Un type de personnalité : la tendance à se victimiser
Les personnes souffrant d'une "tendance à la victimisation interpersonnelle" se présentent comme faibles, offensées et vindicatives.
Les personnes souffrant d'une "tendance à la victimisation interpersonnelle" se présentent comme faibles, offensées et vindicatives.
Le libre arbitre, on naît peut-être avec mais si on ne l’exerce pas, on est incapable de s’en servir. Or, on observe des pratiques de plus en plus courantes encouragent la « sensiblerie » et la dépendance morale.
Se poser en sauveur est toujours valorisant. Le socialisme s'est fait une spécialité d'adopter cette posture du sauveur, avec ou sans l'accord des victimes.
La victimisation se substitue à la connaissance : se poser en victime évite d’étudier la complexité de l’Histoire.
Le langage codé de la victimisation permet à des catégories surprotégées de s’exempter de toute remise en cause.
Une lecture anthropologique du phénomène de victimisation par les foules
Sans une conception morale objective du droit, on continuera à traiter le criminel comme une victime