Donald Trump limoge John Bolton : un revers pour les néoconservateurs ?
Aujourd’hui, Donald Trump renvoie John Bolton, ce qui peut apparaître comme un camouflet public à l’endroit des plus rigides des néoconservateurs.
Aujourd’hui, Donald Trump renvoie John Bolton, ce qui peut apparaître comme un camouflet public à l’endroit des plus rigides des néoconservateurs.
Si nous voulons vraiment tirer la leçon des cent dernières années, nous devons nous enfoncer ça dans le crâne : un gouvernement est incapable de contrôler les résultats de ses interventions militaires.
Que faire pour lutter efficacement contre l’État Islamique ?
Alors que dans les jours qui arrivent débuteront les débats budgétaires, la question de la pérennité de notre modèle militaire sera à nouveau posée.
Le regard de René Le Honzec. Comme on nous l’a aimablement fait fuiter dans la presse subventionnée, Hollande est un menteur égocentriste qui…
Les partisans de l'intervention en Irak "au nom de l'humanité" ne semblent pas mesurer toutes les conséquences de la guerre.
Pour protéger les Irakiens des djihadistes, il est encore temps d’intervenir militairement. Il est encore permis d’hésiter, également.
Une recension du livre de Gregor Mathias "Les guerres africaines de François Hollande".
Les peuples voulant s'affranchir des jougs du pouvoir dans leur propre pays deviennent les proies de querelles d’États en quête d'un statut international.
Il existe malheureusement des guerres justes ; le pacifisme devient meurtrier quand il cède à la barbarie.
L'Afrique serait-elle l'arrière-cour de l'armée française au point que les Américains considèrent qu'il lui appartient d'y maintenir l'ordre pour l'éternité ?
Le dossier justifiant une intervention militaire en Centrafrique n'était-il pas trop léger ?
Est-il du devoir de l’État français de redresser les torts humanitaires et politiques dans le monde ?
Les gouvernements occidentaux n'ont qu'une crédibilité limitée pour lancer leurs pays dans un conflit en Syrie dont nul ne sait ce qu'il peut sortir.
Alors que François Hollande risque d'engager la France en Syrie, faisons le point sur les doctrines en matière d’intervention militaire internationale.
Au-delà des justifications sécuritaires ou humanitaires se cachent derrière l’intervention française au Mali de grands enjeux géopolitiques avant même d’être économiques ou énergétiques.
Au Mali, on réédite une guerre qui n’a pas fonctionné en Afghanistan, contre des bases-arrières supposées du terrorisme.
L'ensemble de la presse soutient de façon étonnante l'intervention militaire française au Mali.
Face aux effets pervers de la démocratie, la plus belle promesse à faire aux peuples qui se révoltent contre l'oppression est la liberté.
L'engagement français au Mali, qui rappelle la guerre contre le terrorisme, devrait être mieux réfléchi pour ne pas avoir le même destin.