Contre les keynésiens du climat et réchauffistes de la dépense

Les pseudo-sciences keynésienne et réchauffiste servent habilement la cause du collectivisme. La résignation n’est pas la seule option…

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Contre les keynésiens du climat et réchauffistes de la dépense

Publié le 28 septembre 2013
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Les économistes du FMI et les climatologues du GIEC se veulent scientifiques, mathématiques, rationnels. Ils élaborent des modèles complexes et en dérivent des prévisions, donnent des recommandations aux gouvernements sur les moyens d’éviter la catastrophe – économique pour les uns, climatique pour les autres.

L’ennui, c’est que, quand leurs prévisions sont erronées, ils n’acceptent pas de remettre en questions leurs modèles, de s’interroger sur la pertinence de leur dogme. Un chiffre à corriger par-ci, un paramètre additionnel à prendre en compte par-là, et après quelques tours de manivelle le modèle repart cahin-caha.

Le changement climatique tous azimuts

Les températures n’augmentent plus depuis 17 ans alors que la hausse devait s’intensifier ? Ah mais pardon, on avait tout simplement oublié les océans.

La banquise s’étend alors qu’on pensait que les ours polaires finiraient tous noyés ? Oui mais le vent souffle plus fort, et crée un mur qui encercle les pôles et les protège du réchauffement.

Mais avec des océans plus chauds, la banquise s’étend quand même ? … Oui, le mur de vent froid sous-marin, voilà.

L’austérité, seulement pour le contribuable

L’austérité a été annoncée par les gouvernements et tout le monde croit qu’elle a eu lieu, mais l’économie ne repart pas ? Pardon, le multiplicateur était plus élevé que prévu.

La confiance ne revient pas, la croissance ne revient pas, alors qu’on injecte des liquidités à gogo dans le système bancaire ? Oui mais le vent polaire, pardon les actifs pourris encore dans le système, tout ça… Et puis, le signe « + » qu’on avait mis, c’était un « – » en réalité.

Et puis si on tient compte de la fameuse constante de Strauss-Kahn et des courbes de Blanchard, on arrive bien au bon résultat.

Un raisonnement pseudo-scientifique et orienté

Le raisonnement est pseudo-scientifique parce qu’il est invérifiable. La réalité ne colle pas avec les prévisions, mais au lieu de remettre le modèle en cause, on l’ajuste a posteriori, en considérant que la méthode, les principes demeurent vrais, quoi qu’il advienne. Et les recommandations sont, avec ou sans surprise, les mêmes ; quoi qu’on fasse, il faut que l’État évite la catastrophe qui s’annonce.

Changement climatique d’un côté, crise majeure de l’autre ; les pseudo-scientifiques keynésiens et réchauffistes (©h16, qui offre des tas d’autres bons mots dans l’excellent Petit dictionnaire politiquement incorrect mais vaillamment illustré) soutiennent systématiquement l’action de l’État. Malgré la croissance incessante de la taille et du poids des États, les problèmes semblent empirer ; il faut donc, selon une implacable logique, plus d’État.

Les États vont d’ailleurs maintenir leur action, même à l’encontre des fais : lutter contre le changement climatique, même s’il n’est pas d’origine anthropique, c’est le bien. De la même façon, l’intervention de l’État pour empêcher la crise économique est une bonne chose en soi, que cela fonctionne ou pas : il fallait mettre en place l’austérité ; on ne l’a pas fait, du moins côté État, mais ça n’a pas marché ; donc, arrêtons les frais jamais engagés.

Pourquoi tant de haine de la vérité ?

Les pseudo-scientifiques ont d’ailleurs d’assez belles carrières devant eux. Leurs discours dirigistes leur offrent une place de choix sur la liste des auteurs recommandables de rapports, étrangement similaire à la liste des commissions théodule, associations subventionnées et think-tank qui ne trompent personne sur l’origine et les buts de leur action.

Leur situation est étrangement proche de celle des journalistes, qui doivent la survie de leurs journaux médiocres et la qualité de vie qu’offrent leurs niches fiscales à leur capacité à jouer avec les faits et offrir des analyses toujours plus dirigistes, favorables au pouvoir et opposées à la liberté.

D’innombrables fleurs écrasées sur le bord de la route de la servitude

Malheureusement pour le citoyen, qui finance tout ce beau monde, les avis divergents ont du mal à se faire entendre et font rarement passer leurs auteurs pour au mieux des idiots, au pire des mercenaires de la pensée à la solde de lobbies puissants.

Le capitalisme de connivence est partout ; les hommes de pouvoir ont aujourd’hui tout loisir de se servir et servir leurs amis. Ils constituent une élite parasite qui s’embarrasse peu de savoir si sa fortune vient d’une réussite économique ou électorale, de la poche d’un client ou d’un contribuable ; les deux ne font qu’un et composent le bas de la pyramide. Mieux, ils votent pour eux, leur offrant avec toujours plus de ferveur la sanction démocratique nécessaire à leurs agissements.

Tous ensemble, politiques, pseudo-scientifiques dirigistes et relais médiatiques de la pensée tantôt unique, tantôt inexistante constituent une indéboulonnable élite, mais parviennent à faire passer la liberté pour ennemie du bonheur et le libéralisme comme une vulgaire idéologie pro-riches, où les puissants dominent les faibles.

Mais dans le libéralisme, il n’est ni puissants ni faibles. Il y a, sans doute, riches et pauvres ; mais les riches doivent leur succès à leur travail, leur effort et leur intelligence qu’ils mettent au service des autres dans ce magnifique ensemble que constitue le marché ; et les pauvres peuvent de la même façon s’épanouir et connaître le succès en déployant les leurs.

Dans un système collectiviste et dirigiste, en revanche, l’individu ne peut pas choisir sa place ; on la choisir pour lui. Il ne peut devenir ni trop riche, ni trop pauvre ; travailler ni trop, ni trop peu ; et obéira toute sa vie à des lois décidées par d’autres et financera leurs projets.

Les siens seront oubliés. Son projet d’entreprise ne verra pas le jour faute de moyens, et on financera la conquête spatiale pour impressionner les voisins. La construction de sa maison sera reportée, mais on construira une Silicon Valley à la française. Ses vacances seront écourtées, mais les conseillers régionaux iront développer la coopération au Chili.

Et un jour, parfois, on le prendra pour fou ; alors qu’il lui reste de l’herbe, le mouton se révolte, et dans un accès de rage commet l’irréparable. Il s’en prend à lui-même, à ceux qui le maintiennent sous un joug trop pesant ; lève la tête, et décide de reprendre ce dont jamais il n’aurait dû être privé : sa liberté.

Pour qui aspire à plus de liberté, trois choix sont possibles : le renoncement, l’exil, ou la lutte. L’homme libre ne peut que mourir, physiquement ou intellectuellement, dans un système collectiviste. Mais la social-démocratie est allée trop loin, elle arrive à bout de souffle ; les dettes souveraines, devenues souveraines dettes, pèsent trop lourd. Sur ses ruines pourra se construire un nouveau système.

La révolte s’organise, le ras-le-bol est perceptible ; rejoignez les défenseurs de la liberté, diffusez leurs idées, financez leur propagation ; cessez d’offrir au Léviathan votre énergie sans résister.

Le nivellement par le haut, c’est le nivellement par vous. Le meilleur en vous : vous, libres.

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  • Vu hier le 20h de France2 (par hasard) la partie sur le dernier rapport du GIEC était un monument de propagande qui n’a rien à envier à « Der Ewige Jude » film allemand sorti en 1940.

    Carte de la France rongée par la mer, images de cataclysme, déserts, tornades, destructions. Amalgames, raccourcis, mensonges éhontés.

    Hallucinant !!!!!

  • Ne pas agir nous coûtera plus cher; avez-vous consulté le rapport Stern?

  • « Les États vont d’ailleurs maintenir leur action, même à l’encontre des fais »

    Avec un petit « t » à faits.

  • Le GIEC/IPCC doit publier son rapport complet en 2014 :

    Pour le moment on n’a qu’un communiqué de presse avec des annonces à sensation sans les preuves qui les justifient.

    J’attendrai donc la publication de l’ensemble du rapport AR5 qui permettra de juger du bien-fondé des dires d’aujourd’hui.
    On ne peut que s’étonner de la publication de conclusions dramatiques par communiqués de presse avant d’en fournir les preuves. Ce procédé n’est pas sans rappeller « l’affaire Séralini » (septembre 2012) qui avait permis à nombre de politiques et de journalistes peu curieux et peu critiques de se munir de chaudes « couvertures » pour l’hiver suivant…

    Des indiscrétions concernant les mesures diverses (je dis bien « mesures » et non estimations pour l’avenir) utilisées par le GIEC ont déjà été publiées sur plusieurs sites web, qui posent quelques questions :
    — comment le GIEC explique-t-il l’arrêt du réchauffement général depuis 1998 que ses simulations n’ont pas prévu ?
    — comment le GIEC peut-il déclarer que le taux de CO2 gouverne la température moyenne de notre lieu de vie alors que les changements de taux de CO2 suivent avec un décalage de temps important ceux de la température, comme prouvé par les carottes glaciaires et les mesures modernes ?
    — comment ne pas se poser la question de la pertinence des simulations de l’évolution du climat quand on nous annonce des variations aussi peu précises que 0,3 à 4,8 °C et 26 à 82 cm, avec en plus deux chiffres significatifs ce qui ne manque pas d’aplomb ?
    — Un graphique montre les prévisions de variation de température calculées par cent quarante (140) modèles . Le nombre même de modèles utilisés montre que visiblement il nous manque encore beaucoup de connaissances pour faire des prévisions climatiques à long terme.
    — En admettant que certains gaz à effet de serre gouvernent la température, la vapeur d’eau est celui qui a le plus d’effet : comment le GIEC mesure-t-il la quantité de vapeur d’eau et ses variations dans notre atmosphère ?
    — La couverture nuageuse et ses variations sont un élément important en ce qui concerne la température. Comment le GIEC la mesure-t-il, tient-il compte des ses variations ?

    Avant de prendre au sérieux les annonces catastrophiques du GIEC/IPCC j’attendrai donc que des réponses convaincantes à ces questions et je conseille aux journalistes de mieux se documenter.

    YB24, citoyen ordinaire et indépendant d’esprit

    • A propos des carottes glaciaires, tous ceux qui les utilisent nous mènent en bateau.
      A 3205 m au-dessous du sommet du Groenland, cela daterait de 3,5 millions d’années ?
      Revenons maintenant à du concret que les journalistes pourraient vérifier s’ils en avaient envie :
      Un avion chasseur américain P-38 est tombé sur le Groenland le 15 juillet 1942. Il fut localisé à 75 m de profondeur en 1988. Il fut remonté en mai 1992. L’avion a donc été recouvert de 75 m de glace en moins de 50 ans (Creation ex nihilo – june-August 1997)
      Ainsi donc de 1942 à 1988 soit en 46 ans, un objet s’est enfoncé de 75 m.
      En faisant la règle de trois,
      1) 75 m font 46 ans
      2) 1 m font 46/75 = 0,61333 ans
      3) 3205 m font 46/75*3205 = 1965,7 ans
      Evidemment les journalistes vont préférer 3,5 millions d’années à 1965 ans car croire les paléontologues est moins fatiguant que de vérifier leurs affirmations.
      Et voilà pourquoi, Monsieur, votre fille est muette !
      http://p38assn.org/glacier-girl-recovery.htm

      • Daniel PIGNARD: « Et voilà pourquoi, Monsieur, votre fille est muette ! »

        Elle doit être muette de stupéfaction plutôt. Un coup de pseudo science, « une règle de trois » la dessus et hop, la Terre est creuse.

        Tu méconnais le tassement des glaces profonde, le poids et l’effet thermique de l’avion qui le font « couler » bien plus rapidement enfin bref…Le créationnisme est toujours aussi ridicule.

        • Je ne pense pas que Daniel ait tort dans sa démonstration, la température de l’avion c’est peanuts pour un glacier. Prenons l’exemple du gugusse à 37° qui plonge dans une crevasse. Il va faire fondre rapidement une mince couche de glace tout autour de lui qui va se reformer très rapidement pour l’envelopper d’une gangue, et il est foutu. D’ailleurs à 34° on est, je crois, foutu. Si un guide de haute montagne nous lit, il pourrait nous expliquer. De toute façon il ne s’enfonce pas et quelques années plus tard on le retrouvera sur le parking de la vallée blanche où il pourra enfin retrouver sa Dauphine Gordini.

          • Ahhh, la Dauphine du « sorcier », suivie peu après par la fameuse R8 !

          • Homo-Orcus: « la température de l’avion c’est peanuts pour un glacier. »

            Pas l’albedo surtout dans les premiers mètre et ce qui joue surtout après c’est la nature et la densité du matériaux qui le fait couler plus ou moins dans la glace. Tout ça se calcule et la glaciologie est une vraie science alors les « règles de trois » d’un créationniste… bof.

        • Méconnaissance du tassement des glaces profondes : Exact mais celle-ci est de l’ordre du facteur 2 à 3 au plus profond. La règle de trois étant là pour démontrer la supercherie des 800 000 ans que j’ai lu un jours à 3250 m dans l’Antarctique.
          Les effets qui feraient couler l’avion sont au contraire dans l’autre sens. Les patrouilles de gendarmerie disent au contraire que les objets remontent au-dessus lorsqu’ils sont remplis d’air (preuve récente avec les bijous hindous dans une boîte métallique) et pourquoi remontent-ils ? Parce que la poussée d’Archimède agit dans la glace même très visqueuse avec la même force (à la densité près) mais avec un frottement énorme à cause de cette viscosité. La carlingue étant étanche à la glace à donc tendance à flotter au-dessus. Les constatations d’enfoncements de l’avion sur roues se font tant que la carlingue n’est pas submergée où là seulement commence à être prépondérante la poussée d’Archimède. L’enfoncement étant due à la neige qui s’amoncelle annuellement.
          Pour ceux qui veulent prendre connaissance de la bagarre à ce sujet rendez-vous sur ce lien ou je développe un peu plus mes affirmations dans le commentaire à mon nom.
          http://www.lefigaro.fr/environnement/2013/08/29/01029-20130829ARTFIG00481-un-vieux-canyon-sous-la-calotte-glaciaire-du-groenland.php
          Donc l’évolutionnisme est toujours aussi critique de la réalité des faits qui le contredisent.

          • Daniel PIGNARD: « La carlingue étant étanche à la glace à donc tendance à flotter au-dessus. »

            Super étanche c’est sur. En particulier le P38 est entièrement pressurisé y compris la queue, les ailes, le cockpit et la verrière en acier qui résistent aux glaces.

        • Pour revenir au tassement, il s’agit d’un tassement perceptible non à cause de la densité qui augmenterait outrageusement sous la pression comme certains le croient, mais à cause de l’expulsion de la glace qui migre vers les bords provoquant le vêlage des iceberg sur ces continents gelés.

        • Tiens un évolutionniste serait fort en calcul ? Et bien quelle est donc l’âge de cette calotte ? Je veux parler de l’âge de la glace au plus profond bien sûr,
          Et pendant que vous êtes dans vos calculs, vous le spécialiste de la glaciologie, dites-nous quel âge a la glace à 75 m de profondeur sur le Groenland d’après vos calculs effectués avant la connaissance de cet avion ?

          • Daniel PIGNARD: « Et bien quelle est donc l’âge de cette calotte ? Je veux parler de l’âge de la glace au plus profond bien sûr, »

            Selon le livre du Grand Nounours Vert Cosmique, Tavu map’outre le grand vizir nie l’existence de la calotte polaire. Problème réglé.

            Mettez vous déjà d’accord entre les quelques 6000 croyances et religions diverses qui démontrent que les hommes ont surtout une imagination sans limite dans ce domaine et on reparle de vos « déductions » qui tentent de faire rentrer à grand coup de masse la réalité dans un mythe ancien.

            Sans rire, je respecte les religions mais tenez vous en au spirituel, coté scientifique vous êtes juste ridicule.

  • Grâce à ce rapport l’idiot utile gobe-mouches, désœuvré, diseur de riens, affolé de niaiseries, chercheur de problèmes ridicules, naïf et arrogant, de plus vaniteux comme quatre va pouvoir se veautrer en toute sérénité dans l’idéologie.

  • Pour réaliser à quel point tous ces prévisionnistes nous enfument avec leurs falacieux calculs, il faut lire ce qu’en dit Taleb dans le Cygne noir et Antifragile: ils se fondent sur des modèles (courbes de Gauss) erronés de mesure des risques et ne savent pas choisir ou évaluer les variables d’incertitude.
    Et bien sûr ne confrontent jamais a posteriori leurs prévisions à la réalité, comme vous le soulignez! C’est pourtant le coeur même de toute validation scientifique…

  • « les problèmes semblent empirer ; il faut donc, selon une implacable logique, plus d’État »: c’est comme nous l’expliquaient les communistes (et continuent à le faire les socialauds) pour le collectivisme: il n’a jamais été rigoureusement appliqué, donc il faut recommencer, mais en faisant mieux (c’est à dire pire).

  • « la social-démocratie est allée trop loin »: elle ne mérite plus, depuis longtemps le nom de démocratie, c’est de social-clientélisme qu’il faut parler, comme nous le montre l’exemple de la Corrèze « cajolée » par l’État de Normalito (http://www.lepoint.fr/politique/quand-l-etat-cajole-la-correze-28-09-2013-1736164_20.php).

  • Le lien pour le « guide de résistance active contre l’État obèse » ne fonctionne pas!!!

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