Isabel Diaz Ayuso, une gestion libérale de la crise sanitaire
La gestion sanitaire par la libérale Isabel Diaz Ayuso met la gauche espagnole au bord de la crise de nerfs.
La gestion sanitaire par la libérale Isabel Diaz Ayuso met la gauche espagnole au bord de la crise de nerfs.
Une sinistre coalition gouverne l’Espagne et s’apprête à imposer sa « mémoire démocratique ».
Le gouvernement de Pedro Sanchez a déclaré l’État d’urgence et obtenu son maintien pour une durée de 6 mois. La dérive illibérale de ce gouvernement socialo-communiste n’est pas spontanée et semble préparée.
Le gouvernement de coalition socialo-communiste de Pedro Sanchez propose une loi qui permettrait au Parlement d’élire les membres du Conseil Général du Pouvoir Judiciaire à la majorité absolue.
C’est à Sanchez de savoir s’il est prêt à sacrifier les fondements de la démocratie espagnole à son ambition de maintien au pouvoir.
En Espagne, le gouvernement cherche à entraver la diffusion de la connaissance scientifique de l’histoire au bénéfice d’une mémoire sélective et tronquée.
À rebours d’une Espagne dirigée par les socialistes, la communauté autonome de Madrid a fait le choix de favoriser les libertés économiques.
Fondé en 2013 à partir d’une scission du PP, Vox est en train de s’imposer parmi les principaux mouvements politiques espagnols.
OPINION: intimidations, pressions sur les fonctionnaires et les policiers : les indépendantistes de Catalogne ont cherché à imposer la sécession régionale à une population qui n’en voulait pas.
La nouvelle classe politique espagnole, féminisée, cultive un goût pour le conformisme du paraître.
Les prochaines élections européennes feront office de test confirmatoire, et pourraient acter le retour de la logique bipolaire en Espagne. Au désespoir des uns, au soulagement des autres.
Derrière une allure libertaire, ce sont des hommes d’appareil entrés tôt dans la carrière politique. OPINION
C'est en Espagne, pays où le diesel est roi, que l'espérance de vie est la plus longue. N'y voyez surtout aucune causalité.
Les administrés du député de l'Essonne ont fini par comprendre. Les électeurs de Barcelone devraient se méfier.
Une nouvelle crise majeure menace l'Europe. Elle pourrait être déclenchée par l’Italie ou les banques espagnoles, très exposées aux pays émergents.
La crise Catalane a révélé une plaie profonde dans la société civile catalane et mis en route des mécanismes dont les conséquences désastreuses vont se produire quel que soit le résultat des nouvelles élections du 21 décembre 2017.
La crise catalane et le réveil des nationalismes antilibéraux d'Europe centrale illustrent la difficulté des jeunes démocraties à surmonter le cycle oppression-illusion.
La constitution ne devrait pas permettre à l’Espagne de tenir une nation en otage, tout comme aucune constitution ne devrait permettre l’esclavage.
Deux légitimités s’affrontent dans les récentes expériences indépendantistes, celle d’un État, de l’ordre, de la légalité, et celle d’une Nation minoritaire qui tente d’être reconnue et de se doter d’un État.
Invoquer aujourd’hui la Constitution de 1978 comme un rempart de la paix civile a peu de chances d’être entendu des nouvelles générations d’Espagnols qui n’ont vécu ni le franquisme ni la Transition.