Privatiser la vaccination pour ne pas être privés de vaccins
Emprise technocratique et défaut d’innovation, la France cumule les handicaps.
Emprise technocratique et défaut d’innovation, la France cumule les handicaps.
Après les cocktails et les triples doses, voici les dosettes enfants, cibles parfaites de la hontectomie de nos politiciens.
À force, les naïfs qui croient encore aux fadaises gouvernementales se rapprochent des complices qui participent, voire des collabos.
La traduction la plus limpide des propos de monsieur Breton est loin d’être une apologie de la liberté, elle se résume en ces quelques mots : "Grâce à ce carnet vaccinal vous êtes libre de décider d’être prisonnier !"
Le chef de l’État nous a comparés à un diesel qui démarre lentement et va loin, en regrettant que la France et l’Europe aient manqué d’ambition et de folie sur le sujet des vaccins !
Introduire l'État dans le domaine de la santé a toujours été une hérésie qui ne conduit qu'à des pénuries, des gabegies, un effondrement de la qualité des services prodigués et une évaporation de la liberté.
Il faut promouvoir toutes les initiatives qui peuvent nous rapprocher progressivement d'un libre marché du vaccin.
Les vaccins n’ont pas besoin d’être des biens publics pour être fabriqués ou distribués efficacement, le cas échéant par d’autres entreprises travaillant sous licence.
Une petite fable sur la société en période de crise sanitaire.
Appliqué sans discernement, comme c'est le cas avec le vaccin Astrazeneca, le principe de précaution ne protège pas, il tue !
Qu'apporte l'étude israélienne d'évaluation du vaccin anti-covid ? Comment cette étude a-t-elle été menée ?
La lutte pour la préservation de ce qui reste de liberté en Occident doit continuer. Nous devons rejeter les tendances liberticides de l’État, notamment avec le pass sanitaire.
Le gouvernement remet sur la table sa proposition de passeport vert en tentant la voie européenne. Une initiative qui devrait nous inciter à la plus grande méfiance, en particulier lorsqu’on se souvient de la créativité gouvernementale de cette année.
Il n’est pas éthique d’imposer un risque vaccinal certain, même faible, à des personnes pour qui le risque vital lié à la maladie est nul.
Il n’y a plus d’analyse de résolutions de problèmes dans nos institutions. L’émotionnel, le ressenti font la loi. Il en va de même pour la gestion de la crise covid.
Dans le climat hystérique d’aujourd’hui, le débat est escamoté. C’est à l’évidence un scandale de plus dans la longue série de couacs qui a émaillé depuis le début l’histoire de la Covid-19 dans notre pays.
Trop persuadée de la puissance de sa masse de commandes, l’Europe a forcé les prix du vaccin vers le bas sans réaliser que la sécurité d’approvisionnement devait, elle aussi, être rémunérée, et justifiait un prix plus élevé.
Cette pandémie aura été une révélation : le début de campagne de vaccination certifie la faiblesse d’un État dont l’obésité bureaucratique est inversement proportionnelle à sa capacité d’agilité et d’organisation.
Qu'il fallait être naïf pour croire que l’État, après la pénurie de tests, de masques, de gel hydroalcoolique, de lits de réanimation puisse générer l’abondance vaccinale !
Un « passeport » permettant aux Français ayant eu recours à la vaccination de se déplacer à nouveau librement, serait un moyen détourné de rendre obligatoire un vaccin qui nous a été présenté comme optionnel.