Robinhood, vraiment un Robin des bois ?
Robinhood veut bien être Robin des Bois tant qu’il gagne de l’argent, mais quand cela risque de le mettre en péril, l’histoire est tout autre. Retour sur l'affaire Gamestop qui a agité les marchés financiers.
Robinhood veut bien être Robin des Bois tant qu’il gagne de l’argent, mais quand cela risque de le mettre en péril, l’histoire est tout autre. Retour sur l'affaire Gamestop qui a agité les marchés financiers.
Les boursicoteurs 2.0 ont réussi un coup d’éclat. C’est par le mélange d’un enchaînement de gestes fluides, d’un dépassement des obstacles, de chance, que le pari se gagne. Or, il ne saurait y avoir de coup d’éclat permanent.
L’investisseur rêve déjà d’un monde sans Covid. Un rêve pas si niais si les vaccins font ce qu’ils disent. Mais du rêve à la réalité, les marchés ne vont – ils pas un peu vite ?
Comment interpréter un split d’action ? Signal optimiste ou bien opportunisme du management ?
La crise du Covid-19 a causé bien des tracas à la finance traditionnelle, mais aussi à la finance dite intelligente, celle reposant sur les techniques les plus avancées. Pourtant, la recherche nous avait prévenu de certains excès.
Le rebond des marchés d’actions interroge : l’économie va-t-elle rebondir comme elle le fait traditionnellement ? Les politiques extravagantes des autorités sont-elles suffisantes ?
L’interdiction de la vente à découvert est une décision politique prise par des personnes qui ne connaissent pas le fonctionnement des marchés financiers.
L’histoire était déjà écrite : le coronavirus évaporé, l’économie mondiale devait très vite se remettre sur la bonne voie, et les marchés financiers repartir vers les sommets promis. Mais depuis vendredi dernier, la donne a changé.
Une croissance économique qui ralentit, une inflation qui ne réagit plus, des rendements des marchés qui baissent. L’idée d’une douce torpeur pour les années à venir fait son chemin. Ce scénario est-il crédible ? Oui, sous certaines conditions.
Quel rapport entre le rire et la finance ? A vous de le découvrir.
Les gérants d'actifs connaissent bien le principe de diversification. Et notre gouvernement devrait s'en inspirer.
Les crises bancaires et financières classiques ne peuvent plus se produire puisque les banques centrales ont nationalisé les marchés financiers. Reste la crise monétaire…
Si les récentes secousses sur les marchés relèvent sans doute plus d’une correction technique que de prémices d’une véritables crise financière, elles interrogent néanmoins sur les conséquences d’un retour de volatilité sur le moyen-terme.
Développer une véritable pédagogie de la finance au niveau national aurait sans aucun doute un effet de levier important sur la réforme de la fiscalité de l’investissement.
La gestion active telle que nous la connaissons aujourd’hui va disparaître car elle doit se transformer. Elle doit prendre ses distances au plus vite avec l’univers des ETF au risque de se faire phagocyter.
L’Europe promettait un « marché unique des capitaux » avantageux pour les entreprises et les épargnants investisseurs. Les avancées ne sont pas à ce jour convaincantes.
Quels sont les effets de la démondialisation en matière financière ?
Au-delà du « risque Le Pen », le « risque tout court » est lié au gigantisme de la dette réelle.
Nos créanciers étrangers suivent de très près la campagne présidentielle. Ils espèrent encore un sursaut de bon sens dans la gestion économique de notre pays.
La neurofinance, une branche de la finance qui utilise des méthodes empruntées aux neurosciences pour répondre à des problématiques académiques financières s’est intéressée au métier de trader, qui génère beaucoup de fantasmes.