Par Johan Rivalland.
Les forcenés étaient retranchés à l’intérieur. La tension venait encore de monter d’un cran. Et les autorités ne savaient plus quel langage tenir pour tenter de faire revenir tout ce beau monde à la raison. La situation était grave et préoccupante. Qu’allait-il advenir ? Quand cette tension allait-elle retomber ? Comment sortir de cette véritable impasse ?
« Nous ne sortirons pas tant que vous n’aurez pas cédé à nos revendications. Nous exigeons que vous le retiriez immédiatement. Sans quoi nous amplifierons nos actions jusqu’à ce que vous cédiez.
– Ne soyez pas stupides, vous savez bien que nous en avons déjà discuté abondamment. Nous avons déjà à plusieurs reprises assoupli nos positions et faisons tout pour que vous puissiez vous en sortir la tête haute, sans dommages.
– Non. Cessez de nous traiter par votre mépris. Il n’y a pas de négociations possibles. Tant que vous ne l’aurez pas retiré, nous amplifierons notre action. Jusqu’à ce que vous cédiez. Nous vous avons déjà fait part de nos exigences. Et nous sommes bien décidés à amplifier le combat. Vos effets d’annonce n’ont aucun effet sur nous.
– Vous savez pertinemment que ce que vous demandez n’est pas possible. Sortez et veuillez cesser cette épreuve de force, dangereuse et dans laquelle nous avons tous à perdre.
– Pas question. Arrêtez de vous entêter. Vous savez que nous ne céderons pas. Cédez à toutes nos exigences d’abord, et nous pourrons alors discuter. Sinon, le pire est à craindre. Et c’est vous qui en porterez la responsabilité.
– Nous avons déjà fait beaucoup d’efforts. Certains parmi vous sont d’ailleurs prêts à quitter le rang et ont bien compris que nous avons intégré un certain nombre de leurs demandes. Ne soyez donc pas stupides, nous le répétons. Sortez de cette situation, dans l’intérêt de tous.
– Une fois encore, il n’en est pas question. Ce que vous martelez contre toute logique est inadmissible et insupportable. Prenez vos responsabilités. Nous vous lançons un dernier ultimatum : soit vous le retirez, soit vous porterez la responsabilité de la casse qui surviendra. Cessez de nous traiter par votre mépris.
On s’enfonçait inexorablement dans l’impasse. Philippe, Yves et consorts ne céderaient pas. Les autorités en face n’en avaient pas l’intention non plus, l’enjeu était trop grand et la menace trop vive.
Comment allait se terminer cette histoire à l’air de déjà vu ? Comme toujours… Mais attendons la suite. Car il y aurait certainement d’ici là de multiples rebondissements…
tout ceci n’est que du cinéma « de gauche »les syndicats gèrent un budget supérieur a celui de l’etat.. le scenar est écrit depuis des mois
ces organisations au travail ‘garanti » par la loi font la gréve contre le contribuable qui les paye, et ce couillon est d’accord avec eux.. pauvres nazes!
ceux qui ne payent pas l’IR pensent en etre dispensés alors qu’on leur prends 20% sur tout ce qu’ils achètent, payent directement la télé , et les retraites des salariés d’edf + la csg.. pour payer des emplois a vie et des retraites dorées.. sans compter des enseignants qui travaillent 2 fois moins que ceux de nos partenaires et veulent gagner la meme chose qu’on va augmenter pour qu’ils conservent des avantages inouïs?
je ne comprends toujours pas comment les français peuvent supporter encore çà ..
un jour il faudra bien mettre le feu a ces organisations qui vous tondent comme des moutons
les français sont des veaux , disait le grand Charles ; il ne s’est pas trompé ce grand homme ;
en effet
sauf qu’il est en bonne partie responsable de notre administration actuelle (depuis l’ENA et la constitution de la Vème).
La Constitution a subi de multiples modifications, dont la moindre n’est pas le quinquennat…
Totalement responsable car il voulait avoir tous les pouvoirs en main!
Vous avez tord car vous insultez les veaux. Les français sont des imbéciles, il n’y a pas d’autre terme pour désigner des gens incapables de comprendre quoi que ce soit, alors qu’on les écorche vifs!
La CGT exige l’annulation pure et simple de la réformette.
Eh bien qu’on l’annule!
Et qu’on la remplace immédiatement par une vraie réforme qui sera plus saine et efficace:
Les pensions dont le total estimé selon l’espérance de vie excède la valeur actualisée des cotisations du retraité (salariales et patronales) plus sa part des réserves éventuelles seront diminuées de 2% par an jusqu’à ce que l’équilibre soit atteint. Le contribuable sera donc de moins en moins sollicité et le retraité privilégié se rapprochera en douceur du droit commun.
Il n’y a rien à négocier, c’est de l’arithmétique.
ben voyons , facile a faire accepter ha!ha!ha!
Mais pourquoi le faire accepter?
Comme vous le dites plus haut « un jour il faudra bien mettre le feu a ces organisations ».
Eh bien voilà c’est le moment de l’imposer en profitant de la majorité parlementaire.
Et de supprimer les subventions aux syndicats qui n’ont plus d’adhérents et se sont transformés en associations de malfaiteurs qu’on peut très bien interdire. Le peuple suivra, il suit toujours le plus fort.
La majorité parlementaire ne le fera pas: elle est socialiste
les syndicats sont gérants ou co-gérants de beaucoup de choses, il n’a pas besoin de subventions pour survivre malheureusement. Déjà , si ces abrutis arrêtaient de suivre celui qui gueule le plus fort…
« On » peut aussi leur confisquer la gestion de ce qu’ils saccagent.
Une vraie réforme « plus saine et efficace » des retraites supposerait une réflexion sérieuse qui probablement aboutirait à introduire une part de capitalisation. Mais réfléchir sérieusement avant de décider n’est pas dans la tradition de l’Etat français. Les Etats des pays nordiques et anglo-saxons se livrent plus volontiers à cet exercice.
Réfléchir exige de l’intelligence et n’en a pas qui veut.
Macron est un Socialiste convaincu eti ne changera jamais.Attendez 2022 pour le foutre dehors. et cette fois ne le manquez pas et surtout n’écoutez plus ses bobards. C’est de la poudre de Perlimpinpin.
A mon humble avis, Macron n’est pas plus socialiste que vous ou moi. Il est passé au stade supérieur de la manipulation.
Sa martingale c’est la com’ et jusque là ça marche pour lui. Il peut raconter n’importe quoi pourvu que ça trouve un écho chez le public qu’il vise. C’est un acteur, et son seul objectif c’est son plan de carrière, sa position de pouvoir. Ce qu’il dit n’a aucune importance sur le fond, seul compte l’effet produit à un instant donné sur une audience ciblée. Le story telling à son stade ultime.
CPEF
Et c’est là que le GIGN donne l’assaut en sautant d’un hélicoptère.
Non je rigole, tout le monde sait bien qu’ils ne peuvent plus le faire, pas de moyens…