Danger, ne laissez pas l’Histoire à la portée des enfants
Plutôt que se laisser submerger par l’émotion morale jusqu’au nihilisme, il nous faut renouer avec notre histoire en reconnaissant sa part d’ombre.
Plutôt que se laisser submerger par l’émotion morale jusqu’au nihilisme, il nous faut renouer avec notre histoire en reconnaissant sa part d’ombre.
À l’heure des remises en cause (très souvent largement excessives et démesurées), il est bon de s’interroger sur ce qui fonde nos valeurs essentielles et sur ce qui peut encore relever de l’universel.
Rencontre étonnante avec Travis Corcoran, romancier américain libertarien.
Un entretien avec Pierre-François Souyri, historien spécialiste du Japon et auteur de "Moderne sans être occidental, aux origines du Japon d'aujourd'hui." paru aux éditions Gallimard en 2016.
Le dernier essai de Philippe D'Iribarne traite du rapport complexe entre les Chrétiens et la Modernité.
"Malaise dans la démocratie" de Jean-Pierre Le Goff offre une critique pertinente mais peu de solutions pour aujourd'hui.
Le dernier livre de Dominique Iogna-Prat offre une vision nuancée de la transformation du pouvoir à la fin du Moyen âge.
Le monde d’aujourd’hui : plus riche, plus sain, plus sûr.
Un ouvrage sur deux figures emblématiques de la liberté : Antigone et Sophie Scholl.
Pour comprendre le rôle des marchés, la gauche doit abandonner sa nostalgie de la tribu.
Les différents attentats perpétrés en France et au Danemark nous rappellent la persistance de l'obscurantisme. Que peut-on lui opposer ?
C'est à un terrorisme mental qu'on a affaire, tout autant du côté des pays arabes musulmans que du côté occidental.
Quelle actualité pour Benjamin Constant ? La liberté, comme toujours !
La dynamique du Pouvoir détruit tout sur son passage depuis l'origine...
Playtime, le fameux film de Jacques Tati de 1967 revient en salles en ce mois d'août, en version restaurée numérisée et très haute définition.
Mise en évidence de ce que les libéraux ne voient pas du pouvoir et conséquences importantes que peut avoir le mépris de cette face invisible du pouvoir.
Les libéraux l’affirment à tout va : le libéralisme n’est pas idéologique. Mais que penser de cette tendance à rechercher dans toute chose les caractères propres du libéralisme ?
Les champs de l'économique et du social sont fortement connectés au pouvoir, l'Homme étant considéré comme objet.
Avant Tocqueville, et sous un angle différent, Benjamin Constant s’intéresse aux rapports entre liberté et institutions démocratiques. Un texte de référence, court, mais une précieuse base de réflexion, qui a servi d’inspiration à de nombreux penseurs.
Dans le cadre d'un programme politique de type tabula rasa, on cherche à assimiler le passé au mal absolu pour mieux enseigner aux masses l'adoration d'une modernité libératrice.