Des fake news comme s'il en pleuvait
De façon évidente, c’est bel et bien l’été, avec tout ce que cela recouvre. Je ne parle pas de météo ou de réchauffement climatique mais…
De façon évidente, c’est bel et bien l’été, avec tout ce que cela recouvre. Je ne parle pas de météo ou de réchauffement climatique mais…
L'État devrait ignorer simplement la religion au lieu de tenter de l'encadrer.
Dans l’épisode du burkini, aucun politicien, commentateur, maître à penser n’a interrogé les femmes portant cette tenue. Le burkini est-il imposé par les mâles musulmans, preuve d’aliénation des femmes musulmanes, ou volontaire ?
Le burkini n’est pas l’ennemi. Soyons fiers de notre liberté et laissons les individus pratiquer en paix leur religion tant qu’ils ne violent les droits de personne.
Nos libertés sont le produit de notre culture, qui a conquis une grande partie de la planète. Pourquoi devrions-nous toujours reculer, par exemple sur le burkini ?
Une fois de plus, une polémique prend un mauvais tour pour le gouvernement : le burkini va diviser la gauche.
L'État se mêle de tout, même à la plage.
Si le burkini n’est pas un délit, il est certain que c’est un joli piège, peut-être doublé d’un contresens sur sa signification, certainement triplé d’arrière-pensées et assurément quadruplé du résultat inverse de l’effet recherché : Daesh est ravi.
La panique morale vient exprimer un sentiment de menace, et prépare l'avènement d'un nouveau clivage entre une politique sécuritaire à l'endroit de l'Islam et ceux qui plaident pour une conception ouverte de la laïcité.
Le regard de René Le Honzec.
Nous avons voulu faire disparaître les burkinis au prix de quelques libertés ; nous perdrons ces libertés, nous aurons plus de burkinis et nous récolterons quelques djihadistes supplémentaires en prime.
Les amendes burkini sont du même montant que celles pour le port d'un monokini. Un hasard qui en dit long sur les préférences fiscales françaises.