Contre la réforme des retraites, Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, appelle à « un mouvement massif en accord avec la CGT » et il ajoute : « Je préviens le gouvernement : vous n’allez pas nous faire porter le chapeau du blocage du pays ! » Fichtre. Quel panache, quelle insolence, quelle témérité !
L’alliée des communistes
Qu’est-ce que la CFDT ? Un syndicat social-démocrate. C’est-à-dire un syndicat qui se prétend de centre-gauche quand il ne se passe rien et s’allie aux pires communistes dès que les rues sont envahies par le doux parfum de pneus brûlés de la lutte des classes. En somme, la CFDT a pour mission de bêler avec les moutons et de hurler avec les loups, selon les variations du contexte.
Cette fois, comme à son accoutumée, la ligne de la CGT sera la suivante :
« Exactement comme si nous étions de vulgaires bolchéviques, nous allons empêcher les Français de travailler. Toutefois, si d’aventure le pays sombre dans la paralysie générale et le chaos économique qui en découlent mécaniquement, ce ne sera en aucune manière de notre faute puisque nous sommes tout sauf de vulgaires bolchéviques, contrairement à nos alliés de toujours, lesquels sont à la fois stupides, aveugles et violents, mais ne nous sont pas moins absolument indispensables, puisqu’ils apportent les trompes de brume, les fumigènes et le pastis à nos pique-niques idéologiques. Nos têtes sont vides, leurs muscles sont gros, le combat continue ! Gloire à l’initiative de la base en colère répercutée par nos lumineux mots d’ordre subventionnés ! »
En clair : nous sommes les Monique du Fourniret totalitaire.
Le philosophe Martin Heidegger considère que la question fondamentale de la philosophie est : « Pourquoi y a-t-il de l’être et non pas plutôt rien ? » Nous lui répondons : « Commence plutôt par te demander pourquoi il y a la CFDT et non pas plutôt rien, ça nous rendra un fier service ».
La CFDT c’est quoi ? une roue de transmission des gouvernements qui souhaitent plumer les salariés sans défense et employeurs du secteur privé ( mettre à part les grandes entreprises qui s’acommodent bien du code du travail , utilisation des intérimaires en masse avec périodes de chômage ) Pourquoi ? pour financer les retraites de leurs adhérents. Souvent issus de la fonction publique et des régimes spéciaux beaucoup plus aventageux ( calcul sur 6 derniers mois , revalorisation des pensions différente, réversion sans condit ions de ressources, durée de cotisation inférieure à cause de bonifications pénibilité spécifiques etc .
Dans les grandes occasions , comme aujourd’hui être complice de la CGT çà peut rapporter gros pour conserver les privilèges.
Et bien NON lesouvriers et employés ne sont pas dupes de ce manège.
Combien de ces personnes auront droits à une retraite complète à 64 ans compte tenu du niveau d’emploi et de chômage depuis déjà lomgtemps ?
Les français doivent aller manifester pour refuser cette conivence entre Mme BORNE et les syndicats.
La récupération peut être facile avec le slogan » on est là pour sauver votre retraite »
NON » c’esst pour garder nos avantages »
Toute cette caste veut garder ses privilèges . Posons la questions aux Français qui travaillent et qui payent.
Eh bien, ‘Et bien’ n’a pas de sens en français dans ce contexte. Merci !
« Eh bien mon cher, comme vous y allez ! » ‘Bel-Ami’, Maupassant.
« Eh oui, mon ami, quelle réussite ce Rastignac ! »
‘Splendeurs et misères des courtisanes’, Balzac.
Etc. Lire les classiques.
La défense des syndicats, ça rappelle un peu celle des violeurs :
– monsieur le juge, c’est pas de ma faute, avec sa minijupe et son décolleté, elle m’a provoqué !
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