La marche de la liberté

La liberté n’est pas qu’un idéal, elle est aussi un combat. En avant !

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La marche de la liberté

Les points de vue exprimés dans les articles d’opinion sont strictement ceux de l'auteur et ne reflètent pas forcément ceux de la rédaction.
Publié le 7 novembre 2013
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Par Baptiste Créteur.

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Rappelons-nous l’enthousiasme pour la voiture électrique, inversement proportionnel aux particules qu’elle génère : Montebourg y voyait l’avenir de la France, Ségolène Royal en faisait un pilier du redressement d’Heuliez, les mairies y voient l’avenir du déplacement urbain. Sans surprise, ça foire : les ventes sont loin des chiffres ambitieux de nos champions nationaux, Heuliez calanche, et les seuls profits réalisés le sont grâce à l’argent du contribuable.

Mettons en regard l’historique de la nationalisation à travers l’histoire et l’enthousiasme de Montebourg, qui n’en démord pas : la nationalisation était la solution pour Florange. Observons le manque de cohérence des syndicats, incompris des Français, qui sont avec les salariés pour demander plus d’État et contre les salariés qui demandent moins d’État. Remarquons le mépris et la haine de Mélenchon quand les citoyens osent lutter pour la survie de leur industrie sans faire appel aux habituels fournisseurs officiels de slogans.

Notons que des députés demandent que la puissance publique s’abatte sur les manifestants, que d’autres tentent de rejoindre un mouvement de protestation contre des lois qu’ils ont votées. Voyons les tous dénoncer ceux qui échappent autant que faire se peut à l’impôt, alors qu’eux-mêmes sont face à l’impôt des privilégiés. Écoutons les insulter ceux qui créent plus d’emplois, produisent plus de richesse, paient plus d’impôts qu’ils ne le pourront jamais.

Regardons comment ils dilapident l’argent du contribuable avant de lui en prendre toujours plus, de s’offrir les fruits du travail et le patrimoine des Français en même temps qu’ils s’offrent petits fours et voyages insensés. Entendons leurs promesses trahies de ménager les uns, leurs promesses honorées de favoriser les autres.

Suivons d’un œil attentif la machine médiatique, qui réagit au quart de tour à la couteuse libération d’une poignée d’otages, couvre par le menu l’expulsion parfaitement légale d’une enfant gâtée que d’aucuns n’hésiteraient pas à qualifier de petite peste, met sur le même plan des manifestations aux revendications opposées. Apprécions la sélection des sujets, la concentration périodique du vocabulaire, la part toujours croissante de n’importe quoi ; la complaisance à l’égard de certaines populations fondamentalement « défavorisées » et la sévérité avec les « privilégiés » et les « pas à plaindre ».

Et demandons-nous comment nous en sommes arrivés là. Une élite recroquevillée sur elle-même, pourrissant sur son idéologie, crachant son mépris et se nourrissant de ses clichés ; qui veut changer les Français plus que changer la situation, les arracher de leurs racines plutôt que de leur condition, lutter contre le travail et la richesse plus que contre la crise ; pour ses privilèges plus que pour leur liberté. Cette élite, nous la laissons faire, nous la nourrissons, nous lui donnons notre blanc-seing, nous l’acclamons parfois. Et aujourd’hui, si cette élite n’a pas peur, elle devrait.

La frange de la population dont le point de saturation est atteint est encore marginale, mais elle grandit. En dehors de quelques catégories trop favorisées par le système actuel pour vouloir le voir changer, tous ont intérêt à être plus libres et commencent à le sentir : les Français s’appauvrissent, et les efforts supplémentaires qu’on leur demande passent de moins en moins bien malgré tous les efforts de pédagogie déployés.

Des efforts de pédagogie qui ont remplacé le débat ; un sujet pas accepté est forcément mal compris puisqu’il n’y a qu’une vérité dont l’avant-garde nous éclaire. Ces efforts de pédagogie, à nous tous de les déployer.

Nous ne pourrons pas conquérir ceux qui vivent du système ; par intérêt, par amour de leur pouvoir plutôt que de notre liberté, ils seront contre nous. Mais nous pourrons convaincre tous les autres, propager un message de bon sens. Le dirigisme ne marche pas, et ça se voit ; pour une fois, essayons la liberté.

Charge à nous de diffuser nos idées. Manifester de façon visible compte ; l’action invisible aussi. Partager un article ne coûte rien, échanger avec ses amis est un plaisir. Nul besoin de faire un don ; diffusez vos livres préférés, les articles que vous aimez, menez la bataille intellectuelle, gagnez le terrain des idées.

Les collectivistes l’ont compris et appliqué depuis des décennies : l’idéologie détermine les grandes évolutions de la société. Où les messages collectivistes sont-ils les mieux relayés ? Au sein de l’Éducation Nationale, dont les seuls leçons sur l’entreprise sont tirées d’Alternatives Économiques ; dans les médias, dont les subventions assurent l’allégeance ; dans le milieu culturel, bénéficiant d’à peu près autant de subventions que de niches et où l’administration dispose d’un pouvoir presque illimité sur le choix des artistes, messages, collections, expositions. Mais ils n’ont pas le monopole de l’influence.

Même s’il s’immisce dans votre frigo, l’État n’est pas assis à votre table. Même s’il écrit les programmes scolaires, l’État n’attend pas vos enfants avec vous à la sortie de l’école, il n’est pas votre voisin à l’école. Ne faites pas de politique, ne perdez pas de temps à tenter de raisonner avec des idéologues ; ralliez vos amis, vos proches, vos voisins ; ces gens que vous croisez tous les jours partagent sans doute vos préoccupations et partageront peut-être vos idées.

Faites société, reprenez le contrôle. Donnez du poids à vos principes et valeurs en explicitant la liberté. Elle n’est ni de gauche, ni de droite ; ni extrême, ni modérée ; elle ne demande ni maîtres, ni esclaves.

Les Français sentent d’où vient le problème mais croient encore qu’il porte en lui la solution. Ensemble, ils peuvent remettre l’État à sa place, reprendre la leur, grandir et croître à nouveau. Mais pour que la liberté remporte la bataille qui opposera les défenseurs de chacun aux adorateurs du tout, les défenseurs de l’individu minoritaire aux partisans de la société monolithique, qui opposera la liberté au pouvoir, elle doit d’abord se propager, être diffusée, comprise. Alors seulement, elle pourra être aimée, elle pourra être défendue, elle pourra être conquise.

En avant.

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  • Cher Baptiste, autant j’apprécie de lire vos articles, autant je suis en relatif désaccord avec vous quand vous vous montrez aussi optimiste. Je suis réceptif à votre message, et partage vos vues à 100% mais croyez-vous réellement que nous soyons aussi nombreux à vouloir que les choses changent?

    Un article très intéressant, il y a quelques mois et sur ce site, évoquait ce qui de mémoire était appelé le « point de bascule » aux États-Unis de Barack Hussein, à savoir le moment fatidique où la proportion de citoyens qui contribuent et alimentent le système est moindre que celle des gens qui en profitent. Le jeu des élections fera le reste (durer la social-démocratie jusqu’à son effondrement), sauf sursaut.

    En France, ce point est de loin et depuis longtemps dépassé! Comment revenir en arrière, retrouver notre liberté? Presque personne ne le souhaite réellement, et même ceux qui auraient un intérêt a priori à reprendre les commandes de leur vie ne le voient pas forcément de cet œil : des décennies de collectivisme forcené ont eu raison du libre-arbitre de la plupart des français, devenus de simples moutons qui, certes, trouvent parfois la tonte un peu pénible, mais n’envisagent ni de près ni de loin de casser la tondeuse et d’envoyer le bourreau… paitre.

    Je doute fort que quelques milliers de personnes puissent lutter contre le reste du pays et l’Etat pour inverser une tendance si lourde et catastrophique. Je pense aussi, à mon grand et sincère regret, que ce pays ne s’en sortira pas (je périphrase, ne voulant pas avoir de procès au sujet du Copyright).

    Cordialement, Pierre.

  • Nul besoin de faire un don ! C’est une négation avec un lien pour….hummm, ça m’embrouille le cerveau tout ça.

    Je ne sais pas dans quel milieu social vous évolué, mais je peux vous dire qu’autour de moi les gens ne sont pas du tout sensibles à la liberté, la politique (rien à foutre), l’avenir du pays (pfff on verra bien), on ne va pas se prendre la tête pour ça !

    Ou alors, bah, c’est une cata, mais qu’est ce que je peux bien faire moi. Les Français adorent taper sur les hommes politiques, mais ils votent toujours aussi mal depuis 30 ans. En même temps, le poisson est pas très frais….il est même très pourri et sent mauvais.

    C’est du poisson fonctionnaire entièrement élevé en captivité de l’ENA. Exclusivement abreuvé de moet et chandon et de petits fours depuis la tendre enfance. Et vous voulez lutter contre ça ?

    Je vous rappelle juste à titre informatif comment le système marche:
    – Il y a plus de 10% (ou c’est 20%?) de la population active qui est fonctionnaire (payée à vie)
    – Les syndicats sont en quelque sorte les chevaliers, les gardes payés par l’Etat pour protéger ce beau système.
    – Il y a des verrous et protection à tous les niveaux: ça commence en bas dans les communes, et chaque couche a sa petite dose de corruption légale. Le plus gros fermant les yeux sur le plus petit pour ne pas se faire dénoncer. C’est une hiérarchisation de la corruption. Virez Hollande…pff, c’est du vent. Hollande n’est rien d’autre qu’un merde canine sur un trottoir Parisien.

    Mettez bout à bout ce gros serpent merdique et vous n’aurez qu’une envie: celle du trou noir. Propre, écolo, sans bruit, efficace, réutilisable à l’infini. Sans souffrance (enfin personne n’est revenu pour s’en plaindre).

  • Il est intéressant de voir les socialistes qui admiraient le printemps arabe cracher sur les bonnets rouges…
    Les sots. Ils n’ont pas compris qu’ils étaient les suivants…

  •  » en avant fanfan la tulipe ! en avant fanfan en avant  » ( hehe … )

    gérard, si tu nous regarde…

  • Il serait intéressant d’avoir un sondage à la question suivante :

    « Etes-vous dans l’attente de plus de liberté ? »
    ou
    « Avoir plus de liberté fait-il parti de vos priorités ? »

    Pour ma part je pense que les résultats déprimeraient beaucoup de libéraux. Le fait même que ce sondage ne soit pas venu à l’esprit des sondeurs en dit très long.

    Personnellement, à ces questions, je répondrais non tout simplement parce que ces libertés attendues par les libéraux sont celles de personne ayant des moyens que beaucoup n’ont pas.

    • « Personnellement, à ces questions, je répondrais non tout simplement parce que ces libertés attendues par les libéraux sont celles de personne ayant des moyens que beaucoup n’ont pas. »

      D’après vous , la faute à qui? que beaucoup de personnes n’aient plus les moyens de s’engager sur le chemin de la liberté? Il faut effectivement des moyens ( être propriétaire de quelques petites chose indispensables à la vie en société ) pour se libérer, mais savez-vous qui les leur a pris? Ne serait-ce pas l’Etat providence himself?

      • Bonjour CJL71,

        « Ne serait-ce pas l’Etat providence himself? » Oui, tout à fait et conformément à la volonté générale, à travers nos reprensentants politiques comme disait Rousseau et les processus démocratiques. Donc rien d’illégitime.

        Plus concrètement, je vais reprendre mon exemple habituel : J’aime particulièrement me promener sur le « chemin des douaniers » qui longe les côtes française. Dans un monde libéral je ne pourrais pas le faire parce que des propriétaires privés se serait approprié ce passage. Autrement dit, la liberté du propriétaire me priverait de ma liberté de citoyen d’un pays avec un état providence. Et comme nous sommes très nombreux à profiter de ce chemin, c’est pas demain q’une majorité va croire dans votre liberté 😉

        • Et désolé pour le fautes

          • Ce que vous dites est totalement faux. Vous oubliez que la société la plus libérale qui soit était le XIXè siècle, le siècle où il y eu le plus de création de richesse et de création d’oeuvres. Mettez du socialisme là-dessus, la création, la créativité, l’investissement diminue toujours, donc l’emploi par extension. De plus il n’y a jamais eu autant d’atteintes aux droits publics que sou les mandatures socialistes. Corruption des élus pour avoir des passe droits sur les côtes et des plages privées ! Un bel exemple est dans la clique showbusiness de gauche bobo parisienne sise en Corse de l’ancien publicitaire de Mitterrand. Le libéral n’est pas contre l’Etat, il est contre le Léviathan. Le socialiste est contre l’Etat libéral et est pour la nomenklatura et ses nombreux passe-droit. Absence d’ordre et socialisme en Corse, conséquence, la mafia a pris le pouvoir, les libertés publiques diminuent. Le socialisme se nourrit (électoralement comme en passes-droit privés) de la pauvreté. Le socialisme est un système de privilège qui n’a rien à voir avec le libéralisme et la liberté. C’est tout son contraire. Quand vous aurez enlevé de votre tête votre programmation lobotomisée que vous ont inculqué les barbus pendant votre scolarité, vous verrez que les sociétés les plus égalitaires sont aussi les plus libérales, car le mérite personnel passe avent toute chose. Celui qui travaille s’élève. Sous le socialisme, c’est le régime des copains et des coquins qui est dominant, la corruption élevée à son plus haut niveau. La droite a été au pouvoir pendant 80% du temps en France, c’est sous ce régime libéral que se sont constitués justement ces chemins des douaniers. Le marxisme-léninisme, le socialisme et le communisme n’y sont strictement pour rien. Le libéralisme n’a jamais été contre l’Etat. Il est pour l’Etat à sa juste place, dans ses fonctions régaliennes (dont les chemins des douaniers) et basta ! Cessez de dire des mensonges qui n’ont aucune réalité, ni historique, ni politique. Sur la Côte d’Azur et à l’Ile de Ré, j’a vu de nombreuses entorses à la loi littoral. Comme par hasard, elles sont souvent le fait de gens de gauche ou sympathisants qui tiennent à leurs privilèges, étant toujours des gens plus ou moins liés à l’Etat socialiste et sa nomenklatura. En Angleterre, pays fondamentalement libéral s’il en est, il y a des chemins de douaniers partout. En Australie et Nouvelle-Zélande de même. Le libéralisme n’a jamais été contre l’Etat. Il est pour l’Etat garant des droits et des devoirs de chacun. Pas des devoirs de tous contre les droits d’une minorité seul au pouvoir et qui se goberge de la richesse du peuple en lui laissant les miettes de sa fausse générosité.

    • Citoyen : « Il serait intéressant d’avoir un sondage à la question suivante :

      « Etes-vous dans l’attente de plus de liberté ? »
      ou
      « Avoir plus de liberté fait-il parti de vos priorités ? » »

      Posée de façon aussi vague, la question n’aurait pas beaucoup de sens (cela dit, je ne suis pas du tout convaincu que les Français ne répondraient pas massivement dans le sens de plus de liberté…).
      Plus intéressant est de demander aux Français de se positionner par rapport à davantage de liberté dans des domaines très précis. Par exemple, souhaiteraient-ils davantage de liberté en matière de sécurité sociale ou en matière de retraite ?

      Eh bien, un tel sondage Contrepoints l’a commandé à l’institut de sondage Opinéa. Et les résultats ne vont pas du tout dans le sens que vous croyez. Sur un sujet aussi sensible que les protections sociales, les Français veulent davantage de liberté :
      Exclusif : les Français majoritairement favorables à la retraite et à la sécu libres

      Question déprime, ça va pour les libéraux, merci. En revanche, les sociaux-démocrates qui rabâchent que les Français sont attachés à leur « modèle social » « que le monde entier nous envie » feraient bien de remballer leurs certitudes…

      Comme vous dîtes, le fait même que de tels sondages ne soient jamais réalisés en dit très long…

      • « Par exemple, souhaiteraient-ils davantage de liberté en matière de sécurité sociale ou en matière de retraite ? »

        Ces libertés peurraient tout autant être proposées par un parti conservateur et ne sont pas l’apanage des libéraux.

        Excusez-moi, mais j’abordais la question de façon beaucoup plus ambitieuse, plus globale et au-delà de l’article.

        • « Ces libertés peurraient tout autant être proposées par un parti conservateur et ne sont pas l’apanage des libéraux. »

          Si, il s’agit bien d’une idée libérale.
          Et peu importe le parti qui la proposera, ce n’est pas la question. Belle diversion de votre part. Quand on est dans le déni et qu’on veut se persuader que les Français ne souhaitent pas la liberté…

          Quant au fait d’envisager la question de façon très globale, il serait pour le moins étonnant que les Français rejettent dans un sondage la notion de liberté, qui est tellement chargée positivement. Je n’y crois pas une minute.

          • M. Marfaux, le mot Liberté est un terme valise, qui ne rend pas dupe les français.

            Si la liberté devient celle des plus forts au dépend des plus faibles, les français choisissent la protection de celles qu’ils ont déjà et qu’ils souhaient garder, je vous renvoi donc à mon exemple plus haut.

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