd’hui plus communément appelé « changement climatique » eu égard aux relations avec le public – savent aussi que les températures du globe n’ont pas augmenté depuis environ 17 ans. L’impressionnante absence de réchauffement a démoli l’ensemble des 73 « modèles climatiques » dont l’ONU s’est servi pour mettre en avant ses théories controversées.

Cela dit, selon les prédictions et autres théories fumeuses d’Al Gore et du reste des catastrophistes, rien de tout cela n’aurait dû se produire.

Il y a cinq ans, devant un public allemand, Al Gore, qu’on surnomme parfois avec ironie « Goracle », soutenait que « la calotte glacière du Nord polarisé (sic) disparaîtra en entier dans cinq ans ». Bien que la vidéo d’origine de cette prédiction particulièrement ratée semble avoir été supprimée d’internet, des bloggers du parti conservateur ont réussi à retrouver les mêmes images provenant d’autres sources.

« Cinq ans, Al Gore insiste encore, c’est le laps de temps que ça prendra, on pense, avant qu’elle ne disparaisse. »

L’année suivante, Al Gore fit les mêmes déclarations à un sommet de l’ONU sur le climat à Copenhague. Il affirme en 2009 :

« Certains modèles suggèrent qu’il y a 50 % de chances qu’il n’y ait plus de glace, pendant certains mois d’été, sur l’ensemble de la calotte glacière du pôle Nord d’ici les cinq à sept années à venir. Nous verrons bien. »

En effet, cette fausse prédiction semble être à côté de la plaque et c’est un euphémisme ; mais ni la presse officielle ni Al Gore ne semblent vouloir que le reste du monde ne l’apprenne.

En toute franchise, Al Gore n’était pas le seul militant hystérique catastrophiste à se couvrir de ridicule.

En décembre 2007, la BBC signala de prétendues « études de modélisation » supposées indiquer qu’ « il pourrait ne plus y avoir de glace en été dans les eaux du pôle Nord d’ici cinq à six ans à peine ». De façon incroyable, certains des soi-disant « experts » ont même soutenu que ça pourrait arriver avant en se basant sur des calculs effectués par des superordinateurs qui, selon la BBC, « participent aux recherches standard en climatologie ces dernières années ».

« Notre prévision de 2013 de la disparition de la glace en été ne tient pas compte des relevés minimums de 2005 et 2007 », a déclaré le Professeur Wieslaw Maslowski, présenté comme chercheur de l’École Navale, qui a travaillé avec des collègues de la NASA à l’invention des prévisions aujourd’hui sérieusement discréditées concernant la glace polaire. « À partir de là, on peut débattre du fait que peut-être (sic) nos prévisions de 2013 sont trop prudentes. »

D’autres « experts » cités dans l’article de la BBC partagent le même délire.

Cependant, dans le monde réel, des preuves scientifiques qui anéantissent les théories du réchauffement climatique prônées par Al Gore, l’ONU et les climatologues payés par le gouvernement, continuent à grossir en même temps que les calottes glacières des deux pôles.

En Arctique, par exemple, les données obtenues par le satellite européen Cryosat indiquent environ 9000 km³ de glace à la fin de la saison de la fonte 2013. En 2012, certes une année basse, le volume total s’élevait à environ 6000 km³ – quelques 50 % de moins que le total de 2013. Les ours polaires ne se sont jamais aussi bien portés non plus.

Dans tout l’hémisphère Sud, les données se révèlent encore plus dévastatrices à l’encontre des prétendus climatologues et de ce qu’ils appellent leur cause, dans les emails profondément embarrassants du ClimateGate.

D’abord, les chiffres de 2012 indiquent un niveau record de couverture de glace – plus important à chaque endroit depuis qu’on a commencé à tenir les statistiques en 1978. On a établi un nouveau record cette année : en septembre, la glace couvrait plus de 19,5 millions km² de l’océan Antarctique. Et pendant ce temps, partout dans le monde, des records de basses températures continuent de ridiculiser les théories du réchauffement climatique. Bien que cela soit évidemment anecdotique, Le Caire a vu ses premiers flocons de neige depuis plus de 100 ans. Aux États-Unis, il y a eu des centaines de nouveaux records de basses températures et de chutes de neige.

Étrange retournement de situation : certains climatologues ont alors commencé à affirmer que les températures glaciales étaient en fait autant de preuves du réchauffement climatique.

imgscan contrepoints 2013-2573 Al GorePour expliquer l’absence de réchauffement des dix-sept dernières années universellement reconnue au mépris des théories climatiques de l’ONU, les climatologues subventionnés par le gouvernement et l’ONU ont de plus vendu l’idée de ce que leurs détracteurs nomment la théorie « L’Océan a mangé mon réchauffement climatique ».

L’ONU soumise à une forte pression politique exercée par l’administration Obama et celle d’autres gouvernements, a suivi cette théorie malgré le manque de preuves observables pour signaler que les profondeurs marines absorberaient en fait le réchauffement climatique prédit par elle-même. L’ONU apparaît de plus en plus déconnectée de la réalité aux yeux des scientifiques indépendants, en affirmant dans son dernier rapport être certaine à 95 % que les émissions de dioxyde de carbone générées par l’humain étaient responsables de la hausse des températures. Ces affirmations aujourd’hui largement
ridiculisées partout dans le monde, ont été lancées bien que l’absence de réchauffement climatique depuis les dix-sept dernières années ait discrédité absolument tous les modèles informatiques. Plusieurs experts prévoient même un refroidissement mondial.

Les meilleurs experts et scientifiques du monde – même ceux, nombreux, qui ont collaboré au Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) de l’ONU – ont raillé l’équipe mondiale et ont discrédité leur rapport sur le climat. Cependant, plusieurs gouvernements et dictatteurs continuent à jouer le jeu que certains experts appellent la « comédie » ou le « canular » du climat, principalement à cause des primes qui en dépendent et des fonds publics qui aident à perpétuer ce catastrophisme injustifié.

Pour les dictateurs du tiers monde, le but semble de s’assurer des milliers de milliards de dollars qui viennent des contribuables occidentaux sous le prétexte de réparations « climatiques » et de « justice ». Pour les gouvernements des pays plus riches, le but paraît être celui de la taxe carbone et celui d’une politique climatique mondiale avec des pouvoirs sans précédent sur l’humanité. Réunis à Varsovie pour le dernier sommet du climat de l’ONU, alors que la « science » derrière les théories sur le réchauffement climatique implosait, les membres de ces régimes se mirent d’accord pour finaliser un traité avant 2015 sur le climat dans le monde.

Les sondages montrent que malgré les centaines de millions de dollars du contribuable gaspillés en faveur de l’alarmisme pro-réchauffement climatique, le public américain refuse toujours majoritairement ces théories de réchauffement à cause des activités humaines, théories mises en avant par l’ONU et ses alliés de plus en plus discrédités. Un sondage Rasmussen fait en septembre sur un échantillon d’électeurs éventuels trouve par exemple que seuls 43 % des votants éventuels croient que le prétendu réchauffement climatique est dû aux activités humaines. À peu près le même nombre croit qu’il ne l’est pas.

Malgré des attaques malveillantes et des menaces – certaines furent dévoilées dans le scandale du ClimateGate – les scientifiques quittent de plus en plus le navire du naufrage climatique. Et même certains gouvernements, des plus importants, travaillent à contenir ce catastrophisme incontrôlable, comme par exemple les autorités australiennes qui connurent une victoire électorale écrasante un peu plus tôt cette année, en promettant de libérer la nation de la taxe carbone tout en supprimant une grande partie de la force de la théorie du réchauffement climatique subventionné par le contribuable. Des demandes pour poursuivre en justice « les impostures » des « climatologues » se font aussi entendre.

Jusqu’ici, malgré la surmédiatisation des absurdités d’il y a cinq ans, la presse officielle n’a pas réussi à informer son lectorat en diminution que les affirmations d’Al Gore et de ses compagnons catastrophistes se sont révélées honteusement fausses. De plus, aucune excuse n’est venue de la part d’Al Gore, aucun des « scientifiques » ayant émis ces prédictions ridicules ne s’est excusé ni n’a perdu son poste payé par le contribuable. En fait, c’est presque incroyable, les médias officiels répètent comme des perroquets de nouvelles affirmations provenant des mêmes experts déjà discrédités qui indiquent qu’« il n’y aura plus de glace » en Arctique d’ici 2016.


Article original publié le 18.12.2013 par The New American<

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  • je ne sais pas qui est à l’origine de cet article mais dans le genre fumeux c’est pas mal.
    Entre la théorie du complot et les affirmations sortis d’on ne sait ou (aucune ref),je me demande si ce n’est pas un joke.

    • Pourquoi pas cliquer sur les liens ? Les caractères rouges.

    • « qui est à l’origine de cet article » ?

      Alex Newman is an international journalist, educator and consultant who is currently based in Europe but has lived on four continents. He has a degree in journalism from the University of Florida and has worked for numerous publications in the U.S. and abroad.

      « Alex Newman, a foreign correspondent for The New American, is normally based in Europe. He can be reached at anewman@thenewamerican.com »

      Posez lui vos questions.

    • Où ça, une théorie du complot ?

    • C’est drôle comme les réchauffistes n’ont plus, comme défense, que d’invoquer la théorie du complot. 🙂

    • Et vos arguments sont typiques des gens qui refusent la realité: « c’est faux et ça ne repose sur rien de sérieux, c’est une blague! ». Toujours très exactement. En réalité, si vous ne vous ne vous réfugiez pas dans votre négationnisme primaire, vous pourriez découvrir justement les preuves.

      Je m’étonne d’ailleurs que vous ayez besoin de tant de preuve quand il s’agit de contredire la doctrine officielle, alors que vous acceptez celle ci docilement sans demander quoique ce soit. Quand un mec affirme qu’il n’y aura plus de glace en 2013 et qu’en 2013, les relevés satellites montrent qu’au contraire, la banquise a grandi, on passe pour un con, c’est la vie. Tu vas remettre en question les relevés satellites? Attends, c’est qui déjà les complotistes?

      Depuis 17 ans, aucun réchauffement relevé. Mensonge, chiffre sorti du chapeau? Non, statistique officiellement reconnue par le GIEC (ou IPCC). Ah oui, mais non, c’est pas pareil, c’est pas une preuve la non plus. Bah non. C’est encore un complot monté avec l’aide du GIEC (alors que ce sont pourtant les catastrophistes en chef ceux là!).

      Le Canada relève 25000 ours blancs sur son territoire, contre 8000 en 1950. Mais le gouvernement canadien est probablement constitué de complotistes qui trichent sur les chiffres pour faire de la peine à Nicolas Hulot (qui veut sauver les ours mais préfère quand même quand ils disparaissent, parce que bon, ça reste son chiffre d’affaire, hein!).

      Après c’est nous les complotistes! Mais franchement, quel interet as tu a défendre quelque chose qui, statistiques à l’appuie, est faux?

      Moi aussi, j’avoue que, jusqu’à il y a peu, j’ai cru à leurs idioties. Sauf que ça ne tient pas à l’épreuve des chiffres. Je ne peux croire des gens qui me montrent des statistiques d’un coté, et m’expliquent qu’en fait, ce que je vois est l’inverse de la réalité, et qu’en réalité, ils ont raison, et ce que je vois est faux, vous comprenez???!!

      D’autre part, il me semble qu’il y a des problèmes écologiques graves, et qui eux sont réellement vérifiés, mais qui ne bénéficient quasiment d’aucun crédits! La déforestation, les pollution aux metaux lourds et divers produits chimiques ou particules, la surchasse/peche… Tout le monde rale contre ça, mais personne n’y met de moyen!! Par contre des impots supplémentaires pour un truc infirmé par les chiffres, là oui… Peut etre qu’il est plus facile de faire passer dans l’opinion une histoire de taxe carbone ou de green taxes diverses, que de faire accepter de changer certains modes de consommation….

      • « c’est faux et ça ne repose sur rien de sérieux, c’est une blague! »
        Effectivement je suis d’accord avec votre analyse mais je vous retourne le compliment.
        Votre appellation « idiotie » est très décevante compte tenu de votre lucidité sur la fin de votre commentaire, qui vous suffirait pour passer pour un marxiste vert ici (n’oubliez pas le « la nature est une salope à dompter ou à détruire » d’un de vos amis sceptiques).
        a) « Quand un mec affirme qu’il n’y aura plus de glace en 2013 » et alors? ca vous arrange de prendre la prévision la plus extrême possible, bref c’est malhonnête. Si quelqu’un la dit, tant pis! Mais ce n’est certainement pas le cas des grandes organisations officielles.
        b)les ours polaires: mais on s’en fiche mdr ! Il faut toujours que ce soit ressorti bêtement comme un dans un moulin à prière. Ca ne relève pas du débat.
        c) Pour « la pause », réequilibrez vos conclusions avec les explications et les dernières études de novembre à ce sujet
        Bref, la situation sur ce sujet ne parait pas encore si simple comme vous le supposez. Mon point de vue est partagé sur la question.

        • « n’oubliez pas le « la nature est une salope à dompter ou à détruire » d’un de vos amis sceptiques »

          En effet, c’est l’essentiel.
          Et plutôt deux fois qu’une.

        • « les explications et les dernières études de novembre »

          Il a fallu 9 mois pour démonter l’annonce ques les neutrinos étaient plus rapides que la lumière !

          Quelle valeur ont des études récentes en climatologie ? Je me méfie autant de toutes les études isolées et non confirmées pro ou contre RCA, des ORAS4, des confirmation/infirmation d’effet IRIS, des expériences CLOUD …
          L’urgence et l’opportunité des rapports d’études et leur récupération médiatique dans un domaine comme le RCA me semble toujours très suspecte.

          Mais quand au bout de 15 ans d’anomalie, de grands climatologues disent : « il y a comme un défaut », on peut difficilement dire : « circuler, ya rien à voir ».

          • Pour rigoler, je serais curieux de savoir à quoi il se réfère en parlant d' »études de novembre ».
            Je suppose qu’il fait référence au torchon qui a fait marrer tout le monde, sorti dans l’urgence, qui prétend que la chaleur perdue s’est planquée au fond des océans. 🙂
            Mais nous allons lui laisser le bénéfice du doute et lui donner l’occasion de préciser de quoi il parle exactement.

            • Le « contenu thermique » des couches supérieures de l’océan semble se stabiliser :

              http://oceans.pmel.noaa.gov/

              C’est embêtant car l’atmosphère et l’océan ne se réchauffent plus, alors que d’après la théorie du RCA on bourre chaque année un peu plus la chaudière par nos émissions de CO2.

              Ils ne peuvent manifestement pas attribuer ça à des aérosols (sinon ce serait déja fait). Ils ne veulent pas admettre la possibilité de saturation de l’effet de serre, ou de l’effet Iris (compensation par les nuages à basse altitude), ou de l’effet indirect du soleil sur la condensation dans les nuages, ou de cycles long océaniques qui réduisent à néant leur modélisations.

              Ils préfèrent donc supposer que le fond de l’océan se réchauffe de façon inexpliquée (étude ORAS4) ou que les mesures de températures sont fausses (sous-estimation des tempérétures polaires – alors que les quantités de chaleur sont concentrées dans l’air chaud et humide sous les tropiques).

              Mais même le GIEC n’ose pas valider ça.

            • Bien sur que non, il s’agissait des méthodes de mesures, notamment sur les zones peu soumises aux observations.

            • Non non, vous n’avez pas compris. Ce que l’on veut c’est quelque chose de solide.
              Une source précise en gros.

      • Pour ce qui est des ours, je crois que leur population augmente depuis l’interdiction de leur chasse. Le climat n’y est pour rien.

  • @sebi jack

    Allez donc passer quelques heures sur : http://www.pensee-unique.fr

    Vous comprendrez mieux…
    Vous pourrez, aussi, voir qui sont les « fumeux »…!

  • « je ne sais pas qui est à l’origine de cet article »

    Bah, faut simplement ouvrir les yeux et savoir déchiffrer les signes de l’alphabet latin. L’information se trouve sous le dernier paragraphe. Ah oui, faut savoir ce qu’est un paragraphe… Alors un para…

    • A noter que le mot « complot » est invariablement utilisé par les hystériques pastèques réchauffards, alors qu’il est absent de ce texte comme de la plupart des textes critiques traitant du réchauffement climatique d’origine humaine. Donc, on sait de quel côté se trouvent les paranos…

      • En effet, ils confondent un ensemble de bêtise, d’idéologie, de militantisme, de mystification, de corruption, d’intérêts économiques avec un complot… Bref, tout ce que le complot n’est pas en réalité.
        Excepté en fait pour les « marxistes » pour qui le phénomène social, même sans volonté malveillante qui en serait l’origine est un complot.

  • Entre le GIEC qui annonçait en 2007 au pire une fonte en 2100 et Al Gore qui voyait un risque (1 chance sur 2) de fonte en 2013, c’est Al Gore qui gagne. La fonte est plus rapide que prévu et l’échéance est envisageable vers 2030 au rythme actuel.
    Nous, nous n’en verrons pas trop les conséquences. Nos enfants, si.
    Bah, l’être humain, lâche et prétentieux, peut disparaître de la surface du Monde, ça fera un grand bien à la Nature.

    • C’est quoi la nature pour vous : les gentils ours qui mangent les méchants phoques qui mangent les gentils poissons ?

      Les bonnes glaces (périodiques) du Pôle Nord régressent alors que les méchantes glaces du Pôle Sud progressent. Mais que fait donc Hollande à s’occuper de futilités comme le chomage (quand Julie, Valérie et Ségolène lui en laisse le temps).

      Heureusement, nous payons une armée de scientifiques pour mesurer la taille de chaque glacier avec leur double-décimètre pour modéliser avec des ordinateurs ce qu’on peut mesurer avec des marégraphes : ça monte, lentement mais surement, depuis très longtemps et quelles que soient les températures.

      Nos enfants verrons ce qu’ils verront. En tout cas il nous considèreront comme des idiots qui ne comprenaient rien à rien, racontaient n’importe quoi et avaient des valeurs, des coutumes et des pôles d’intérêt étranges. Si vous en doutez comparez la société de 1914 à celle d’aujourd’hui et imaginez l’histoire et ce qu’auraient du faire nos ayeux pour créer VOTRE monde idéal.

    • « Bah, l’être humain, lâche et prétentieux, peut disparaître de la surface du Monde, ça fera un grand bien à la Nature. »

      Toi le premier.

    • Vous montrez l’exemple, je présume ?

    • « l’être humain, lâche et prétentieux »

      Je ne vois pas pourquoi l’être humain est lâche. L’instinct de survie, de possession, de domination est inscrit dans ses gênes comme d’ailleurs chez la plupart des mammifères. Nous ne sommes pas des fourmis ou des abeilles. Nous ne sommes ni des anges, ni des monstres et les libéraux partent de ce principe pour tenter de définir la meilleure façon d’organiser la société.

      En revanche, je suis d’accord de dire que l’être humain est infiniment prétentieux. S’il existe un (ou des) dieu(x), ils doivent être à l’image de l’homme. Votre « Nature » serait faite « pour l’homme », pour son bien. Elle serait parfaite telle qu’elle est, soit parce que Dieu l’a créée ou parce qu’on l’a toujours connue ainsi. L’homme aurait le pouvoir de changer en quelques années ce qui existe depuis des millions d’années et comprend à peine, alors que le rapport entre ce qu’il peut altérer et la totalité est infime. De tous temps, le moindre phénomène naturel (tremblement de terre, maladies, évênements météorologique ou climatique) a été considéré comme causé par l’homme directement ou par punition divine. Pour mendier quelques budgets de recherche, des scientifiques cherchent la responsabilité humaine dans la diminution de taille des lézards aux Gallapagos …
      Localement, l’homme parvient à avoir un effet minime et adapter la nature à ses besoins. Allez voir les temples d’Angkor pour voir ce qu’il reste des prétentions humaines au bout de quelques siècles.

  • J’ai laissé ce commentaire à l’article relatif au charbon il y a quelques instants :
    « Je vous rappelle que les déclarations tonitruantes de l’IPCC à propos du soi-disant effet de serre du CO2 ont conforté les écologistes. L’IPCC a été mandaté pour démontrer (par tous les moyens) l’effet des rejets de CO2 sur le climat en inventant le concept d’effet de serre qui est en contradiction directe du deuxième principe de la thermodynamique, de la loi de Stefan-Boltzmann relative au corps noir (ni) et du gradient adiabatique de l’atmosphère. L’IPCC n’a pas été mandaté pour constater tout simplement que le climat n’est dépendant que de l’activité solaire et ce n’est certainement pas une augmentation de la teneur en CO2 de 0,03 à 0,04 % dans l’atmosphère qui changera quoi que ce soit. S’il existait un « effet de serre » ce serait de loin la vapeur d’eau qui en serait l’acteur. Pour autant cet article oublie de mentionner la pollution radioactive des centrales thermiques au charbon et l’effet de refroidissement des oxydes de soufre (voir l’activité volcanique). » CQFD … Mais les pseudo-scientifiques de l’IPCC persistent dans leur mensonge ! L’activité solaire diminue depuis 20 ans (les deux derniers cycles 23 et 24) et cette observation indéniable suffit pour expliquer le refroidissement déjà amorcé de la planète dont le climat s’achemine vers un âge glaciaire !!!

    • Je ne comprends pas très bien la pertinence de la remise en question de l’effet de serre terrestre (dû principalement à la vapeur d’eau et au CO2), surtout appuyée de l’argument d’une « contradiction directe du deuxième principe de la thermodynamique, de la loi de Stefan-Boltzmann relative au corps noir (ni) et du gradient adiabatique de l’atmosphère ». A mes yeux, l’effet de serre (terme physique abusif certes, mais communément utilisé) est un phénomène naturel reconnu nous permettant d’avoir une température terrestre moyenne convenable. Votre allusion à la négligeable influence de la variation de la teneur en CO2 dans l’atmosphère pour justifier d’une augmentation de cet effet de me paraît semble plus convaincante. Il me semble que vous gagneriez à distinguer effet de serre et augmentation de l’effet de serre, mais je me trompe peut-être et suis impatient de lire votre réponse.

      • FourmiSil : « Il me semble que vous gagneriez à distinguer effet de serre et augmentation de l’effet de serre, mais je me trompe peut-être et suis impatient de lire votre réponse. »
        —————————————
        Vous gagnerez à reconnaître que quand on descend de 1000m, la température augmente de 6°C, et donc que ce qui nous maintient au chaud n’a rien à voir avec les gaz dit « à effet de serre ».

        • Oui… et alors ? L’effet de serre naturel dont je parlais garantit simplement une température convenable pour la vie après être suffisamment descendu de 1000m en 1000m pour atteindre le plancher des vaches (ie. pas -50°C au niveau du sol quoi). On parle de cours de niveau collège là, vous vous trompez de combat. Bien entendu que je condamne tous les arguments qui prônent une soi-disant augmentation non négligeable de l’effet de serre, alors de là à ce qu’elle soit anthropique… Faut-il que je note en toutes lettres que nous sommes du même côté pour que vous fassiez l’effort de lire un minimum ce que j’écris ? Je répète donc ma demande, @jacqueshenry ou @miniTAX pouvez-vous m’expliquer l’intérêt de perdre totalement en crédibilité scientifique dans la condamnation du bien-pensant écolofiste (pardon, mon doigt a rippé) en remettant en cause l’effet de serre de base qui un fait avéré alors que cela n’a aucun rapport avec votre argumentation.

          • Une fois dans un catalogue, ils ne vous lisent plus. Vous êtes du côté des négationnistes (de l’effet de serre)? Bravo à vous! Mais vous perdez automatiquement votre crédibilité.

          • FourmiSil : « L’effet de serre naturel dont je parlais garantit simplement une température convenable pour la vie après être suffisamment descendu de 1000m en 1000m pour atteindre le plancher des vaches »
            ———————————
            C’est très con parce que l’effet de serre dont parle le GIEC est celui qui se produit à la troposphère et qui par « back-radiation » (cf la fa(u)meux schéma de Trenberth) est renvoyé plus bas pour réchauffer le plancher des vaches.
            Bon, réessayez encore une fois.
            Et ne vous inquiétez pas, vous n’êtes pas le premier à parler avec autorité sur « l’effet de serre » sans avoir la moindre idée de ce dont il s’agit.

          • « Faut-il que je note en toutes lettres que nous sommes du même côté pour que vous fassiez l’effort de lire un minimum ce que j’écris ? »
            ——————————–
            QUEL RAPPORT AVEC LA CHOUCHROUTE ???
            Depuis quand une chose serait vraie ou fausse selon le côté de celui qui l’annonce ?

            • Bon, ce que je veux dire, c’est que le fait de poser l’effet de serre comme inexistant de façon brutale me dérange (mais mon opinion est loin d’être immuable sur le sujet, je serai heureux de lire vos articles sur l’absence de lien entre vapeur d’eau et CO2 dans l’atmosphère et température terrestre).
              Or, si cela gêne une personne défavorable aux thèses écologistes comme moi, je me suis dit que cela ne pouvait que braquer un potentiel écologiste dans un débat et le convaincre à tort de la fausseté de tous les autres arguments donnés sans possibilité de retour en arrière. Disons que je vois cela comme une invitation à la caricature.

              Je n’ai pas lancé d’arguments d’autorité, je ne veux vous convaincre de rien, j’avoue mon manque de connaissance sur le sujet, et je suis ouvert à changer d’opinion face à des textes argumentés. Je ne dispose malheureusement dans le domaine que de ce que l’Education Nationale a bien voulu mettre dans son programme, et je ne m’intéresse pas vraiment au sujet car les échelles de variation des pourcentages de GES dans atmosphère me suffisaient à réfuter une augmentation de l’effet de serre jusqu’à ce que je découvre grâce à vous que c’était l’existence de l’effet de serre en elle-même qui pouvait être remise en question.

              J’essayais simplement de rappeler que le-dit écolo-scepticisme est trop souvent réfuté par le fait que la bien-pensance parvient à retourner contre lui ses arguments en les caricaturant à l’extrême (mais je me trompe peut-être totalement). Je ne suis pas spécialiste en rhétorique, mais je pense qu’il faut dès lors être vigilant dans son argumentation en veillant à ne pas braquer les esprits et appuyer les éléments les plus controversés de son discours de fondements solides (vous m’accorderez que dans le cas de jacqueshenry ce n’est pas vraiment le cas).

              Certains peuvent trouver que j’essaie de vous lécher les bottes (@Cazictulé), je préfère noter que j’ai toujours essayé de positionner mes propos dans le sens du dernier paragraphe (plutôt un échec visiblement) et que je n’ai jamais prétendu essayer de convaincre quiconque de mes connaissances lacunaires sur le sujet.

        • C’est parce que la Terre rayonne . Donc en se rapprochant de la surface , il fait plus chaud. Mais, une partie de l’énergie qui est absorbé par la surface provient non seulement du soleil mais aussi de l’effet de serre. Donc en quoi votre réponse est pertinente?
          Expliquez moi l’origine de la température sur la Lune? Sur Vénus? Sur la Terre?
          Les minitax et jacqueshenry, vous imaginez un seul instant pouvoir continuer sérieusement de contribuer à la discussion des articles en écrivant de telles horreurs (caricature de négationnisme), la vous devriez vous arrêtez la, on a pas besoin de clowns.

          • Avouons qu’une si massive faute de syntaxe dans un phrase qui traite autrui de clown, c’est collector.

          • Oula !

            « C’est parce que la Terre rayonne . Donc en se rapprochant de la surface , il fait plus chaud. » … « contribuer à la discussion des articles en écrivant de telles horreurs »

            http://fr.wikipedia.org/wiki/Gradient_thermique_adiabatique

            En ce qui concerne « l’effet de serre », il est bien plus complexe qu’on veut le laisser croire. Tout le problême vient justement du fait que les physiciens ne sont pas d’accord entre eux sur sa nature et son intensité (avant même de considérer les rétroactions positives ou négatives).

            • Je ne suis pas si sûr que tout le problème vienne de l’existence ou non de l’effet de serre (terme définitivement impropre au passage), personnellement j’arrive très bien à concevoir son existence en niant une quelconque augmentation notoire de son effet. (Si le soleil réchauffe la Terre, il faut bien à mes yeux un moyen de garder en moyenne une température confortable.)

              Il me semble donc que la tentative de le nier (de façon justifiée scientifiquement ou non) est malhabile et surtout non nécessaire pour lutter contre les thèses écolofists.

              Néanmoins, s’il existe un débat vraiment reconnu entre scientifiques indépendants (ie. sans qu’aucune des 2 parties n’ait les mains qui trempent dans l’humus bio-équitable), je conçois que l’on puisse s’attacher à défendre la non-existence de l’effet de serre pour dénoncer de fait sa non-augmentation, mais il faut alors enrichir son argumentation d’une théorie scientifique solide dont les thèses sont vraiment très loin d’être diffusées de manière significative.

              Pitié, demandez-moi de reformuler si je ne suis pas clair dans mes propos, épargnez-moi les procès d’intention.

              En résumé, je ne savais pas que la communauté scientifique indépendante était nettement divisée sur l’existence même de l’effet de serre, mais je pense que certains débats (surtout contre les bien-pensants écologistes) sont trop facilement perdus (ou du moins non remportés) pour cause d’arguments scientifiques trop gourmands (donc non nécessaires) et réfutables.

            • Personellement, je n’ai pas bien compris ce que les physiciens allemands qui sont à l’origine de cette polémique sur « l’effet de serre radiatif » et l’application stricte du second principe de la thermodynamique cherchaient à démontrer (à part faire parler d’eux peut-être) et je ne suis donc pas du tout convaincu. (Mais il n’est pas impossible qu’ils aient raison – on a vite fait de se tromper en physique quand on applique mal les lois et qu’on ne peut rien vérifier de façon expérimentale).

              De toute façon, même si les calculs d’effet de serre radiatif sont faux, l’effet de serre par gradient de température (moins froid en haut, donc plus chaud en bas) et blocage convectif (effet de couverture) existe forcément car personne ne nie la capture des rayons IR réémis par la terre par le CO2 ET SURTOUT la vapeur d’eau.

              L’application de la loi de Stefan-Boltzmann qui entre dans les calculs de température « en absence d’effet de serre » est aussi semble-t’il assez délicate.
              J’ai retenu qu’en ce qui concerne les physiciens, il existait une GROSSE fourchette d’évaluation de l’augmentation de la température de surface pouvant résulter directement d’un doublement de concentration de CO2.
              Cela est encore compliqué par les phénomènes de saturation de l’absorbsion des infra-rouge et de contre-réactions positives ou négatives. L’existence d’un grand nombre de modèles traduit ce manque de conscensus et le fait qu’on ne sait rien vérifier de façon expérimentale.

              Bref, c’est déja flou avant même que les météoclimatologue n’embrayent en cherchant à intéger tout ça dans une simulation de l’atmosphère avec circulation de l’air, formation de nuages qui modifie l’albedo et condensation de la vapeur d’eau qui renvoie la chaleur au sol.
              Mais comme aucun modèle ne représente correctement la réalité, il ne sont pas plus avancé qu’au départ pour valider la fourchette et les contre-réactions.
              Et comme les températures mesurées sortent de la zone d’incertitude de tous le modèles, ils ont du sélectionner des modèles trop pessimistes, ou il leur manque des paramètres importants dans la modélisation.
              Mais plus vraissemblablement les deux et il s’apercevront un jour que les calculs physiques sont faux.

            • Oula! Et alors? Votre chaleur elle vient d’où? Votre wikipedia sur les gradients adiabatiques accompagne ce que j’ai dit ou est le problème?

            • pragma: vous vous permettez de faire de l’esprit par une pirouette en occultant les bêtises des autres. Et en plus vous répondez à côté.Il y a un moment où faudra apprendre à avoir un peu moins la grosse tête, à cesser de toujours contredire tout sur tout stupidement. C’est comme un jeu pour vous, vous venez la pour vous défouler. Vous faites preuve d’une mauvaise foi démesurée.

            • @pragma Je suis très heureux que vous ayez pris le temps de me lire et de répondre, merci !
              Je le suis d’ailleurs d’autant plus que vous portez les mêmes opinions que moi sur le sujet.

              J’espère que jacqueshenry repassera par ici pour lire votre réponse qui est vraiment intéressante.
              Votre message suffit à remettre largement en cause les propos écologistes sans risquer de prendre maladroitement partie dans le premier débat.

              Je vous laisse avec ce cher MDR dont j’ai essayé de comprendre les messages, en vain.

            • FourmiSil : « En résumé, je ne savais pas que la communauté scientifique indépendante était nettement divisée sur l’existence même de l’effet de serre, mais je pense que certains débats (surtout contre les bien-pensants écologistes) sont trop facilement perdus »
              ———————————-
              Oui donc en clair, vous ne savez pas pour ce qui est du débat de fond scientifique sur l’effet dit « de serre »–qui-n’a-rien-à-voir-avec-l’effet-de-serre (du genre mené par de vrais physiciens comme Miskolczi ou Gerlich & Tscheuschner), vous n’avez cherché aucune confirmation expérimentale de l’effet de serre des dit « gaz à effet de serre » (on en attend toujours, une, UNE seule, hein !), vous ne vous êtes pas posé la question pourquoi avec une théorie si établie, la « communauté scientifique » (quoi que ça puisse vouloir dire, vu que le seul papier qui ferait autorité sur le sujet est celui de Ramanathan d’il y a 30 ans) n’est pas fichue de savoir à 500% près la sensibilité climatique des gaz « à effet de serre », ni le « potentiel de réchauffement » (copyright GIEC) du GES le plus important : la vapeur d’eau, etc… Ce qui vous intéresse, c’est de gagner le débat politique et au diable la vérité scientifique. Vous avez raison, merci de vos bons conseils, mais quel rapport avec la science ???
              Pour ce qui est de « l’argument trop facilement réfutable » (de l’absence de validité expérimentale et théorique de l’effet de serre réchauffiste), pour l’instant, ni vous, ni personne, avez réfuté quoi que ce soit. Vous vous contentez de répéter ad nauseam que c’est « facilement réfutable », argument d’autorité qui ne vaut pas un clou. Répéter 100x une ineptie ne la transforme pas en vérité.
              Question suivante ?

            • @miniTAX Je n’avais à l’origine souligné qu’une chose dans les propos de jacqueshenry, c’était la citation « inventant le concept d’effet de serre qui est en contradiction directe du deuxième principe de la thermodynamique, de la loi de Stefan-Boltzmann relative au corps noir (ni) et du gradient adiabatique de l’atmosphère. »

              Je ne sais pas si vous voulez que j’en reste là et que je vous laisse commenter cette phrase, mais dans le doute je continue un peu.
              Vous prônez le non-effet de serre des soi-disant gaz à effet de serre (dit comme ça on s’y perd, mais j’espère que vous comprenez), je suis entièrement d’accord avec vous !
              Je n’ai pas bien compris par contre si vous tolérez le fait que la vapeur d’eau et le CO2 contenus dans l’atmosphère jouent un rôle naturel sur la température terrestre, c’était ce point-là que je remettais en question dans les propos de jacqueshenry.

              En réalité ma réaction a été motivée par la lecture de commentaires sur ce site: http://23dd.fr/climat/les-climatosceptiques/36-le-principe-du-gaz-a-effet-de-serre-contredit-la-2eme-loi-de-la-thermodynamique
              On y constate que les propos de ce M. JF Blackburn sont balayés par mauvaise foi et finissent par conforter encore plus les lecteurs de ce site de propagande (libre d’accès) dans leurs opinions en parodiant un débat équitable.

              Cela explique ma réticence à lancer le débat du deuxième principe.
              Mais je répète que ce n’était pas ce que je pointais du doigt dans les propos de jacqueshenry, mais bien la confusion malhabile entre le phénomène naturel (dans lequel le CO2 joue un rôle naturel, bien plus faible que celui de la vapeur d’eau) et l’absurdité de l’impact de gaz à effet de serre (car les variations de ce-même CO2 sont inconséquentes).

            • Désolé Fourmi Sil mais j’ai suivi votre discussion et on dirait que vous faites un peu du lèche botte. Vous cherchez absolument à obtenir les bonnes grâces d’une partie des intervenants . Vous ne comprenez pas mdr même si c’est du genre basique voir bêta ce qu’il raconte mais par contre moi je ne vous suis plus, vous pouvez préciser votre pensée lorsque vous écrivez le « CO2 joue un rôle naturel, bien plus faible que celui de la vapeur d’eau et l’absurdité de l’impact de gaz à effet de serre « en parallèle avec « Vous prônez le non-effet de serre des soi-disant gaz à effet de serre, je suis entièrement d’accord avec vous ! » CO2 = GES ou pas alors?

            • @MDR

              « pragma: vous vous permettez de faire de l’esprit par une pirouette en occultant les bêtises des autres. »

              Le gradient adabatique est un détail, mais il montre comment on peut se faire des idées fausses. (L’air chaud se dilate en montant et devient froid à l’arrivée : frigo naturel – rien à voir avec l’effet de serre).
              Ce n’est pas ça qui remet en cause les jolis dessins du GIEC avec les IR qui réchauffent la terre à cause du CO2.

              Ce que vous appelez « les bêtises des autres » est en fait des raccourcis en quelques lignes de plusieurs pages de vulgarisation scientifique que vous pouvez trouver par exemple sur pensee-unique.org. Les articles originaux étant bien sur beaucoup plus longs et complexes. C’est donc en réalité un débat entre sceptiques sur ce qui serait la plus grosse erreur scientifique du GIEC. Il ne s’agit donc pas de bêtises, mais il faut avoir lu toutes les critiques scientifiques du rapport du GIEC pour suivre.
              A moins que vous ne considériez que le GIEC ne peut pas se tromper et qu’en discuter les remises en cause est une bêtise.

            • La dessus ok, discuter de l’effet de serre pas de problème. Mais certains sont quand même aller plus loin sur le sujet en disant presque que ce phénomène n’existait pas tout simplement: ce qu’a dit jacques henry n’est pas sérieux.

            • @Cazictulé

              CO2 = GES

              Sauf que :
              – une serre ne chauffe pas par absorbtion des infrarouges du au CO2 mais blocage de la convection.
              – la serre se situe au premier étage et nous habitons le rez-de-chaussée, ce qui peut faire une différence importante dans le réchauffement attendu suivant la façon dont on considère que se fait la transmission de la chaleur du gaz vers le sol.

              La vapeur d’eau est aussi un GES et bien plus puissant et concentré dans l’atmosphère. Et elle restitue la chaleur (accumulée par absorbsion IR) au sol quand elle se condense en pluie sans avoir forcément besoin de rayonner des IR.

              Après, (et ceci est une considèration personnelle intuitive qui n’a que peu de valeur scientifique), s’il n’y avait pas quelque part un mécanisme de « contre-réaction négative » qui refroidit la machine, il me semble que cette machine s’emballerait toute seule : la chaleur évapore plus d’eau qui augmente l’effet de serre qui fait évaporer plus d’eau qui augmente l’effet de serre … et les poissons sortent tout frits des filets des pêcheurs. Donc les théories d’amplification de l’effet du CO2 par augmentation de l’évaporation me semblent douteuses.

            • @Cazictulé je vais une nouvelle fois lécher les bottes de pragma et le remercier pour sa clarification.
              Je vous prie de m’excuser, j’ai employé le terme de non-effet au sens de la non-amplification du phénomène.

              Je vais même aller plus loin en remerciant MDR pour son dernier message, car il a résumé en 3 lignes ce que je soulevais depuis le départ. Nous condamnons ainsi les mêmes propos de jacqueshenry bien que nous ayons un avis opposé sur l’augmentation de l’effet de serre.
              Le problème était très simple au départ, une réponse de ce monsieur aurait évité bien des errances.

    • Non mais c’est pas possible d’écrire ca. Personne n’est la pour modérer quoique ce soit?

      • Vous prônez donc la censure comme moyens de débattre contre ce qui ne colle pas avec vos idées.
        Donc, ça ne devrait pas vous déranger que la modération vous modère sous motifs de filtre anti-cons…

      • Messsage à la modération de Contrepoint.

        Merci de ne pas modérer MDR, c’est effectivement collector.

        • Pas modérer dans ce sens la enfin.. dire que l’effet de serre n’existe pas ne colle pas avec mes idées? effectivement! Mais la on est dans l’écriture d’invention ou de la science fiction.

  • si ma mémoire est bonne, est elle l’est, al gore était président d’un fond d’investissement dans les entreprise cotées qui s’était engagées à suivre une politique écologiquement responsable.

    son fim et tout le pataquès qui vont avec, était une entreprise de propagande destiné à faire prolifèrer ses affaires, ni plus, ni moins. je n’ai pas vu le film, mais certains extrait à la TV étaient grotesques. il est probable que le sieur ne croyait pas un mot à tout ce qu’il racontait !

    • « Le Caire, en Égypte, a vu ses premiers flocons de neige depuis plus de 100 ans. Aux États-Unis, il y a eu des centaines de nouveaux records de basses températures et de chutes de neige »
      Certes, mais en Europe c’est l’inverse. En Scandinavie et en Russie, et dans une moindre mesure dans le reste du continent, dont la France, de nombreux records liés à la douceur inhabituelle sont tombés. Donc ces faits sont à pondérés. . Il y a la manière de dire « en Arctique, la glace a en fait augmenté de 50% par rapport aux niveaux de 2012 » et celle qui précise que le niveau de 2012 a été le plus bas jamais enregistré depuis 1979, d’ailleurs tellement bas que une augmentation d’autant de % est une supercherie mathématiques: en d’autre termes 50% de pas grand chose ca ne donne pas grand grand chose.
      Bref tout ceci pour illustrer que ce n’est qu’une manière de présenter les choses, de montrer le verre à moitié vide au lieu de dire qu’il est à moitié plein. Je suis globalement d’accord avec cet article mais il n’est pas assez objectif, et c’est un point à réviser.

      • Quel intérêt de tronquer sélectivement le début de votre citation, « Bien que cela soit anecdotique, évidemment, …  » ?

        • Puisque c’est anecdotique, quel est l’intérêt de faire mention de ces micro-évènements météorologiques ?

          • facile de voir que le réchauffement est toujours en cours : la montée constante (par contre difficile de voir pour le moment une accélération) du niveau des océans due pour moitie à la fonte des glaciers et pour moitie a la dilatation thermique… difficile de sortir des histoires mesures, de mails, d’ilots urbains ou je ne sois quoi sur ces mesures satellitaires…

            article vraiment mauvais qui liste les nouvelles meteo froides, on pourrait faire la meme chose avec les nouvelles meteo chaudes mais ca n’aurait pas plus de valeur… en lisant ce genre d’articles reguliers on comprend que les moyens financiers en jeu sont considerables…

            • « la montée constante (par contre difficile de voir pour le moment une accélération) du niveau des océans due pour moitie à la fonte des glaciers et pour moitie a la dilatation thermique… »

              Quand on manque de confiture : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gla%C3%A7on

            • 1) Les océans n’ont pas du tout une forme de sphère parfaite.

              2) de place en place leur « niveau » varie quotidiennement avec l’attraction lunaire (effet de marées) et sous l’effet des vents (que l’on ne peut guère attribuer à dame Lune). Variation continuelles, partout !

              3) l’effet des échanges thermiques d’océans reste tributaire des courants marins.
              Où les avez-vous laissés ceux-là et dans quel hémisphère les mesurez-vous ?

              4) en quels endroits représentatifs mesurez-vous donc ce niveau ? Avec quelle précision ?
              Grâce à quelle règle précise ? Ah, les satellites, et depuis combien de temps le fait-on ainsi ?

              1-2-3-4 ) un relevé correct d’un « niveau » moyen » est donc IMPOSSIBLE à réaliser !
              Idem pour définir une « T° moyenne » de notre globe !!

              Marcel : votre commentaire constitue ainsi un TISSU d’ÂNERIES …
              basé sur le « on dit que », de sources idéologiques ! Pauvre c..

            • La chaleur de l’atmosphère diffuse lentement dans l’océan. Il est donc logique qu’avec une température de l’atmosphère stabilisée la température de l’océan continue à monter (même idéfiniment). Si la chaleur apportée par le soleil diminue, la température atmosphérique ne peut chutter immédiatement car l’océan va restituer des calories.
              Un plateau (ou une baisse) de température atmosphérique avec continuation de la fonte des glaces n’a rien d’anormal.

            • « la montée constante (par contre difficile de voir pour le moment une accélération) du niveau des océans »

              C’est pour ça que dans les Maldives, ils construisent des aéroports au niveau de l’eau ?

              « pour moitie a la dilatation thermique »

              Question : l’eau est donc la seule matière sur terre qui subit une dilatation thermique en cas de réchauffement ?

            • @The Wolf

              Température globale !
              Non seulement on ne peut pas physiquement faire une somme et donc une moyenne de température, mais il me semble que les petits gars qui « corrigent » les températures polaires (la où il n’y a pas de mesures satellittes) sont stupides ou de mauvaise foi : ce qui compte c’est la quantité de chaleur contenue dans le volume d’air et celle-ci dépend de la température ET de l’humidité.
              La quantité de chaleur contenue dans l’air froid et sec des poles doit être ridiculement faible par rapport à l’air chaud saturé d’humidité des tropiques.
              En d’autres mots, je doute que les courbes du GISS aient la moindre valeur pour mesurer le réchauffement.
              Enfin, ce n’est que mon avis …

          • Chaque événement est anecdotique, par sa dimension, à l’échelle du globe. C’est l’ensemble des événements qui ne l’est plus. On constate que les événements climatiques extrêmes se multiplient et augmentent en puissance.
            Ça, les météorologues le constate et le confirme années après années.
            Il y a une tendance difficilement contestable et ce n’est pas un refroidissement généralisé qui peut l’expliquer, ni même une variation accidentelle décennale. Les énergies en jeu sont colossales et sont forcément liées à des tendances portant sur plusieurs décennies.

            • « Les énergies en jeu sont colossales et sont forcément liées à des tendances portant sur plusieurs décennies. »

              En un siècle, les températures ont variées de 0,7 °K / 288 °K de moyenne soit 2,5 pour mille. Quelle colossale variation d’énergie en effet cela doit induire dans les phénomènes climatiques.

            • Il y a une augmentation de la constatation des phénomènes extrêmes, pas de leur nombre. Ce sont les observateurs dont le nombre a augmenté, notamment dans les endroits reculés. A titre d’exemple, quand dans les années 70 on a commencé à envoyer des avions observer les ouragans au large, on a vu leur sévérité augmenter par rapport au temps où on les observait seulement une fois en voie d’apaisement à la côte…

            • « augmentation de la constatation des phénomènes extrêmes »

              Ca me fait penser aux mitrailleurs des box de bombardiers américains en 1944 qui juraient de bonne foi abattre plus de chasseurs que l’industrie aéronautique allemande n’en produisait. Comme il étaient nombreux à tirer sur le même avion, il réclamaient tous la « victoire ».

            • « On constate que les événements climatiques extrêmes se multiplient et augmentent en puissance. »

              Ca vous sert à quoi de marteler ce genre de foutaises ? A vous persuader vous-même ?

          • Anecdotique ou pas, c’est mentionné comme dit keskidi. Alors pourquoi ne pas faire part des autres records, allons allons pas d’acharnement stérile à défendre un texte. Et ce n’était qu’un exemple parmi les autres. Après ces faits restent incontestables bien sur.

          • Exactement.

  • Pour moi c’est très simple.
    S’ils sont des scientifiques, ils ont une fonction –> f(x) = ….
    où x est le temps est f(x) la température .. A CHAQUE INSTANT !!!
    s’ils n’ont pas cette fonction, ils sont des escrocs.
    Alors.. ça vient.. la fonction ?

  • Quel complot ? Celui de fonctionnaire et assimilés toujours avides de toujours plus de subsides pour, oui ma chère, « sauver le monde ?

  • Critiquer des prédiction alarmistes, hystériques et erronnées, c’est une chose. Mais nier en bloc que des changements climatiques potentiellement dangereux sont actuellement en cours, c’est jouer à l’autruche. Que ces changements soient naturels ou causés par l’homme est de peu d’importance quand des conséquences graves peuvent survenir d’une année à l’autre.

    L’auteur de ce texte expose des contre-arguments pas plus scientifiques que ceux qu’il dénigre. Le fait que la calotte polaire ait eu une forte croissance à l’automne 2013 n’est pas un argument consistant. D’ailleurs, la calotte stagne et s’affaiblit à cause que le vortex circumpolaire s’est déplacé vers le sud sur le Canada et les États-Unis au cours du mois de décembre 2013.

    En ce moment même en janvier 2014, ce vortex a laissé place à de l’air chaud derrière lui. Il fait +5ºC depuis presque 2 semaines en plein mois de Janvier à Québec, il pleut, alors que la normale est de -20ºC. Ça aussi c’est exceptionnel.

    • Ah ! Une critique scientifique fondée de l’article. Mais puisque vous êtes bien informé et capable d’argumenter, puis-je me permettre de vous poser une question qui me tracasse à ce sujet ? Mais je la formulerai en langage scientifique tel qu’il convient, compte tenu de votre haut niveau. Cette question a déjà été posée plusieurs fois, en langage ordinaire, sans jamais recevoir de réponse. La voici, sans phraséologie superfétatoire :
      « Pourquoi toi y en a pouvoir dire que tout ça y en a être certain que ça être la faute de l’homme ? »

    • Ahhh Ahhh J’ai peur le vortex va me dévorer.

    • La terre a 4 milliards d’années, elle en a vu d’autres. Attendez un peu qu’une météorite s’abatte dessus pour clore ce débat de microbes.

    • @RL
      Savez-vous que la Terre a connu des périodes plus chaudes et s’en est TRÈS bien portée ?
      Savez-vous que la Terre a connu des périodes de concentration en CO2 plus élevées, et s’en est EXTRÊMEMENT bien portée (faunes et flores luxuriantes) ?

      Non, vous ne savez pas tout cela ?

      • Non, il ne sait pas cela, comme nous pouvons tous le constater. Mais à sa décharge, il faut bien dire que cela ne figure pas dans le « résumé pour les décideurs » du GIEC, qui semble être sa source unique de renseignements.

      • Question : où était le carbone contenu dans les carburants fossiles avant d’être incorporé à des végétaux et être séquestré par les sédiments ?

        Réponse : A . . . . . . . . E

        Question : quel pourcentage de ce carbone pourra-t’on jamais récupérer ?

        Réponse : pinuts

      • Je n’irais pas jusqu’à dire que tous les changements climatiques de l’histoire ont systématiquement apporté de vastes bienfaits pour la vie humaine sur toute la surface de la terre.

    • « Mais nier en bloc que des changements climatiques potentiellement dangereux sont actuellement en cours, c’est jouer à l’autruche. »

      Chépa, j’ai jamais pu le constater…

      On analyse des phénomènes qui ne sont pas observable au niveau individuel, mais via son info sous-jacente. On l’observe en plus avec un sacré prisme idéologique. La question, c’est de savoir à quel point ce filtre influe sur les observations.
      Sont-elles fiables ? L’esprit humain est capable de jouer de sacrés tours et de prendre pour vrai des choses qui n’existent que dans la tête. C’est ce qu’on appelle la mystification.

    • RL : « Mais nier en bloc que des changements climatiques potentiellement dangereux sont actuellement en cours, c’est jouer à l’autruche.  »
      ———————————
      Nier une réalité, c’est jouer à l’autruche.
      Nier quelque chose de « potentiellement dangereux » et qui pourrait « survenir d’une année à l’autre », surtout quand les prophètes qui l’annonce se sont planté piteusement depuis des décennies, c’est du simple bon sens.
      Comprendre les bases de la logique, c’est fondamental.

      • Non, non, non, ce qui est fondamental c’est de comprendre les bases de la rhétorique, car il n’est question ici que de ça.

      • @RL
        @keskidi

        Vos commentaires sont du niveau d’un enfant de 5 ans qui se bouche les oreilles et dit : « Nan, nan, nan j’entends pas, c’est celui qui dit qui y est, et vous êtes tous des méchants »

        • Faut pas vous énerver. Vous posez des devinettes enfantines, j’y répond sur le même registre en corrigeant au passage l’ortograf de pinuts, c’est tout. Je m’adapte au niveau très bas en essayant de ne pas choir dans le caniveau. C’est pas facile.

          • Votre pseudo me fait penser à mon sketch humoristique préféré. Cela nous fait peut-être un point commun. Mais je vous ferais remarquer que vous assumez ainsi le rôle du sourd …
            S’adapter au niveau de l’interlocuteur est nécessaire mais vous n’en avez pas l’exclusivité, et à force de renchérir on tombe effectivement dans le caniveau. Cependant, en affirmant que le niveau est très bas, vous vous basez sur des commentaires peu sérieux qui sont eux-mêmes des « réponses par l’absurde ». Le niveau sur ce site est bien plus élevé que ce que j’ai vu ailleurs bien que le site soit clairement « trusté » par des sceptiques. (Mais c’est dans la nature libertarienne).
            J’ai eu la flemme de rechercher les vrais chiffres pour la réponse à mes devinettes (et de me relire pour les cacahuètes). Elles ne sont cependant pas enfantines dans mon esprit : on nous présente le réchauffement comme une sorte de « conflit » entre le CO2 contenu dans l’atmosphère, celui capté/émis par la biosphère et par nos rejets. Mais c’est une vision tellement simpliste qu’elle a de bonne chance d’être fausse : le CO2 dissous dans l’océan est (de mémoire) 50 fois plus important que celui dans l’atmosphère et il existe un EQUILIBRE pour une température donnée (équilibre théorique car possiblement chaotique).
            On sait mesurer que 50% de nos rejets sont captés mais on ne sait pas vraiment l’expliquer. Quant à la quantité de fossiles que l’on brule, elle est très inférieure à ce qui est enfoui dans les sol. Même si on relachait tout, la vie continuerait sur terre. Bien sur le fait de tout relacher trop rapidement pourrait créer un déséquilibre très préjudiciable, mais rien n’est évident à priori et on manipule des clichés qui ne correspondent pas à la réalité. Et ces clichés sont tellement devenus parole d’évangile que je n’ai jamais pu avoir de discution sur le sujet. Ni vu d’articles convainquants sur le sujet.

        • Je ne vois pas comment il peut être possible d’accuser quelqu’un d’être fermé d’esprit après qu’il ait publié un seul commentaire, sans discussion bilatérale ni critique constructive.

          J’expose mon opinion et je prend connaissance de l’opinion de ceux qui répondent. Si des arguments qui me paraissent pertinents me sont adressés, je vais certainement modifier mon opinion.

      • Je respecte votre évaluation probabilistique à l’effet que le risque que des changements climatiques viennent perturber nos civilisations et modes de vie soit négligeable. Si vous considérez que la probabilité de catastrophe est si faible qu’il ne vaut pas la peine de prendre des mesures conséquentes, c’est votre choix.

        De mon coté, j’évalue cette probabilité plus grande et je me préoccupe de prévoir les infrastructures et réserves nécessaires à la survie de ma famille en cas d’urgence.

        Nous savons qu’historiquement, des changements climatiques ont provoqué des famines et des pénuries. Le fait est que ni vous ni moi n’avons une réelle méthode scientifique pour évaluer le risque qu’un tel scénario se produise à court, moyen ou même long terme. Ce n’est qu’une question d’intuition personnelle face à nos observations personnelles.

        Moi, j’observe des changements climatiques et ça me préoccupe. Peut-être que je me fais du mauvais sang pour rien. Je ne forcerai jamais personne à se prémunir contre des problèmes probabilistiques. Je ne crois pas que le gouvernement devrait légiférer à ce sujet. Vous pouvez me ridiculiser et me traiter de survivaliste si vous considérez que mes craintes sont infondées. Mais advenant que des problèmes surviennent, peu importe leur cause, ma famille aura des réserves et de la protection, et les étrangers ne seront pas les bienvenus sur notre propriété privée.

        • Quelles mesures pour lutter contre quelque chose que l’on ne comprend pas?

        • Merci!tu nes pas le seul.on a eu un hiver dernier tardif mais froid et la pas dhiver!et de la pluie de la pluie et encore de la pluie meme dans le sud de la france.QUELQUECHOSE NE TOURNE PAS ROND DANS LAIR PAS DU TOUT MEME.jai jamais vu ca de mémoire!il ne fait que pleuvoir et aux USA Les témpératures sont trop froides,polaires,le climat change tu as tout a fait raison.et moi aussi je suis inquiète!canicule en Australie et incendies,inondations en france,froid polaire aux USA,canicule cet été 2013 ou juin dernier en Laponie et certains nient encore le déréglement!ben ils font l’autruche car ca m’inquiète aussi!plus rien ne fonctionne il y a des déréglements dans l’air ..NOn tu ne te fais pas du mauvais sang pour rien car moi aussi ca m’inquiète et m’intrigue.;le climat se dérègle a vitesse grand V et tout ces déréglements vont couter cher en millions d’euros pour les gens sinistrés par les inondations,les incendies..les sécheresses il y a aura plus de famines dans l’avenir,car il risque dy avoir de plus en plus de récoltes détruites par les caprices de la météo et de moins en moins de fruits et légumes..ca me préoccupe!!On a massacré la terre..

    • « des changements climatiques potentiellement dangereux sont actuellement en cours, c’est jouer à l’autruche »

      Vous faites un mauvais proçès aux autruches qui n’ont jamais mis la tête dans le sol pour échapper à la réalité.

      « des conséquences graves peuvent survenir d’une année à l’autre »

      Les évênements ayant de graves conséquences sont les tsunamis et les tremblements de terre bien plus que les évênements météo. Dans tous les cas, les conséquences graves viennent de la pauvreté des populations de leur exposition et de leur absence de préparation au risque.

      « L’auteur de ce texte expose des contre-arguments pas plus scientifiques que ceux qu’il dénigre »

      Tout à fait. Ce n’est pas un scientifique. Il se contente de montrer l’absurdité de la propagande de Al Gore.

      « l fait xxxºC depuis presque 2 semaines en plein mois de Janvier …  »

      Quand il fait anormalement très chaud quelque part, il fait anormalement très froid ailleurs. C’est normal car cela provient du déplacement anormal de masses d’air. En vérité les températures « moyennes » varient très peu. 5°C en plus ou en moins sur une semaine dans le monde entier changerait la « moyenne » globale terrestre de 0,1 degré. Alors que les relevés de températures du GISS et des satellites présentent un écart de plus de 0,3 degré pour les dernières mesures (bien que calées en 1980).

      • Personnellement, ce qui me préoccupe, c’est les impacts des changements potentiels sur l’agriculture.
        Je ne suis pas agronome, mais je sais qu’une anomalie climatique engendre une récolte anormale.

        Je respecte ceux qui refusent de se préoccupper de cette situation. Il n’existe pas de méthode scientifique ou économique rigoureuse pour calculer la probabilité que des perturbations climatiques fassent grimper le coût de la nourriture par exemple, tout comme il n’existe pas de calcul pour prouver le contraire. Tout ça n’est qu’une question de préoccupation personnelle.

        C’est un coup de dés. Une chose sûre par contre, c’est que si rien n’advient, j’aurai perdu du temps et des efforts à me préparer à une crise qui ne survient jamais et ceux qui ne se préparent pas peuvent bien se fouttre de ma geule. Je n’aurai fait de mal à personne. En revanche, si des problèmes surviennent, j’aurai ce qu’il faut pour subvenir aux besoins de ma famille et je serai équipé pour tenir les désespérés à l’écart.

        • Vous semblez être une victime mediatique du climat de peur que certains cherchent à répendre dans l’opinion à propos du réchauffement climatique.
          Cependant, comme vous le dites on ne peut calculer de probabilité de perturbations climatiques. J’irai plus loin en disant que les probabilités de réchauffement, de validité des théories du GIEC ou de moyenne de modèles sont une pure arnaque.
          D’un autre côté, bien d’autres facteurs peuvent créer des pénuries causant une monté en flêche des coûts de la nourriture : guerre au moyen-orient avec choc pétrolier à la clé, parasites ou maladies dans les cultures, grêve générale, effondrement du système démocratique, guerre civile, guerre thermo-nucléaire, météorite géante, invasion des martiens. (Les dernières sont moins probables, sauf qu’il est impossible de calculer une probabilité pour aucun de ces évênements).
          J’ai ma propre opinion des dangers qui nous menacent qui vaut ni plus ni moins que la votre. En revanche je n’est pas la mentalité du « survivor ».
          Je ne peux pas vous donner tort, mais je vous conseille tant qu’à faire si vous voulez faire des réserves et vous protéger de mutualiser le risque et de ne pas vous focaliser sur des risques climatiques à court terme.

    • « Critiquer des prédiction alarmistes, hystériques et erronnées, c’est une chose. Mais nier en bloc que des changements climatiques potentiellement dangereux sont actuellement en cours, c’est jouer à l’autruche. »

      Donc, prédisons, prédisons, il en restera toujours quelque chose… Superbe argumentation.

    • Toutes leurs prévisions à ce jour se sont révélées fausses donc agissons en fonction de leurs prévisions. Comment espérez vous convaincre avec cette logique ?

  • Il y a plus grave que le réchauffement. L’homoursporc !

    • @minitax : d’après vous les moyennes de température au niveau de la terre ne veulent rien dire
      @the wolff : d’après vous les moyennes de niveau des océans au niveau de la terre ne veulent rien dire

      reponse pour nos lobbyistes professionnels : sur quelles mesures vous vous basez pour affirmer qu’il n’y a pas d’augmentation des températures ?…

      • Bonjour marcel
        « pour affirmer »
        Sceptique, on est sceptique. On n’affirme pas. On doute.

      • Bonjour marcel.
        Sur les travaux, connus mondialement (donc vous devriez sortir un peu de chez vous), du Dr Roy Spencer, directeur de recherches, et spécialistes des mesures satellitaires.
        Travaux qu’il a présenté l’été dernier devant le sénat américain.
        http://www.drroyspencer.com/wp-content/uploads/CMIP5-73-models-vs-obs-20N-20S-MT-5-yr-means1.png
        Cela se passe évidemment de commentaires.
        Bien entendu marcel, si vous vous contentez de regarder les médias mainstream français, vous ne risquiez pas d’être au courant. Vous êtes donc (à moitié) excusé.

      • @marcel

        Moyennes de température : il y a un problême de physique : on ne peut pas faire de somme de températures donc pas de moyenne. Ce qui compte, c’est une quantité de chaleur. La chaleur est bien plus « concentrée » dans le sol ou l’eau que dans l’air donc dans l’air humide des tropiques que dans l’air sec des régions polaires. (l’air chaud à la propriété de pouvoir contenir plus de vapeur d’eau que l’air froid – c’est pourquoi la vapeur condense quand l’air se refroidit).

        Moyenne du niveau des océans : toutes les surfaces émergées du globe subissent des mouvements ascendant ou descendant. Le niveau de la mer localement dépend par ailleurs de la pression atmosphérique qui peut fausser la mesure de niveau sur de grandes étendues et de larges pérides temporelles. Sur le long terme, une moyenne nous donne bien une indication de la montée des océans. En déduire des accélérations est plus difficile.
        Par ailleurs quelqun me faisait remarquer qu’on ne pouvait savoir dans quelle mesure la déformation terrestre intervenait dans les variations de niveau.

      • @marcel

        « sur quelles mesures vous vous basez pour affirmer qu’il n’y a pas d’augmentation des températures »

        Tglobale n’a qu’une valeur relative, mais les modèles la calculent par des modèles de criculation atmosphérique. Le fait que la valeur calculée par les modèles augmente alors que celle mesurée stagne indique qu’il y a un gros problême dans les modèles.

        Si on prend l’augmentation de la température et de niveau à long terme, il n’y a pas de quoi s’inquiéter et on n’y peut rien. Si on se base sur les modèles pour s’inquiéter, on est obligé de constater qu’ils sont très largement alarmistes aux dernières nouvelles.

        Ca peut bien sur changer, mais en attendant on a plutot moins de certitudes qu’il y a 10 ans. Et déja à cette époque pas mal de chercheurs contestaient la valeur scientifique des rapports du GIEC. Mais à l’époque on parvenait à les museler.

      • @marcel

        Concernant la moyenne du niveau des océans, la Terre n’est pas indéformable. Les continents bougent, les plaques se rencontrent, passent en dessous en soulevant les autres, etc… De plus, sous la croute terrestre, il se passe des choses… Sans parler de la précision des mesures (visualiser n’importe qu’elle partie d’un océan et voyez ce qui se passe en surface, ça bouge hein ?), alors repérer un millimètre de hausse ou de baisse sur l’année… en sachant que la précision des satellites au millimètre, ça n’existe pas. Ils sont à des dizaines de kilomètres de la terre en orbite et constamment attirés par l’attraction de notre planète… Après tout cela, il y a le rapport signal sur bruit des appareils…
        Bref, avoir des certitudes à ce niveau, c’est plus de la foi que de la science.

        • Pour ceux que la complexité du calcul du niveau des océans intéressent :

          http://www.youtube.com/watch?v=q65O3qA0-n4

          Et tout c’est avant l’effet des marées !

        • alors il y a plusieurs types d’arguments :

          1/ ceux qui ne croient pas au mesures faites (chaleur, niveau des océans) : soit mais ne venez pas dire ça se refroidit ou ça stagne puisque vous ne faites confiance a aucune mesure. La seule chose que vous pouvez dire ce que pour vous on n’en sait rien et point barre.
          2/ ceux qui ne croient pas aux modeles (j’en fait quelque part partie) : je ne sais pas si vous vous etes deja mis devant un papier pour ecrire une fonction des temperatures qui prennent en compte toutes les retroactions mais c’est pas loin des travaux d’Hercule… ceux qui pondent des modeles ont deja beaucoup de merite et vu la complexite de la tache pas etonnant qu’il y en ait autant et que l’on puisse trouver autant de differences dans les courbes possibles… alors si vous trouvez les modeles pourraves, au travail, je n’ai d’ailleurs jamais vu un modele des frigidistes… il parait que ce sont des scientifiques pourtant mais pas tres actifs dans ce domaine…
          3/ ce qui disent que depuis 1998 (cherry picking mon amour), la temperature n’a pas augmente (je fais semblant de croire que ce ne sont pas les memes que ceux qui ne croient pas aux mesures) : pourquoi le niveau des oceans monte constamment (j’ai vu des horreurs un peu plus haut la-dessus avec des montees infinies, gloups…)…

          le niveau est quand meme un peu meilleur que precedemment, on n’a pas parle du Groenland luxuriant ou de l’optimum medieval…

          en fait ce qui me fait ticker c’est de voir l’energie de certains a defendre des horreurs intellectuelles…

          • on n’a pas parle du Groenland luxuriant ou de l’optimum medieval…

            pas la peine de passer son temps, on a à faire à un Mann iaque

          • « modele des frigidistes »

            frigidiste ! C’est nouveau ça. Ca vient de sortir.

          • @marcel

            « (j’ai vu des horreurs un peu plus haut la-dessus avec des montees infinies, gloups…) »

            Une courbe asymptotique peut monter indéfiniment dans le temps sans dépasser une certaine valeur. C’est purement théorique et sans grand intérêt, mais c’est souvent le cas d’un changement suite à un phénomène transitoire (tant qu’il n’y a pas de nouvelle perturbation). Vous avez probablement étudié le filtre RC dans votre jeunesse.

      • marcel: « @minitax : d’après vous les moyennes de température au niveau de la terre ne veulent rien dire »
        ————————————————————
        Les moyennes de température de surface veulent dire quelque chose. La température moyenne de surface de la Terre, telle que c’est compilé, « ajusté », torturé par le GISS (qui n’a qu’un poste à temps partiel pour s’en occuper, de l’aveu même de Gavin Schmidt) ou le HadCru (qui est incapable de fournir les séries brutes à cause de Phil Jones, dixit Jones lui-même) par contre, ne veut rien dire, surtout quand personne ne sait si elle est 13, 14 ou 15°C.
        Qu’est ce qu’il y a dans ce que je dis que tu ne comprends pas, petit scarabée ? Et stp, sois gentil, la prochaine fois, quand tu me cites, tu cites ce que J’AI dit, pas ce que tu me fais dire.

  • En essayant de suivre les « références », je suis parti à la recherche de l’information « la température mondiale n’a pas augmenté en 17 ans ». Bon. Premier lien, un article d’Alex Newman (le journaliste). Dans son article, premier lien sur le Met Office (les scientifiques), on tombe sur un graphique d’anomalies de températures, ce qui n’a rien à voir avec la température moyenne annuelle, n’est-ce pas? Ca commence mal pour les références de M. Newman… Alors on parcours un peu le site du Met Office et on tombe sur ces données-ci :
    http://www.metoffice.gov.uk/hadobs/indicators/11keyindicators.html
    Tiens, c’est bizarre, mais ici les courbes de températures (mer, air, sol) montrent toutes une tendance à la hausse. Sacré Alex!

    • Plutot que deconsulter les indicateurs taille timbre poste et sans légende du metoffice, allez visiter :

      http://www.woodfortrees.org/plot/

      L’auteur n’est pas partisan et se contente de fournir un grapheur temps-réel des bases de données. Vous y constaterez ce que vous voulez en modifiant les origines, le filtrage et les sources.

  • « la calotte glacière du Nord polarisé (sic) disparaîtra en entier dans cinq ans »…

    Plutôt que de recopier bêtement la traduction idiote d’une retranscription foireuse (« polarized » cap), cherchez donc comment se traduirait « polar ice cap ». Et cherchez les infos à la source plutôt que de recycler les âneries de Ed Driscoll… Vous y gagneriez en crédibilité.

  • plutôt que de polémiquer ,inutilement d’ailleurs,avec les habituelles enclumes, je vous suggère de lire le très bon article de Hacene, qui avec son habituelle implacable logique, résume bien la situation l’actuelle de la clique de la poele à frire

    Egalement, tant qu’on y est le dernier billet de Duran sur pensée unique

  • Al GORE s’est peut etre trompé mais une chose est sûre,et je rejoins les climatologues les témpératures extrèmement basses ou elevées comme aux ETATS UNIS ces derniers jours et ou en Australie sont bel et bien la preuve du RECHAUFFFEMENT CLIMATIQUE AVERE.De plus en france on a une douceur anormale pour janvier et il n,e fait que pleuvoir!cherchez lerreur!cest tout simplement lié au réchauffement climatique et les anomalies douces,froides ou humides vont s’amplifier..a bon entendeur!

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