Trois exemples pour comprendre comment de mauvais choix politiques peuvent avoir un impact criminel sur les populations.

En Afrique du Sud, depuis un an, l’épineuse question de redistribution des terres revient sur le devant de la scène en cette période électorale.

Il existe trois obstacles à une rupture décisive avec le système politique corrompu qui sévit dans le pays : l'Union nationale africaine du Zimbabwe-Front Patriotique au pouvoir, son président et son principal soutien, l’armée.

Le Congrès national africain (ANC) vient de modifier la Constitution, permettant à l’État de saisir des terres sans indemnisation. Comme au Zimbabwe.

Cyril Ramaphosa a été élu avec la ferme volonté de tourner une page et de faire définitivement oublier les très sombres années, entachées de corruption, de népotisme et de division du parti sous le règne de son prédécesseur.

Inimaginable encore il y a deux mois, Mugabe a été contraint à la démission. Qui a eu raison de la longévité au pouvoir du vieux président ?

Le départ de Mugabé de la présidence du Zimbabwe révèle une incohérence des politiques de divers pays africains.

On peut se réjouir de voir Mugabe destitué. Mais celui qui risque de le remplacer pourrait bien être pire encore.

Le mythe du sous-développement causé par le colonialisme a la vie dure : et pourtant tout concourt à prouver le contraire au Zimbabwe en particulier.

Qui sont les dirigeants corrompus les plus dommageables au développement de l'Afrique ?

Au lieu de se lancer dans la promotion des idéologies inutiles, l’Union Africaine devrait promouvoir la liberté économique, ce qui sortirait les Africains de la pauvreté et de la servitude de l’État.

Quelque chose ne tourne pas rond dans le système des Nations Unies.