Encore une fois, George Orwell a prédit l’avenir…
Depuis quelques années déjà , je mentionne à l’occasion le déclin cognitif patent de Joe Biden qui me rappelle les anecdotes que j’ai entendues au sujet de ma grand-mère morte de la maladie d’Alzheimer. Mais comme le seul et unique but des Démocrates en 2024 – comme en 2020 – est de battre Donal Trump, ils vont s’accrocher coûte que coûte à leur chef actuel.
Comme trop souvent, on va abuser du détournement cognitif (voire aller jusqu’à  ignorer ce que nos yeux voient comme dans 1984 d’Orwell) pour tromper le public. Pas plus tard que le mois dernier, la Maison-Blanche et ses alliés ont martelé l’argument du cheap fake pour décrire les vidéos absolument authentiques de Joe Biden errant çà et là , ou semblant figé sans raison apparente.
Malheureusement pour eux, et malgré des avertissements de longue date, l’état mental délabré de Joe Biden a été exposé au grand jour lors de son débat contre Trump à la fin juin. Ses réponse étaient parfois incohérentes que même Trump ne savait pas quoi répondre. On a vite plaidé la grippe et le décalage horaire, bien qu’il ait été isolé pendant sept jours avant le débat, et une litanie d’autres excuses.
Mais une autre entrevue sur un terrain qui lui était acquis, ainsi qu’une conférence de presse semi arrangée lors du sommet de l’OTAN, ont confirmé que le Joe Biden du débat est bien le même Joe Biden qui, s’il vit assez longtemps, pourrait être président pour les quatre prochaines années.
Indignation fausse et tardive
Depuis lors, c’est la panique totale chez les Démocrates et leurs alliés des médias.
Soudainement, les gens font part de leurs inquiétudes face aux absences et au « bogage » de Biden. Même George Clooney, qui avait récemment organisé une levée de fonds fastueuse pour Biden, affirme que le président a « beaucoup changé » depuis trois semaines. Certains croient que cela s’est fait avec la bénédiction de Barack Obama.
Or, cela ne date pas d’il y a trois semaines. Il y a deux ans, un journaliste dit avoir reçu des informations d’un membre du cabinet de Biden selon lesquelles il serait peu probable que le président aurait la capacité de briguer un autre mandat. Et les rencontres dudit cabinet sont tout aussi arrangées que la conférence de presse de l’OTAN susmentionnée.
Maintenant, les journalistes donnent l’impression de vouloir rattraper le temps perdu en devenant plus incisifs vis-à -vis du patinage incessant de la Maison-Blanche face aux questions concernant le président. Ils feignent aussi la surprise quand une journaliste congédiée révèle qu’elle a dû fournir ses questions à l’avance. Cela se produit pourtant depuis des lunes et on n’en avait pas fait cas. Une animatrice affirme même que la totalité de son entrevue était réglée au quart de tour.
Les grands réseaux de nouvelles, qui voilent à peine leur biais démocrates, parlent maintenant ouvertement de dégénérescence et de la nécessité pour Biden de passer des tests cognitifs – Trump l’invite même à faire ces tests en même temps que lui. En 2020, la question ne leur semblait pas si sérieuse.
Mais désormais la donne a changé. Dernièrement, un neurologue (qui s’affiche démocrate) affirmait que, sans aucun doute, Joe Biden souffrait de la maladie de Parkinson. Il en exhibe tellement de symptômes que, si un étudiant en médecine ne réussissait pas à s’en apercevoir, il devrait derechef changer de carrière.
La fin de Joe Biden ?
Pour l’instant, le président actuel affirme constamment sans broncher qu’il ne quittera pas la course. La plupart des bonzes du parti au Congrès (du moins en public) semblent se ranger derrière leur chef, mais des voix discordantes commencent à s’élever.
Toutefois, considérant le désenchantement de plusieurs donateurs très généreux, la fin pourrait être plus proche qu’on ose l’admettre – cet ancien stratégiste de Bill Clinton sonne toutes les alarmes qu’il trouve pour réveiller les troupes.
Alors la prochaine question logique serait : qui va le remplacer ?
La première réponse serait naturellement la vice-présidente, Kamala Harris. On commencerait déjà d’ailleurs à tâter le terrain pour tester son succès potentiel. Toutefois, elle doit son élévation au rang de numéro 2 à des critères arbitraires et son passé comme procureure est désastreux. Il n’est donc pas surprenant qu’elle soit à peine plus populaire que son supérieur (au 13 juillet).
Quant à Gavin Newsom, gouverneur de la Californie, il offre son soutien inconditionnel à Biden dès qu’on lui tend un micro. Le bilan désastreux de son État a de quoi donner froid dans le dos. Surtout si l’on considère que les bureaucrates de Washington semblent envier la réglementation de l’État d’or, comme le ban des voitures à essence.
Bref, l’establishment démocrate et médiatique a finalement décidé d’ouvrir les yeux et se rendre compte que Joe Biden servirait mieux sa personne et le pays s’il ne se représentait pas. Quand on est rendu à lui donner des photos lui montrant au millimètre près où il doit se positionner, il est claire qu’il s’agit d’une personne inapte.
Mais le pouvoir est une drogue puissante. Il apparaît que la Première dame et leur fils Hunter tentent par tous les moyens de s’accrocher au pouvoir en encourageant Joe à rester dans la course. Certains commencent à parler d’abus d’aîné.
Il est de réputation que les démocrates sont d’infâmes tricheurs. Cela date de l’époque où ils étaient le parti raciste et ségrégationniste, leur dernier candidat de cette mouvance étant Geoges Wallace qui s’est présenté à la présidence en 1972. De nos jours ils osent accuser les républicains de racisme alors que c’est le parti abolitionniste qui a supprimé l’eclavage en 1863.
Ah oui il, y a les bons républicains et les méchants démocrates…….
Quelle magnifique vision manichéenne du monde politique américain…..😄😄😄😄
Ça a la couleur du français, le goût du français… mais ce n’est pas du français !
C’est du canadien !
😄
Nous avons eu aussi nos présidents malades qui se portaient comme des charmes ( Mitterand avec son cancer, Chirac avec son avc canadien……)