Par la rédaction de Contrepoints.
En novembre 2016, Contrepoints était le premier à vous proposer un entretien en Français avec Arthur Breitman suite à sa levée de fonds record.
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Malgré de nombreux obstacles, comme un conflit maintenant résolu avec la fondation chargée de gérer le réseau et des procès encore en cours, Tezos est sur le point de véritablement démarrer.
Le réseau s’est développé en 3 grandes phases : l’alphanet, le betanet et le mainnet.
L’alphanet, aussi appelé testnet par d’autres projets, sert à la mise au point du réseau. Ses tokens sont faciles à créer et n’ont pas de valeur.
Le betanet est initialisé avec les tokens attribués par la Fondation Tezos aux donateurs de la levée de fonds. Il a fonctionné sans problème majeur depuis fin juin. Il s’agit du réseau final mais son nom est là pour rappeler qu’il n’en est qu’à ses débuts avec les risques associés. Le passage au mainnet n’est donc qu’une communication de la Fondation qui montre qu’elle pense que le niveau de maturité est suffisant.
Tezos se développe
La Fondation a annoncé vendredi que cette étape aurait lieu lundi alors que beaucoup pensaient qu’ils attendaient encore 2 semaines, c’est-à-dire la fin de la période prévue initialement. Cela s’est confirmé.
Même si l’écosystème autour de Tezos reste limité, il commence à se développer. Citons par exemple, Clause (clause.io) qui propose d’automatiser des contrats légaux sur la blockchain de Tezos. Bitfinex a été la première plate-forme d’échanges majeure à annoncer l’intégration de Tezos et on peut penser que d’autres attendaient le signal du mainnet.
Pour en savoir plus sur Tezos, le mieux est sans doute de regarder la vidéo du Meetup organisé à Genève le mois dernier (en anglais) :
Article sans intérêt
Article qui n’intéresse pas Michal.
article qui ressemble plus à une publicité qu’autre chose. par ailleurs, en lisant l’article, on ne sait absolument pas ce qu’est et ce que fait tezos.