Les éléments du progrès : les OGM (7)
Les aliments génétiquement modifiés sont sûrs et nutritifs, mais ils se heurtent encore à l'opposition des extrémistes.
Les aliments génétiquement modifiés sont sûrs et nutritifs, mais ils se heurtent encore à l'opposition des extrémistes.
Croissance élevée, plein emploi, État bien géré... Il est probable que d’ici 20 à 30 ans, les anciens pays communistes seront des puissances économiques régionales et des places d’échanges incontournables.
Selon Bruno Le Maire, ce sera un vrai défi que d’atteindre la croissance de 6 % qu’il a prévue pour 2021 avec un indéniable « volontarisme ».
L’ancien Président de la République Valéry Giscard d’Estaing (VGE), 94 ans, est décédé hier mercredi 2 décembre 2020. Quel bilan peut-on faire de sa présidence ?
Peut-on créer de la croissance en décarbonnant notre économie ? Non, cela relève de la pensée magique.
L’Inde a l’occasion de faire un grand pas en avant pour profiter de « l’effet repoussoir » qui gêne la Chine.
Sous couvert de bonnes intentions, la décroissance se révèle être une doctrine motivée par une idéologie, dont les objectifs risquent d’être à l’opposé des objectifs qu’elle prétend servir.
Loin d’être l’ennemie de l’environnement, la croissance est un impératif pour mieux gérer nos ressources.
Enième prolongation pour la contribution de remboursement de la dette sociale.
Il est faux de prétendre que la croissance économique s’accompagne nécessairement d’effets pernicieux.
« Contrairement à ce que pensent les forcenés et les utilitaristes de la croissance, nous n’avons plus besoin du PIB », écrit Éloi Laurent.
Contrairement à ce que suggèrent les injonctions des mouvements écologistes, ni la qualité de notre environnement ni celle de notre mode de vie ne justifient l’abandon de la croissance économique et de la civilisation industrielle.
Si l’on souhaite la poursuite du progrès, il est indispensable que les peuples du monde entier comprennent mieux les causes de l'amélioration du bien-être humain au cours des deux derniers siècles.
Selon une étude récente de Human Progress, chaque être humain supplémentaire né sur notre planète semble rendre les ressources proportionnellement plus abondantes.
L’économie mondiale est tombée dans un double piège : celui d’un environnement de taux durablement bas et celui d’une gouvernance atteinte de myopie.
L'actuel retournement des conjonctures s'inscrit dans une dynamique de longue déflation de l'alimentation mondiale en liquidités.
En 2018, et pour la sixième fois en sept ans, l'Afrique subsaharienne francophone a globalement réalisé les meilleures performances économiques du continent. La tendance devrait se maintenir en 2019, même si une certaine vigilance s'impose.
Il faut le rappeler aux Gilets jaunes : le partage des richesses et la redistribution sont l'apanage des pays riches. Or, la France est en voie de désindustrialisation.
Un État qui ne fonctionne que par la redistribution ne peut pas attendre de croissance.
60 milliards : le montant du déficit public et aussi celui de la fraude fiscale. Pourtant faire disparaître l'un ne résoudra pas l'autre.