Les banques centrales défient Einstein
Les banques centrales éliminent de la vie économique le principe de la capitalisation des intérêts composés et souhaitent asservir les populations à leur pouvoir de création monétaire.
Les banques centrales éliminent de la vie économique le principe de la capitalisation des intérêts composés et souhaitent asservir les populations à leur pouvoir de création monétaire.
Le débat sur l’épargne masque un problème de fond. Notre pays s’enfonce résolument dans une logique de lutte des classes absurde et appauvrissante.
Seuls des échappés de l’asile pensent qu’on peut relancer l’économie réelle en y injectant de l’argent factice. Pourtant, cette politique est désormais appliquée un peu partout.
Imaginez que les autorités envoient un chèque d’un million de dollars à tout le monde. Nous serions tous riches, pas vrai ? Eh bien non, en réalité. Explication.
Faut-il revenir aux politiques de relance budgétaire ? L’exemple de la Théorie Monétaire Moderne (MMT) et ses conséquences.
D’une certaine façon, le niveau d’endettement d’un pays illustre sa foi dans le progrès, sa croyance dans le fait que l’essentiel des projets lancés rencontrera le succès.
L’Italie est en proie à un gouvernement de charlatans qui pourrait ruiner l’Europe, selon Le Point. Mais les charlatans ne sont pas qu’italiens, loin de là.
La politique monétaire actuelle prépare la crise économique de tous les temps.
La réglementation européenne interdit désormais le sauvetage des banques par leurs États (c’est-à-dire les contribuables). Mais certains États trouvent des moyens pour contourner cet obstacle.
Ce n'est pas le contrôle démocratique des banques centrales qui pose problème mais leur contrôle par les pouvoirs publics.
L’accroissement illimité de la masse monétaire n’est nullement nécessaire à la prospérité d’un pays.
Pourquoi les manipulations monétaires des banques centrales étouffent la société libre.
Pour Patrick Artus et Marie-Paule Virard, la monnaie est désormais déconnectée de l’économie réelle.
L’OCDE fait état de l’inefficacité des politiques de création de monnaie par les banques centrales.
François Hollande, et plusieurs de ses homologues européens, demandent à la banque centrale européenne de faire des miracles.
Le niveau des réserves bancaires est un problème pour la stabilité des marchés financiers.
Qu’est-il arrivé dans le monde de l’argent tandis que nous suivions les traces d’Ulysse ?
Nous sommes au point de rupture de la crise de la culture de l’inflation, acculés devant des choix difficiles.
Qui est le plus affecté par l'inflation ?
Comme dans la totalité des industries, le secteur financier doit ses dysfonctionnements à l’absence de libre-concurrence.