Ce que l'Islande et la Chine pourraient nous apprendre
La Chine et l'Islande nous apportent des informations intéressantes et fort différentes de ce que les médias mainstream nous racontent.
La Chine et l'Islande nous apportent des informations intéressantes et fort différentes de ce que les médias mainstream nous racontent.
Certains gagnants de la saga du « mur budgétaire » ont encore une fois passé sous le radar : les lobbyistes.
Accusons les libéraux d'être à l'origine de la crise ! Comme les gens sont peu regardants, peu verront que les sociaux-démocrates sont aux manettes depuis des décennies.
En quoi la crise financière que nous vivons est-elle d'origine étatique ? En quoi le libéralisme est-il la solution pour remettre sur pied un système monétaire et financier durable ?
Des États qui récompensent l’échec de firmes capitalistes avec notre argent, c’est tout sauf du capitalisme. Comment faire confiance à de tels États ?
Des déficits élevés, une dette élevée et des droits instables sont les symptômes d’une maladie commune qui est en train d’infecter l’Europe du Sud et les États-Unis. C’est le capitalisme de copinage.
Si le dernier rapport de la banque mondiale, paru le mois de mai dernier, sur la jeunesse au Maroc a le mérite de remettre sous le feu des projecteurs la problématique du chômage des jeunes (30% des 15-29 ans sont sans emploi), les recommandations proposés allant dans le sens d’un renforcement du rôle de l’État ne sont pas prêtes de la résoudre. Que doit-on faire ?
Dans cette crise qui secoue le monde développé, il faudrait garder une chose en tête : à droite comme à gauche, on se bat contre le même monstre. Je parle du capitalisme de copinage. Pro et anti-business ont conspiré pour décider qui allait jouer le rôle de la vache à traire : le contribuable.
Renault, qui a vu chuter ses ventes en Europe, réclame par la voix de son patron opérationnel un coup de pouce de l’État, sous la forme d'un soutien à la demande. Les patrons français ne savent-ils rien faire d'autre que d'en recourir à l’État ?
Au final, à l’image de la démocratie qui a besoin de contre-pouvoirs politiques, la sortie de l’économie de rente passe par la création de contre-pouvoirs économiques. Ce n’est possible que si l’on libère l’économie de l’ingérence des politiques et des bureaucrates, et des monopoles qu’ils imposent.
Les subventions aux entreprises sont souvent une mauvaise utilisation des fonds publics
Le capitalisme est accusé de connivence. Pourtant, les termes "capitalisme" et "connivence" sont par définition antinomiques
Quand l’État s’acoquine aux « puissances de l’argent » véreuses, son emprise sur la société devient conséquente. C’est le début de l’inflation au vice
Wauquiez monte au créneau. Festival de poncifs.
Que va faire l'état, actionnaire majoritaire d'Areva, devant ses difficultés ?
Pour certains égarés, la France serait une dictature libérale. On peut en rire.
Non, la vraie racine du problème est que ce sont les gouvernements qui ont trop de pouvoir
Le mouvement des indignés célèbre ses six mois aujourd'hui
Avec la disparition de Steve Jobs, nous avons perdu un modèle d’entrepreneur. Beaucoup d’entreprises ont horreur du vrai capitalisme et préfèrent le capitalisme d’État, où…