Climat : l’incroyable saga des températures (1)

Comment s’y prend-on pour calculer une « température moyenne » ? Vous allez être surpris. Premier épisode d’une étonnante saga.

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thermomètre credits calina olavarria (licence creative commons)

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Climat : l’incroyable saga des températures (1)

Publié le 22 août 2019
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Par Michel Negynas.

La canicule de ces derniers jours a mis en avant un paramètre météorologique : la température. Conjointement à la montée des eaux, elle est devenue le totem emblématique qui nous annonce notre mort prochaine. Or, il est important de savoir de quoi on parle, en toute déconnection de l’hystérie ambiante. 

Cet article fait partie d’une série qui tente de faire le point sur l’extraordinaire saga des courbes de températures mondiales, avec batailles de chiffres, divulgation de fichiers personnels, actions en justice, et rebondissements en tout genre. Aucun auteur de roman, policier ou de science-fiction, n’aurait osé publier un récit d’une telle extravagance. 

Le choix d’un indicateur

Qu’est ce que le (ou les) climat(s) ?

─ Le climat des géophysiciens est la description des facteurs influençant la vie et la formation des éléments minéraux à la surface de la Terre pour une période géologique donnée : température, hygrométrie, glaciation, gaz de l’atmosphère… Il est global, et l’échelle de temps est de l’ordre de la centaine de milliers d’années, 10 000 ans au minimum (date approximative de notre dernière sortie de glaciation). 

─ Le climat des météorologues est essentiellement local, (tempéré, tropical, océanique…) et l’échelle de temps est de 5 jours pour des prévisions fiables, la saison pour des prévisions à moyen terme. 

─ Le climat au sens du « réchauffement climatique » est une notion nouvelle et assez étrange : il est global, avec une échelle de temps de 30 ans minimum, mais dans la pratique, l’hystérie médiatique qui s’en est emparée oblige à un suivi sur quelques années, ce qui est un non-sens. Notons d’ailleurs que cette notion de climat global à moyen terme ne permet pas des mesures d’adaptation, qui sont par nature locales. Malheureusement, les modèles prédictifs du climat sont encore loin d’atteindre une échelle locale, pour autant qu’ils réussissent sur un plan global, ce qui n’est pas démontré encore maintenant. Or, les climats régionaux sont définis par des températures mini et maxi, par l’hygrométrie, par les précipitations, et par les roses des vents, et ceci pour chacune des saisons. C’est compliqué.

Pour sensibiliser le grand public au réchauffement climatique, et faire des prévisions compréhensibles par lui, il a fallu trouver un indicateur « médiatique ». On a choisi de calculer des « anomalies » (différences) de température par rapport à une période de référence. Pour chaque mois, on calcule en tout point de mesure cette anomalie par rapport à la moyenne des mêmes mois de la période de référence. On fait la moyenne de tous les points de mesure (plusieurs milliers) dans le monde. Mois après mois, cela donne les courbes qui génèrent en ce moment les commentaires « mois le plus chaud… année la plus chaude…) ce qui n’est guère étonnant, puisque nous sommes sans doute en période de réchauffement depuis le XVIIe siècle. Il va sans dire que c’est bien insuffisant pour caractériser un climat, surtout à l’échelle régionale. Mais comment sensibiliser le monde à partir de résultats hétérogènes et complexes ? Une analyse détaillée des données montre par exemple que si deux tiers des sites montrent un réchauffement, un tiers montre un refroidissement. 

Pour les physiciens à cheval sur les principes, faire des moyennes de températures prélevées à des endroits différents du globe n’a pas de sens physique. En termes savant, on dit que la température est une variable intensive, propre à un système donné homogène. Or, l’atmosphère terrestre est tout sauf un système homogène…Cela n’a pas de sens d’additionner, soustraire ou moyenner des températures relevées sur l’ensemble de la planète. Une illustration de l’évidence que cet indicateur n’a pas d’utilité pratique est de comparer la température moyenne annuelle de New York et Bordeaux : c’est la même, 12,7 degrés… Pourquoi donc, alors que les climats sont si différents, le réchauffement serait le même, au même rythme, et identique au réchauffement mondial, dans les deux cas ?  

Ce qu’on pourrait ajouter ou moyenner, ce serait, par exemple une quantité de chaleur, calculée à partir de paramètres incluant la température, la densité de l’air ambiant, son hygrométrie…

Le terme anomalie est déjà évidemment porteur d’angoisse. Mais en quoi nos températures actuelles seraient des anomalies ? Les périodes de référence seraient les meilleures températures pour nous, les humains ? Or les périodes de référence varient selon les principaux organises chargés de calculer l’anomalie !

Mais admettons que cet indicateur, tout en étant étranger à de la vraie science, soit tout de même utile comme symbole emblématique. Sait-on le mesurer ?

Sait-on mesurer l’anomalie de température actuellement

Quelle est l’origine des mesures ? Il existe deux types de mesure : via des mesures au sol et en mer, ou via des mesures radiométriques par satellites. Les deux ont des avantages et des inconvénients. 

Les mesures au sol : elles sont réalisées à partir des réseaux de thermomètres, autrefois à alcool, maintenant électroniques, abrités dans une cabane caractéristique de forme normalisée, ou abri Stevenson, et peinte en blanc. Tout ceci n’a l’air de rien mais c’est capital, car ce qu’on mesure, c’est une température de l’air autour du thermomètre ; on doit donc éliminer toute cause de distorsion, comme le vent ou l’action directe du Soleil. À titre d’exemple, lorsqu’on est passé d’un enduit à la chaux à des peintures synthétiques pour les abris des thermomètres, cela a pu faire dériver de quelques dixièmes de degrés. Or, il faut se rappeler que l’ensemble du réchauffement depuis 1850 est estimé à environ un degré ! 

Des tests de qualité de la mesure ont été faits aux USA pour les mesures terrestres ; c’est l’opération de science citoyenne d’Antony Watts, météorologue qui tient un site dédié au climat depuis très longtemps. Le travail collectif ainsi réalisé est d’une très grande rigueur. L’incertitude de mesure estimée pour chaque station est de l’ordre au mieux de un degré, et elle voisine le plus souvent deux degrés. La théorie de la mesure enseigne que l’on améliore la précision en moyennant des milliers de mesures, ce qui permet aux climatologues d’afficher des centièmes de degrés… Mais la théorie s’applique à des mesures multipliées sur le même site au même moment, alors qu’ici on l’applique sur des milliers de sites et à des moments différents. De toute façon, les media ne montrent jamais les incertitudes… 

En fait, ces stations météos ont été établies souvent sur les aérodromes. La précision pour cela était bien suffisante. Mais sont-elles adaptées à une collecte scientifique ? 

Enfin, il y a une grande dispersion du nombre de mesures ; 80 % sont faites dans des pays développés, surtout aux USA. Pratiquement rien en Afrique, où une station couvre parfois un carré de 500 km de coté… et quasiment rien en Arctique et Antarctique. Alors, on fait des interpolations… 66 % des mesures seraient en fait des estimations plus que des mesures d’après John Goetz.

Mais c’est encore pire à la surface de la mer qui représente 70 % de la surface de la planète ! 

Il est impossible de mesurer dans l’air, à 1,5 mètres, comme sur Terre à cause du vent, des vagues, des embruns… On a donc supposé que les anomalies dans l’air étaient identiques aux anomalies dans l’eau à un ou quelques mètres de profondeur. Pendant longtemps, on prélevait de l’eau avec un récipient et on mesurait à bord. Une première dérive a été identifiée, passer du baquet en bois au baquet en métal. Une deuxième, quand on a mesuré à l’entrée du circuit de refroidissement des moteurs. Enfin, depuis une dizaine d’années, on a largué des milliers de bouées dérivantes pour mesurer in situ, à un mètre, mais aussi à différentes profondeurs. Ces bouées mesurent d’ailleurs d’autres paramètres, comme le Ph et la salinité, ce qui fait qu’on commence seulement à comprendre les énormes et très lents déplacements de chaleur qui se produisent au sein des océans, horizontalement et verticalement et qui sont probablement un facteur important des changements climatiques à l’échelle du siècle. En réalité, pendant longtemps, et même encore en partie, la température moyenne des océans est largement estimée ; ce qui est fâcheux, sachant leur surface représente 70 % de la surface de la Terre. 

Les mesures par satellites : depuis 1979, des satellites mesurent des températures dans l’atmosphère à différentes altitudes ; on valide comme on peut ces mesures en les comparant à celles de ballons-sondes. On peut à peu près comparer les tendances des mesures de la basse atmosphère et des mesures de surface. Évidemment, par balayage, la couverture des satellites est bien meilleure (sauf aux pôles) et les mesures ne souffrent pas de changements de lieux de mesure, ou de méthode de mesure. Les satellites sont calibrés en interne. Le gros problème est la dérive de l’orbite, qu’il faut compenser avec une extrême précision.

Qui mesure et compile ?

Quatre organismes principaux publient des températures mondiales. 

Le GISS  (Goddart Institute for Space Studies) qui dépend de la NASA. Ses données soi-disant brutes proviennent d’autres organismes, collecteurs de mesures météo, dont la NOAA, organisme américain (National Ocean and Atmosphere Administration). 

Le Hadley Center, organisme anglais dépendant plus ou moins directement de l’office météo national. Ses données proviennent également de différentes sources, dont celle de l’Université de l’East Anglia en Angleterre. Ses méthodes diffèrent sensiblement de celles du GISS mais une grande partie des données initiales proviennent des mêmes sources que pour le GISS. 

Le RSS, Remote sensing system, une société privée reliée à NASA et NOAA qui exploite des données de différents satellites, en particulier ceux de la NOAA. 

UAH (Université de l’Alabama), qui héberge un ancien chercheur de la NASA, Roy Spencer, ayant lui aussi développé des programmes d’interprétation de mesures satellites. C’est le seul organisme n’ayant aucun lien avec la NASA ou NOAA.

Chacun peut suivre l’évolution des anomalies ; un ingénieur, Paul Clark, a créé un site ouvert au public permettant d’afficher les anomalies des quatre organismes  « normalisées » entre elles (en valeur absolue, elles sont différentes, car elles ne prennent pas les mêmes périodes de référence). C’est wood for trees. Le site permet en outre de calculer différents ratios à partir des données.

Pour les mesures au sol, voilà la couverture actuelle : (source : NASA)

Il y a 1541 stations actives, mais on voit bien que certaines régions, d’une surface considérable, sont peu documentées : les régions polaires, l’Afrique, l’Amazonie, et bien entendu les océans.

Si on regarde plus en détail, on peut se demander comment est-il possible d’obtenir un chiffre significatif avec la couverture française ou espagnole !

 

Lorsqu’on essaye de se renseigner sur ces différents organismes, on est frappé du peu de moyens affectés à ces tâches, en général une toute petite équipe, parfois trois ou quatre personnes. Et l’ensemble du processus, depuis la collecte des données brutes jusqu’aux résultats finaux, souffre d’un manque cruel d’assurance qualité. Sauf à refaire entièrement le travail de ces organismes, les vraies données brutes sont introuvables, tant elles sont remaniées tout au long du processus.

Conclusion

L’humanité s’est donnée une stratégie qui conditionne son avenir pour au moins un siècle. L’objectif tient en un indicateur unique : l’anomalie de température moyennée globalement. On ne devrait pas dépasser 1,5 degré entre la période pré-industrielle et l’objectif.

Cet indicateur n’a aucun sens physique, et n’est pas représentatif pour susciter des réactions aux changements climatiques, par nature régionaux. L’examen de ses  modes d’obtention montre de graves lacunes sur le plan méthodologique, car une bonne partie des données sont issues de modélisation, voire de simples interpolations, et la traçabilité des vraies données brutes n’est pas assurée. On pourrait attendre mieux, et davantage de moyens, compte tenu de l’enjeu !     

Et si l’on veut retracer l’évolution de l’indicateur sur un passé plus lointain, comment s’affranchit-on des évolutions des méthodes de mesure, des changements de lieu, des évolutions de l’environnement sur un même lieu ? Nous verrons dans les prochains épisodes comment cette incroyable saga se complique, avec des coups de théâtre parfois tragicomiques.

DEMAIN : mesures du passé et homogénéisation des températures.

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  • on gouverne les peuples en les menaçant du chaos. toutes les religions ont utilisé ce principe.. et çà marche! regardez la valeur scientifique ds croyances elles sont égales a zéro.. çà n’a aucune importance car il suffit de « croire » pour etre « sauvé ».. ben le réchauffement climatique c’est pareil çà organise des « croyants » en mouvements politiques juteux
    le déclin des religions n’est plus a prouver .. la chute du communisme (oui c’est aussi une religion puisque il faut croire en niant la réalité des effets sur la société) a libéré de l’espace en frustrant une masse de croyants considérable… le réchauffement climatique offre une seconde chance au clergé de l’ancienne croyance.. c’est tout .. c’est tout simple, opposer des faits scientifiques a des croyances qui manipulent les masses çà ne sers a rien puisque la premiere defense du dogme est de stigmatiser les opposants a la « bonne nouvelle » pour en faire des hérétiques..
    Peu importe la réalité scientifique , ce n’est pas de çà dont il s’agit..
    il s’agit d’organiser la société afin que les plus pauvres soient sanctifiés afin qu’ils acceptent les différences sociales; la bonne morale du clergé qui vit lui dans l’opulence, avec l’objectif fantasmé de protéger le futur de sa progéniture sois disant menacée pour la bonne conscience..
    « vivez chichement pour le futur de vos enfants. ».’
    rien d’autre, la science n’a rien a voir la dedans

  • un thermomètre mesure sa propre temperature…..et encore à condition qu’elle soit homogène, le résultat qu’il donne dépend des échanges de chaleur et radiatifs avec le milieu dans lequel il se trouve et bien sur de son état initial, comme c’est un bidule solide l’inertie du machin n’est pas à négliger quand il est supposé mesurer la temperature de l’air autour de lui..temperature de l’air qui n’a pas vraiment de raison d’etre stable surtout prêt du sol ( avez vous déjà vu la distorsion des images due à la convection en été?)…

    un thermomètre mesure une espèce de moyenne de temperature de l’air sur un volume et sur un temps donné ( plus échanges radiatifs) .. et c’est pour ça d’ailleurs que la méthodologie de mesure doit être standard..si vous changez l’inertie thermique du thermomètre ou la couleur de l’abri les lattes qui « mélanges aussi l’air) …vous changez la mesure!!!!
    c’est souvent ce qui frappe, tout le monde sait ça peu ou prou…mais on fait ensuite comme si…
    le plus ennuyeux ensuite est de relier cette mesure météo à une grandeur physique utilisable.
    on mesure un truc utile du point de vue métrologique et humain…

    • les lattes qui mélanges??

    • je me suis toujours demandé, et ça a du être fait les différence de mesures qu’on observerait si on plaçait un réseau de thermomètres électroniques espacés de quelques mètres dans un milieu « représentatif » ..

      je n’ai AUCUNE idée de la différence qu’on observerait …

  • Pas simple de relever une temperature significative de quelque chose .rien que dans une maison c’est la croix et la banniere…on devrait utiliser un autre instrument pour se torturer les meninges ….on a besoin que d’un truc binaire, fait chaud , fait froid…et ce matin ,22 aout, il gèle , 3 mois d’ete sans besoin d’arroser mais de tondre , du jamais vu en 40 ans, le giec aurait il détraqué le’temps ……ou simplement ce forestier ayant coupe 40 ha de pins devant chez moi ? …..suis je bete , il faut planter des arbres pour empecher que la terre crame….

  • De plus l’incertitude des mesures relevées il y a un siècle relevait au mieux de 0,5 ° C.
    On peut noter aussi que la densité de population avec du chauffage et l’activité industrielle des villes où se déroulait les mesures a changé provoquant des évolution de température en plus ou en moins localement ne permettant pas des comparaisons significatives dans le temps.
    Enfin la mesure de la température doit se faire en degré Kelvin (-273°C) ce qui en matière de variation relative modifie beaucoup la situation, 5°C de variation par rapport à 20°C c’est 25% alors que 5°C par rapport à 293°K c’est 1,7% de variation.

    • Et encore Clovis, l’article parle de la mesure des températures depuis peu : c’est à dire après la seconde guerre mondiale, avec des moyens modernes, des bouées dérivantes, des ballons sondes, des satellites, des thermomètres électroniques, etc.
      Tous ceci est comparé avec des mesures de la fin du XIXe siècle (rien en Afrique, rien en Amérique du Sud, rien aux pôles, pratiquement rien en Asie excepté au Japon, rien de significatif pour les mers et les océans) et avec des « reconstructions » de températures calculées « scientifiquement » avec des carottes de glace, des cernes d’arbres, des sédiments, etc… pour le dernier millénaire.
      A côté, la multiplications des pains, marcher sur l’eau, ouvrir une mer en deux, ça parait presque sérieux…

      • Il semble tout à fait possible et scientifique de reconstruire des températures à partir des carottes de glace ou des cernes d’arbres.
        Après, la démarche scientifique impose de déterminer une marge d’erreur à la reconstruction. Et là, ce qui est clairement miraculeux, c’est de réussir à reconstruire de telles températures même au degré près (pour ne pas parler des précisions encore plus miraculeuses dont nous sommes abreuvés) avec ces méthodes.

        • Rien que pour les cernes des arbres il y a matiere a polemique ,la temperature semble insignifiante par rapport a l’ensoleillement et l’hydrometrie..et pour la glace……c’est pire, a part une concentration dilue de gaz ,rien a en tirer avec precision….quant a l’epaisseur de la glace ,tout depend des chutes de neiges encore un truc totalement abstrait ,il peut neiger meme pas temps pas tres froid ou tres froid..trop de variables pour obtenir la précision souhaite pour etablir des lois et faire des conclusions definitives..des tendances peut etre..

          • Pour la glace le problème est plus que la migration des bulles d’air provoque mécaniquement un lissement de la courbe et élimine de facto toute composante à haute fréquence.

        • Quand on est capable de recréer les conditions primordiales dans le LHC, celà me semble faisable…….

  • Dommage que ces précieuses informations n’influencerons en aucune manière ceux qui vouent une foi aveugle au dogme du réchauffement climatique anthropique.
    Après tout le président de la république en fait un enjeu national majeur, les journaux passent leur temps à alarmer sur cette question, les partis politiques y vont tous de leurs propositions plus ou moins folles pour combattre le CO2, l’assemblée nationale se fait donner la leçon par une ado déséquilibrée, etc.
    La réalité n’a que peu de force face aux croyances rabâchées depuis 15 ans.

    • Ces « croyances » sont imposées de plus haut.
      Macron a annoncé deux enjeux pour son quinquennat: le climat et l’égalité hommes femmes. C’est dire si la France va bien…

  • Pour faire un tour de prestidigitation avec votre main gauche, il faut que le spectateur regarde votre main droite et ainsi il se fera berner. Le CO2 c’est la main droite des escrologistes!

  • Pour sensibiliser le grand public au réchauffement climatique, et faire des prévisions compréhensibles par lui, il a fallu trouver un indicateur « médiatique ».
    Rien que cette phrase – exacte – montre les objectifs de l’affaire.
    Si l’on avait pris comme indicateur la température moyenne du globe, le passage de 15º à 16,5º n’aurait affolé personne…

  • L’article pose de bonnes questions sur la fiabilité des données avec le manque couverture de certaines zones géographiques, l’évolution des systèmes de mesures & les périodes étudiées assez courtes à l’échelle planétaire.
    Cependant, citer Anthony Watts, ancien présentateur météo à la télé & à la radio qui a certes fait des études de météorologie mais n’a jamais été diplômé, & John Goetz, avocat qui a écrit un article sur le blog de Watts, semble desservir le propos.

    • Bonjour

      La question n’est pas de juger les messagers, mais d’évaluer le contenu de ce qui est dit. L’étude citée d’Antony watts sur l’incertitude des mesures est extrêmement rigoureuse.
      Quant à Goetz, il synthétise ce que disent de nombreuses études, revues par les pairs. D’ailleurs, la simple vision de la carte NASA des stations collectées est suffisamment parlante.

      • J’entends votre argument mais pourquoi ne pas citer directement les études ? Un papier publié dans un journal scientifique revu par des pairs vaut mieux qu’une vulgarisation.
        On sait pertinemment que les vulgarisateurs ont tendance à sélectionner les informations qui les intéressent ou a approximer grossièrement certains éléments.

        • « On sait pertinemment que les vulgarisateurs ont tendance à sélectionner les informations qui les intéressent ou a approximer grossièrement certains éléments. »
          Enfin une excellente critique de tout ce que l’on peut entendre depuis longtemps sur le réchauffement climatique.

  • Excellent article.

    La couverture française est vraiment risible : le nord et l’est sont exclus, à l’exception de l’Alsace, bien connu pas son micro climat protégé par les Vosges, et de la communauté urbaine de Lille-Roubaix-Tourcoing, soit un bel îlot de chaleur !

  • Il faut bien comprendre la différence de propriété des mesures primitives et dérivées.
    La température d’un corps correspond à l’agitation moléculaire et varie comme le carré de la vitesse et la capacité calorifique du corps c’est à dire avec la capacité d’accumulation (capacité calorique) de ce corps.
    Ainsi pour élever de 1°C un Kg d’eau et 1 Kg de terre il faudra des quantités d’énergie absorbées différentes.
    On ne peut donc pas comparer l’élévation de 1°C de l’eau des océans à celle de 1°C des terres émergées qui elles-mêmes varient beaucoup (celle du sable du désert est différente de celle d’un champs) c’est la raison pour laquelle on ne peut pas faire des opération de moyenne des températures en dehors de celles portant sur le même lieux.
    La notion de température moyenne de la terre n’est donc pas scientifique.

    • Pas scientifique..mais on ne parle pas de sciences mais propagande politique autour d’un fait religieux et hautement centré sur le comment appauvrir la population pour son asservissement total sans parler d’esclavage .

  • Article très intéressant. Faire des mesures sur une seule station par zone est en effet bizarre quand on veut de la précision. Mais bon, c’est peut être les scientifiques 2.0. Nous ne pouvons pas comprendre…

  • En complément à cet article, cette conférence de 2007 de Vincent Courtillot en détaille un certain nombre de points:

  • Je ne suis pas tout à fait d’accord sur : »La théorie de la mesure enseigne que l’on améliore la précision en moyennant des milliers de mesures », du moins pour la mesure des températures. En faisant des milliers de mesures on vérifie tout simplement que l’instrument de mesure est fidèle. Si il mesure 1 °C de plus, par exemple, on vérifie ainsi qu’il mesure toujours 1 °C de plus à l’erreur de mesure absolue de l’instrument. Cette erreur absolue pour les sondes de platine utilisées est de 0,15 °C (valeur donnée par Météo France : La mesure de la Température). On a beau moyenner, l’erreur restera 0,15 °C, simplement sur la mesure, si on ajoute toutes les manipulations, interpolations et autres traitements inconnus, à mon avis cette moyenne mondiale est au mieux à 0,5°C. Alors les centièmes de degré que signifient-ils ?

    On doit noter aussi que parmi les 1541 abris Stevenson qui sont répartis en 5 classes, seulement environ 10% sont de classe 1 et 2, les mesures des autres sont très suspectes, mais toujours dans le même sens, c’est-à-dire que leurs mesures sont plus chaudes que la réalité vu leurs emplacements.

    • Vous avez tort d’être en désaccord avec ce que vous appelez la théorie de la mesure. Si on fait des moyennes on obtient un résultat plus précis. Cela se démontre mathématiquement et ne fait absolument pas polémique. C’est un résultat mathématique donc vrai avec une probabilité 1. Si on a des variables distribuées de façon aléatoire. On démontre mathématiquement que la moyenne à une variance plus petite et donc donne un résultat plus précis.

      • Si on a des erreurs distribuées aléatoirement et suivant une « bonne » distribution. Une condition que manifestement bien peu comprennent et encore moins vérifient avant de la prendre pour acquise…

  • Excellent article pour ne pas mourir idiot et arrêter de se faire manipuler par les écolos d’opérette ou ces journalistes comme Evelyne Délhiat qui chaque jour enfoncent le clou du réchauffement climatique en utilisant le sophisme de généraliser un fait particulier, localisé à l’ensemble de la planète.

  • Il est scientifiquement prouvé qu’il y a un changement climatique qui est en train de s’opérer depuis le début de l’industrialisation. Cet article est très dangereux. Les mesures sont précises fiables et l’imprécision des mesures est bien entendu prise en compte dans les résultats et les interprétations des scientifiques. Il n’y a pas forcément réchauffement d’ailleurs pour les européens ce que nous attendons est plutôt un refroidissement une fois que le Gulf Stream se sera arrêté.

    Le changement climatique peut causer des inondations, une augmentation des phénomènes extrêmes et diminuer notre capacité de production alimentaire très brutalement. Cela va également causer encore plus d’extinctions d’espèces desquelles notre survie dépend.

    Cet article est très dangereux notre dialogue est important. Les scientifiques n’ont pas intérêt à faire croire à un réchauffement ou changement climatique. Les scientifiques ne veulent pas créer de relifion. Un scientifique qui voudrait être riche peut faire de la finance, c’est possible. Si on continue à être scientifique c’est pour protéger nos vies telle que nous la connaissons et celle de nos enfants.

    Croire au changement climatique est une position courageuse qui nous pousse à faire des sacrifices individuel, voyager en train et pas en avion lorsque possible utiliser des énergies renouvelables. Toute une série de choix pas toujours simple mais qui sont nécessaire pour protéger notre futur collectif.

    Ne pas croire au changement climatique est plutôt lâche et égoiste à mon sens.

    • Je reste sans voix.. Vous avez lu le rapport du GIEC ? Plutôt que ces sornettes.

      • Ce texte (de Langevin) est néanmoins très intéressant, il constitue une assez bonne synthèse de l’opinion générale, et c’est donc une très bonne base pour commencer à argumenter, certainement beaucoup plus efficacement qu’avec toutes ces tentatives d’explications plus ou moins scientifiques, assorties de moqueries quand ce ne sont pas des insultes.
        Notez que je dis ça volontairement ici parce que vous n’êtes pas concerné par cette dernière remarque.

        • Moi personnellement, je n’ai même plus envie d’argumenter avec ce genre de discours. On est rendu à écouter une illuminée style Gréta, et en même temps on voit le gouvernement claquer des milliards pour des c.nneries (jeux olympiques, G7 etc..)
          Lisez le rapport du GIEC, il est très modéré, RCP 4.5 par exemple +1.8° (1.1 to 2.6°) en 2100 (en plus de 120 ans) dont la moitié est dû au RCA ‘likely’. Le reste ils savent pas plus chaud, mais plus humide ou plus sec ?

          CPEF

          • Et pourtant il y a de quoi dire, sur l’utilisation des mesures et des modèles, sur l’interprétation des phénomènes extrêmes, sur le désintéressement des scientifiques, sur le courage et la moralité définis comme des sacrifices individuels, et surtout sur la dangerosité de cet article au regard de la pluralité des opinions …

            • La pluralité des opinions ? Elle existe sur tous les sujets et même sur l’existence des licornes.
              L’article n’est dangereux que pour ceux qui ont peur de la réalité des faits qu’il contient.

              • je ne vois aucun courage à boire les paroles des JT à sensations et à ignorer les bouquins de géologie, Langevin si tu veux voir des inondations climatiques tu vas voir l’histoire du Doggerland, ça c’est du réchauffement climatique, la mère de toute les bombes qui a décimé et décime encore les glaciers (et heureusement).

                Ceci dit quand je vois que les medias sont arrivés à faire porter des sandales avec chaussette montantes à leur public cible, il y a peu d’espoir pour un réveil massif.

              • @ Alfred
                C’est si cet article ne pouvait pas exister que ça serait dangereux

          • De toutes les façons pourquoi continuer à utiliser des énergies fossiles si celles-ci sont vouées à se tarir dans 100 ou 200 ans? Cela veut dire que nos politiques ont un horizon qui s’arrête à 100 ou 200 ans… Pourquoi ne pas passer à l’utilisation d’autres sources d’énergies et investir dans un futur plus durable? Que penseront les générations suivante du fait que tout le pétrole sur terre a été consommé en deux siècle?

            Certaines personnes disent que les scientifiques trouveront bien une solution au changement climatique mais les scientifiques avertissent qu’aucune solution n’existe pour le moment et que nous ne pouvons pas être sûr de les trouver.
            Je ne connais aucun scientifique de renom qui nie le fait que le changement climatique est dû à l’activité humaine.
            Clairement corrélation n’implique pas causalité. Tous les scientifiques le savent mais le gaz carbonique a un effet sur l’énergie du soleil que la terre capture et la corrélation entre concentration de gaz carbonique et température est très claire. Il y a ici un cas ou la corrélation est très forte et le mécanisme de causalité existe et est bien compris, le CO2 contribue a l’effet de serre. Il est donc plus que probable que ce cas de corrélation soit en fait un cas ou il y a causalité.
            Je suis un scientifique de formation et j’ai peur pour l’avenir de mon fils. Je suis tellement préoccupé que nous avons décidé de n’avoir qu’un seul enfant.
            N’avez vous vraiment pas peur? Êtes-vous si sûr d’avoir raison? Ne devrions nous pas appliquer le principe de précaution pour pouvoir offrir à nos enfants un avenir décent?

            • pourquoi continuer à utiliser des énergies fossiles

              Elles seront synthétiques et moins chères qu’aujourd’hui, n’en déplaise aux écolos bas de front.

            • La peur n’est pas bonne conseillère.
              Je vous conseille – si je me permets – de regarder cette vidéo d’un de nos scientifiques mondialement connu. Il ne nie pas un réchauffement, mais il relativise son ampleur et conteste la cause anthropique.

              Et il y en a bien d’autres. Rien qu’en France certains se sont regroupés dans un collectif: les climatoréalistes. Si vous avez une formation scientifique, vous n’aurez aucune difficulté à comprendre leurs démonstrations.

              Par ailleurs, bien que détailler ce point demanderait de longs développements, cette affaire est d’abord politique. Si vous voulez en savoir davantage, vous pouvez lire ce pdf:
              http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/0/31/89/29/Etude-sur-la-nature-des-mouvements-ecologistes/Etude-sur-la-nature-des-mouvements-ecologistes.pdf

              Si cette affaire est grave, c’est à cause de par ses objectifs: ce n’est pas le climat qui est dangereux, mais ceux qui en ont fait leur cheval de bataille pour appauvrir les peuples (et à terme diminuer la population mondiale qui est leur obsession).
              Ce n’est pas une question scientifique, mais de pouvoir et d’argent.

              • Vous me conseillez la vidéo de M Courtillot, hors celui-ci se déclare lui-même ne pas être un expert du climat. Pourquoi alors le croire? De plus ses déclarations critiquent des figures qui sont tout à fait comprises et expliquées dans l’article duquel la figure provient!

                Voici une excellente vidéo qui analyse son discours.

                Bonne écoute.

                • @Langevin
                  Vous affirmez avoir une formation scientifique, et vous vous interrogez sur pourquoi croire untel ou untel. La croyance ou la foi sont le contraire de la science. Un expert, qui demanderait qu’on le croie sur la base de son expertise, serait très probablement un escroc. Une personne avec du recul, qui vous suggère des pistes de réflexion, est ce dont on a besoin quand on veut s’informer et faire des choix éclairés, en ayant maîtrisé sa peur et ses émotions. Bon, il faut aussi un esprit scientifique et logique plutôt que polémique, ce qui ne vient pas tout seul avec la formation scientifique, mais qu’on peut acquérir néanmoins avec quelques efforts et une bonne motivation.

                  • Cher @MichelO,

                    J’ai fait une thèse en physique statistique et un post-doctorat en mathématiques appliquées à l’écologie théorique plus précisément sur les tests d’hypothèses en écologie théorique. J’enseigne maintenant dans le supérieur depuis 4 années. Votre commentaire est quelque peu insolent. Beaucoup des scientifiques que j’ai rencontré sont devenus végétariens et voyagent en train pour faire un petit effort contre le changement climatique. Aucun des chercheurs actifs que j’ai rencontré n’était climatosceptique. Tous avait conscience que l’origine du changement climatique que nous voyons est l’activité humaine.

                    Il semble que certains anciens chercheurs qui sont en lien avec les politiques veulent privilégier les thèses climatosceptiques. Pour le public il est plus facile d’être climatosceptique pour pouvoir partir en vacances en avion. Cela dit les thèses des climatosceptiques sont constamment réfutées. Le public est en train d’être manipulé par les climatosceptiques et cela est très dangereux car il sera peut-être bientôt trop tard car le climat est un système dynamique irréversible. Si nous nous éloignons trop de l’équilibre que nous connaissons cela mettra l’humanité en danger sans que nous puissions manipuler le climat pour qu’il redevienne ce qu’il était.

                    Lorsque l’on analyse des données on ne peut pas donner de réponse certaine mais seulement des probabilités. Maintenant si on vous dit que l’industrie actuelle à 90% de chances d’avoir des effets désastreux sur l’humanité et sur l’écosystème en général il est bien égoiste de l’ignorer et de continuer à faire comme si de rien n’était. Puisque on n’a accès qu’à une probabilités il faut ensuite faire un choix et cela peut s’appeler croire si vous le souhaitez. C’est plutôt choisir l’hypothèse la plus probable et ici l’hypothèse que le changement climatique a pour origine l’activité humaine est beaucoup plus probable que celle des climatosceptique et c’est pour cela qu’il y a consensus dans la communauté scientifique.

                    Si vous voulez on peut en parler en message privé.

                    • Vous scientifique ? Vu le niveau de vos interventions je dubite. M’enfin on est sur internet :).

                    • Votre remarque est intéressante: elle montre que, depuis maintenant plusieurs décennies que cette affaire a démarré, avec des moyens considérables de propagande, les milieux de la connaissance sont touchés: pour obtenir des postes ou des financements, il faut être climato-correct. On le constate également à l’école.
                      Ceci est extrêmement grave, cela relève du lyssenkisme.

                    • Cher Langevin,
                      Beaucoup des scientifiques que j’ai rencontrés, et même parfois présidés, avaient le sens des réalités et favorisaient dans leur vie personnelle les actions susceptibles de faire progresser la connaissance plutôt que celles destinées à convaincre l’auditoire de leur foi écologique. Il est vrai que c’étaient souvent autant des ingénieurs que des docteurs, et dans des domaines où la différence entre un bon et un mauvais usage des statistiques et des probabilités se traduit sur le champ, tragiquement pour des vies ou la compétitivité économique, en cas de sous- ou sur-estimation des risques. Entre nous, nous estimions avoir parfaitement le droit moral de nous montrer insolents, et ces insolences se sont révélées le meilleur stimulant qui soit.
                      Bon, vous nous parlez de votre formation, mais vous omettez la partie intéressante, celle entre le post-doc et l’enseignement que vous dispensez : comment avez-vous confronté les développements théoriques que vous avez étudiés à la réalité ? Confronter aux vues d’autres chercheurs, permettez-moi de rire ! A un moment ou un autre, les tests d’hypothèses doivent s’appuyer sur des données et/ou des résultats de modèles. Nous en revenons au sujet de l’article : avant de vous laisser guider par votre conscience politique écologique, avez-vous analysé la qualité de ces données et la pertinence des modélisations ? Avec au cul celui qui a tout à perdre, et pas seulement sa suprématie politique, si vous faites une erreur ?

                    • … des scientifiques qui font des petits (ou des gros, c’est pareil) efforts, c’est tellement mignon. Si vraiment le CO2 est nuisible à notre survie confortable et que les petits efforts sont approuvés par les scientifiques, je trouve dommage que tous les passagers du Titanic n’aient pas eu un seau chacun pour arriver à bon port.

                      Pendant ce temps-là, à l’autre bout du monde il y a un cours d’eau qui déverse 1,5 million de tonnes de plastique à l’année dans l’océan.

                • Admettez au moins que le sujet est doscuté et que tous les s ientifiques ne sont las en accord avec les affirmations du GIEC (vous disiez ne pas en connaître).
                  Dès lors, le consnsus est un mensonge, et engager des milliards et endoctriner la planète entière sur une théorie contrster ne vous paraît pas suspect?
                  Considérez aussi l’incohérence au niveau des conséquences (éoliennes, nucléaire etc…)

                  • Si il y a quelques centaines de scientifiques financés pas des grandes compagnies pétrolières qui sont prêt à s’affirmer climatosceptique cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas consensus. Sur une communauté de centaines de milliers de personnes si 200 sont en désaccord on peut appeler cela un consensus. Un consensus ne veut pas dire qu’absolument tout le monde est d’accord mais qu’une grande majorité est d’accord. Ici une écrasante majorité.

                    Il ne faut endoctriner personne mais sensibiliser la majorité des gens sinon nous courons au désastre! Vous ne le verrez peut-être pas mais vos enfants si vous en avez risquent d’avoir une existence très différente de la notre et bien moins agréable si on ne fait rien collectivement.

              • Deuxième partie de la critique de la vidéo que vous citez:

                • On connaît vos méthodes, ne jamais répondre aux arguments, mais parler de consensus, consensus sur un réchauffement microscopique en partie dû au CO2, avec des conséquences marginales.
                  Pathétique..

                  • Ça n’est pas vrai la vidéo que je vous envoie répond aux arguments! Elle répond à tous les arguments un par un! Il faut se documenter avant de critiquer. Si vous ne comprenez pas une réponse à un argument n’hésitez pas à demander! C’est normal de se poser des questions et de questionner les idées des autres mais il faut les écouter avant de les critiquer.
                    Si vous le souhaitez regarder les vidéos que je vous envoie.
                    Partie 1:

                    Partie 2:

                    • Ouarff!!
                      L’autre, YouTube comme référence, cela fait vachement sérieux. Postez plutôt des papiers de la NOAA ou de IPCC (en anglais c’est mieux).
                      YouTube c’est pour les ado ou les analphabètes.

            • Pourquoi on arrête l’énergie nucléaire qui est décarboné, si la situation est si critique? Pourquoi l’état et les collectivités locales font des travaux stupides, bétonnent à tout va à crédit si la situation est si critique ? Pourquoi les hommes politiques prennent pour un oui ou pour un non l’avion avec les ONG et les medias comme au G8 (avions et petits fours) si la situation est si critique.
              Pourquoi ? Ils mentent. On aura un réchauffement modéré de 0.8° dû au CO2, avec des effets positifs et négatifs. Je pensent même que les effets positifs seront prédominants, ce n’est pas pour rien que les historiens ont appelé ces périodes ‘optimum’.
              J’ai connu la guerre froide, c’était bien plus inquiétant, mais on avait peur de l’hiver nucléaire. Mais parents on connu la guerre et les nazis c’était bien plus inquiétant… et vous vous avez peur de subir des beaux étés. Mon dieu mon dieu.

            • Si vous avez une formation scientifique, vous devez être sensible à la différence entre vérité et opinion. Dire que « cet article est dangereux » est une opinion.
              La question est de savoir s’il dit ou pas, la vérité. Pour ce que j’ai pu en vérifier par ailleurs, tout est exact.
              Le but d’une propagande est d’engendrer la confusion entre opinion et vérité.

            • Merci pour ces listes. Sur la liste CO2 il y a 46 scientifiques… C’est dérisoire, la communauté scientifique est faite de milliers de scientifiques.
              Sur la liste https://www.wikiberal.org/wiki/Liste_de_scientifiques_sceptiques_sur_le_r%C3%A9chauffement_climatique
              il y a un peu plus de noms et certains sont auteurs de travaux apportant des résultats négatifs (contre le changement climatique). Cela dit, je ne les connais pas et certains sont mathématiciens et pas climatologues. Pour débattre sur une question de ce type il faut faire une analyse des publications scientifiques. Cela s’appelle une méta-analyse
              https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9ta-analyse
              Ce type d’analyse conduit à observer que les résultats contre le changement climatique sont très peu nombreux par rapports à ceux qui poussent à croire à un changement climatique. Il y a aussi des résultats négatifs qui sont financés par Total ou BP et qui sont probablement biaisés.

              Le point est que au sein de la communauté scientifique il est faux de dire qu’il y a deux communautés de même taille. La communauté des climatosceptiques est très petites par rapport à la communauté de ceux qui croient au changement climatique.

              https://www.wikiberal.org/wiki/Manhattan_Declaration
              celle-ci date de 2008 et depuis on a pu changer d’avis. De plus elle a été signée par des hommes d’affaires. Eux ont réellement des intérêts en jeux.

              Si vous êtes simple contribuables et pas extrémement riche vous avez certainement beaucoup plus à perdre en laissant le changement climatique progresser.

              Les politiciens sont totalement inactifs, inconscient vis à vis du changement climatique à mon sens. Si vous avez peur des dépenses de notre président déclarant que c’est une priorité ça n’est que de la communication, le problème est d’envergure et les dépenses publiques pour enrayer le changement climatiques devraient être beaucoup plus grande que ce qu’elles risquent d’être durant ce quinquennat.

              Avec tout mon respect pour vos opinions.

              • Si vous êtes simple contribuables et pas extrémement riche vous avez certainement beaucoup plus à perdre en laissant le changement climatique progresser.

                Que ne faut-il pas lire. David arrêter Goliath ❓ Mais c’est dans la bible, pas dans la réalité.

              • « 1350 peer reviewed papers » sur Google…

              • Si vous prétendez que les résultats financés par des sociétés impliquées dans les énergies fossiles sont probablement biaisés, alors soyez logique : ceux financés par des états, qui n’ont même pas l’excuse de chercher à mieux cerner le milieu où ils opéreront, le sont eux certainement. Et dans le sens de leurs intérêts et ceux de leurs petits copains, c’est-à-dire accroître leur pouvoir et leur popularité auprès des plus gogos faciles à convaincre de leurs électeurs. J’imagine que vous faites partie de ces petits copains…
                Et accessoirement, le nombre de scientifiques d’une opinion donnée n’a aucune importance, seuls comptent les résultats probants, seraient-ils obtenus par un seul scientifique. D’ailleurs, si vous voulez suivre une majorité, la majorité des scientifiques vous conseillera de vous adapter à l’évolution des températures plutôt qu’à chercher à l’empêcher. Mais vous êtes un troll, vous ne cherchez qu’à troller…

                • Un troll? Pourquoi attaquer ma liberté d’opinion? J’essaie de défendre mes idées pour faire avancer les choses. Je trouve qu’il est plus intéressant de lire les gens en désaccord. Avez-vous peur de changer d’avis en me lisant ? Si vous le souhaitez nous pouvons télécharger des données climatiques ensemble et en faire un traitement statistique.

                  Que pensez-vous de ces vidéos qui démontent les arguments avancés par le scientifique français qui défend des thèses climatosceptiques.

                  https://www.youtube.com/watch?v=GMoqkWjSGvw

                  C’est un problème compliqué et riche et malgré cela il y a un consensus très fort. Pour précision je pourrais être climatosceptique si je le souhaitais et personne ne me demande mon opinion sur mon lieu de travail. Personne ne force les scientifiques à croire à la thèse du changement climatique, ils le font librement.

                  • Un troll surgit dans les discussions sur internet non pas pour défendre une position cohérente, mais pour désorienter les tenants de la position adverse. Il n’argumente pas, il polémique. Il essaie de discréditer les arguments adverses mais n’en apporte aucun lui-même, et change de sujet à chaque fois qu’il ne sait pas répondre. Vous avez parfaitement le droit de troller, mais vous serez ridicule si vous comparez votre trolling à une discussion loyale argumentée, dans laquelle on défend moins qu’on n’explique sa position et les éléments qui l’étayent. Et je ne parle pas de vidéos, ni de consensus. La science, ça n’est pas ça. La science, c’est comprendre la différence entre le traitement des données, et les exigences pour faire un choix opérationnel lourd de conséquences à partir des résultats de ce traitement.
                    Si votre travail dépendait de la pertinence de vos traitements et analyses de données, disons si vous travailliez à l’évaluation des risques climatiques pour une compagnie d’assurances à l’étranger, je prétends que vous seriez climato-réaliste ou que vous auriez été viré. Pas sur une question d’opinion, sur une question de combien vous auriez fait perdre à la boite en parts de marché par votre catastrophisme.

            • @Langevin
              Si vous êtes scientifique, ne vous privez pas de vous informer à la source. Le mécanisme du forçage radiatif, improprement appelé effet de serre, est très intéressant et plutôt rassurant. Le CO2 y contribue, heureusement pour nous, mais d’une manière pas du tout linéaire. Au taux de 400ppm il est déjà quasiment opaque à la plage d’infrarouge thermique qu’il intercepte, ce qui veut dire que même en doublant sa concentration le supplément de forçage sera négligeable.
              Le pouvoir de nuisance de l’espèce humaine est redoutable mais il ne passe sans doute pas par son « bilan carbone ».

            • Alors pourquoi refuser de maintenir voire de relancer l’énergie nucléaire qui correspond à une technologie Française qui nous assure une relative indépendance énergétique et se perdre dans des routes solaires coûteuses et sans avenir.

            • « pour pouvoir offrir à nos enfants un avenir décent? »

              Imaginez une seconde que vous vous trompez, que vous avez été abusé par une propagande éhontée, que vous n’avez pas été assez malin ou assez courageux pour lire entre les lignes du mensonge pseudo-scientifique. C’est a minima une hypothèse possible.

              Dans ces conditions, si vous cédez à l’hystérie climatique, vos propres enfants vous mépriseront parce que vous leur laisserez en héritage cette immonde société ultra-collectivisée que les climato-hystériques vous promettent. N’est-il d’ailleurs pas étrange que, comme par hasard, ils profitent des délires climatiques pour nous refiler une resucée du même socialisme, du même collectivisme, du même égalitarisme, tout ce qui lamentablement échoué par le passé ? Curieux, tout de même !

              Songez que vos enfants devront sacrifier leur vie pour s’en débarrasser et retrouver un jour le chemin de la liberté et de la prospérité. Songez également aux plus pauvres d’entre eux, aux plus fragiles, grelottant de froid au pied d’une éolienne rouillée. Que penseront-ils de vous ? Etes-vous prêt à leur faire prendre ce risque inouï ? Ou allez-vous les sacrifier par pure lâcheté, par conformisme irréfléchi à cette propagande bas de gamme ? Serez-vous sans pitié pour vos petits enfants ?

              Posez vous la question, pas pour nous, mais pour vos enfants. Ayez pitié d’eux. Vous avez encore le temps d’ouvrir les yeux. Vous avez encore le temps de les sauver de l’hystérie climatique.

              • Qui vous parle de collectiviser? Pardonnez moi mais vous êtes hors-sujet. Personne ne parle de collectiviser quoi que ce soit. Qui vous parle de socialisme? Sûrement pas notre président actuel lorsqu’il parle d’urgence climatique pardonnez-moi… Il est possible d’avoir une économie de marché avec une transition énergétique vers des énergie durable.

                Si le Gulfstream venait à s’arrêter comme le prédisent beaucoup de modèles une des conséquences serait des hivers à -40 degrés celsius. Que fera-t-on alors lorsque nous n’aurons plus de pétrole ni de gaz et des hivers très rude… Une éolienne rouillée serait la bienvenue.

                • « Il est possible d’avoir une économie de marché avec une transition énergétique vers des énergie durable. » Bien sûr que non. C’est impossible compte tenu des écarts abyssaux existant entre les diverses sources. La seule économie durable est celle qui dégage des profits. Une économie subventionnée est d’avance condamnée à la déchéance. Pétrole, gaz, charbon, hydraulique, et nucléaire sont des énergies durables parce que rentables.

                  « Si le Gulfstream venait à s’arrêter » : petit comique.

              • J’aimerais bien voir sur le même graphe la courbe du pourcentage des parents qui estiment pouvoir offrir un meilleur avenir à leurs enfants que ce que leurs propres parents pouvaient leur offrir, et celle de l’anomalie de T°.

            • « pourquoi continuer à utiliser des énergies fossiles si celles-ci sont vouées à se tarir dans 100 ou 200 ans »
              Même raisonnement : pourquoi continuer à vivre alors que vous êtes voué à mourir dans quelques années ?
              « Que penseront les générations suivante… » Pourquoi voulez-vous vous occuper de ce que penseront les générations suivantes ? Vous pensez quoi des générations antérieures ? A propos de la religion, des guerres à répétition, de leur manque de connaissance et de technologie par rapport à nous : tout ceci n’a aucun sens. Commencez par penser par vous même au lieu de vous occupez de ce que pense les autres.
              « Trouver une solution au changement climatique », c’est déjà croire qu’il y a un problème.
              « Je ne connais aucun » Il y a tellement de choses que vous ne devez pas connaître, vous devriez éviter de vous en vanter.
              Evitez également de parler de théorie (celle de l’influence du C02 sur l’effet de serre) dont apparemment vous ne connaissez rien.
              Pour l’enfant unique, c’est très bien que des gens comme vous évite de se reproduire, l’humanité n’a pas besoin de lamentations mais d’envie.
              Mes enfants se débrouilleront très bien avec le monde à leur disposition. C’est une question de confiance en eux, ils s’adapteront et seront sûrement plus armés pour s’adapter que leurs parents, comme c’est le cas depuis l’aube de l’humanité.

    • Parce que vous croyez que le climat n’a jamais changé sur Terre? Les glaciations cela ne vous dit rien? Corrélation ne veut pas dire causalité! Lorsque deux phénomènes se passent en même temps ils ne sont pas forcément dépendant l’un de l’autre! Sinon on pourrait dire que le réchauffement à l’époque romaine était provoqué par l’extension de l’empire romain! En fait le réchauffement a commencé vers 1850, mais suite au refroidissement du Petit âge glaciaire. Vous accusez le réchauffement printanier d’être provoqué par l’homme? C’est suivre aveuglément sans réfléchir l’hystérie écologiste qui est lâche et égoïste. Cela vous coûte un bras puisque des taxes et des augmentations de l’énergie vous accable. Les allemands on vu leur facture doublée, ainsi que leurs émissions de CO2 ! Grotesque.
      Cessez de nous infligez les slogans et les poncifs sur les énergies renouvelables alors qu’elles sont intermittentes et aléatoires.

    • Ne pas croire au changement climatique c’est croire que le climat est stable dans un monde chaotique soumis a des evenements aleatoires , ca serait en effet dingue !

    • Ce genre de réaction était tout à fait prévisible. Critiquer la religion des croyants quand ils se sentent nombreux, ça peut être « dangereux ». En plus, une religion qui ne concerne pas les individus (si tu pèches tu vas en enfer) mais le collectif (si quelques uns pèchent tous vont en enfer), ça tend automatiquement vers le totalitarisme.
      En tous cas, bravo pour le lapsus « relifion », je me suis bien tapé le cul parterre de rire.

  • Si vraiment on doit parler d’un phénomène subit qui concerne ou menace toute l’humanité, pourquoi est-ce que l’organisme numéro un responsable de calculer son ampleur est autorisé à tenir secret tous ses relevés destinés à la compilation ?

    • C’est bien un phénomène qui menace toute l’humanité! Les organismes qui ont les données dont vous parlez les postes sur leur site web. Il n’y a pas d’organisme numéro un il y a plusieurs organismes qui donnent libre accès à leur données. Vous pouvez les télécharger et refaire les graphique du rapport du GIEC. Ça n’est pas du tout secret.

      • Vous avez dû écouter Courtillot d’une oreille distraite…
        La propagande a tué votre liberté d’appréciation.
        La première qualité d’un scientifique est d’être sceptique et de garder toujours une distance avec toute théorie, et même le résultat de ses propres travaux.

      • Langevin, ok, je viens de me mettre à jour sur ce point, effectivement, ils disent que le reproche des données brutes non consultables n’existe plus (j’ai pas poussé la masochisme à aller vérifier moi-même 🙂

        Je lis que vous avez décidé de n’avoir qu’un seul enfant à cause de cette « affaire » ? je reste absolument ébahi ou consterné (je n’ai pas encore choisi), on a franchi la frontière de la secte, là.

        Donc si nos ancêtres avaient eu votre intelligence scientifique, face à l’engloutissement de leurs territoires en Doggerland il y a 8000 ans ils auraient probablement éteint leurs lignées par vasectomies de masse !?

        • En parlant de secte, le pas est franchi côté Giec, ça y est, officiellement, ils déclarent que les personnes en surpoids sont néfastes au climat. Bientôt des balances connectées approuvées par le Giec ?

  • Il est clair que la mesure de la T moyenne globale n’est qu’un indicateur. Physiquement, ces moyennes n’ont pas de sens. Cependant, il est clair que la figure présentée avec les variations mesurées par quatre réseaux et institutions différentes présentent une corrélation entre elles impressionnante. On voit les diminutions et augmentations liées de très près. Il y a donc une tendance globale à l’augmentation, soumise à des cycles. Avec la part chaotique et la part cycliques, il est difficile de prévoir l’évolution des 10 prochaines années. C’est là que se situe la tromperie, car la cause de ces évolutions est multiple.

    • Quand on modife les températures passés en les refroidissant, tout le monde constate que ca monte , miracle !

      ce qui est génial c’est les corrections qu’on apportent aux courbes corresponde à une très grosse partie du réchauffement.

  • Bien méritoire mise au point pour se moquer des précieux ridicules, et des scientifiques gentilshommes…
    Amusant de constater que malgré les évidences, rien ne modifiera leur prose.
    Monsieur Molière ou Coluche se seraient divertis de cette saga de gentilshommes, en général bien poudrés et lotis, tenant un sujet valant de l’or pour alimenter leurs propres bourses.
    Il faut une malsaine malice pour parler du manque cruel de thermomètres, et de leur piteux état de fonctionnement à 2° près, quand nos éminents savants s’empoignent au dixième, ou au centième de degré près…
    Reprenons les mots de Monsieur Jourdain pour conclure : « Par ma foi ! Il y a plus de quarante ans que je dis de la prose, sans que j’en susse rien… »

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