Homo artificialis : plaidoyer pour un humanisme numérique
L’« homo artificialis » sera le fruit d’un nouvel humanisme, construit autour d’un « objet numérique à l’intelligence supérieure ».
L’« homo artificialis » sera le fruit d’un nouvel humanisme, construit autour d’un « objet numérique à l’intelligence supérieure ».
Trop de personnes, la plupart issues de la gauche politique, considèrent que les humains sont comparables à des cellules cancéreuses et souhaitent ardemment la réduction, voire l'extinction de notre espèce.
Il faut prendre l'écologisme au sérieux car cette idéologie porte des revendications totalitaires et humanicides plus radicales que n'importe laquelle de ses devancières. OPINION
À l'occasion d'une rencontre sur le thème "À quoi sert la concurrence pour le management ?", deux visions se sont croisées sur l'avenir du monde.
Le libéralisme conduit à faire de la liberté individuelle la valeur suprême. Le troupeau de moutons n’est pas le modèle des libéraux, comme il a pu l’être pour les communistes et les fascistes.
Le libéralisme est souvent présenté par ses détracteurs (généralement pour le discréditer par avance) comme une « idéologie ». Qu’en est-il ? Seconde partie de la série « Ce que le libéralisme n'est pas ».
Souvenirs d’une rencontre avec Umberto Eco par l'un de ses traducteurs.
L'humanisme n'existe plus. Et les libéraux ont leur part de responsabilité dans cette disparition.
Le "Discours sur la dignité de l'homme" (1486) fonde l'humanisme et rejoint nos préoccupations d'aujourd'hui sur la technologie.
Les différents attentats perpétrés en France et au Danemark nous rappellent la persistance de l'obscurantisme. Que peut-on lui opposer ?
Un ouvrage d’Abdennour Bidar au thème passionnant mais qui ne tient pas toutes ses promesses. Présentation.
La mort de Robin Williams a ému des millions de gens à travers le monde, y compris parmi les djihadistes radicaux. Peut-être que cette marque d'humanité commune aidera certains fanatiques à prendre du recul ?
Un libéralisme déconnecté de la vérité ontologique devient naturellement libertaire et donc liberticide. Le véritable libéralisme doit promouvoir une liberté responsable.
La citation du dimanche, d'Isabel Paterson