Le libre-échange n’a que des avantages pour le consommateur

La « guerre commerciale » se fait au détriment de chacun de nous. Le libre-échange est la seule politique loyale d’un gouvernement vis-à-vis de ses ressortissants.

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Le libre-échange n’a que des avantages pour le consommateur

Publié le 17 juin 2018
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Par Simone Wapler.

Trump a finalement refusé de signer l’accord final du G7, accusant le Canadien Trudeau de fausses déclarations sur les taxes douanières que son pays appliquait à l’égard des produits américains.

libre-échange

Désolé, nous ne pouvons plus laisser nos amis, ou ennemis, prendre l’avantage sur nous dans le commerce. Nous devons nous occuper d’abord des travailleurs américains !

Les médias français relayent moins qu’officiellement, Trump est pour le libre-échange.

Voici aussi ce que rapporte le Financial Times sur ce sujet :

« Trump, qui s’était rangé contre la mondialisation durant sa campagne électorale, a dit qu’il voulait que l’ensemble des nations du G7 suppriment toutes taxes à l’importation, subventions et autres barrières commerciales.

‘Pas de taxes, pas de barrières, pas de subventions’, a indiqué Trump, appelant cette politique ‘la chose ultime’. Il a indiqué que les autres leaders mondiaux avaient réagi positivement à cette idée.

Son conseiller économique Larry Kudlow a appuyé, disant ‘nous allons nettoyer le système commercial international’.

Mais cette déclaration en faveur du libre-échange mondial est contradictoire avec les récentes taxes à l’importation appliquées à ses alliés, qui les ont mécontentés. »

Selon DW, Donald Trump voulait en réalité imposer au G7 une zone de libre-échange. Face à une levée de bouclier, il aurait préféré déserter.

Le libre-échange est la seule politique loyale

Le libre-échange est la seule politique loyale d’un gouvernement vis à vis de ses ressortissants.

Il permet à chacun de se procurer au meilleur prix ce qu’il veut. Si quelqu’un d’autre que vous fait à l’étranger quelque chose de mieux que vous, au nom de quoi une autorité supérieure voudrait-elle vous en priver ?

La réponse classique à cette question est en général « les travailleurs » ; c’est d’ailleurs la justification donnée par Trump.

Mais pourquoi serait-il judicieux de favoriser la minorité des travailleurs oeuvrant sur la valeur ajoutée d’un produit donné… aux dépens de la majorité des clients du produit en question ?

Ces clients sont eux-mêmes des « travailleurs » dans un autre domaine.

Il n’y a en réalité aucune réponse honnête à cette question. Il s’agit simplement de clientélisme. Une fois que la brèche est ouverte, le jeu classique de la Parasitocratie peut commencer : taxations, subventions, distributions de faveurs et privilèges en direction de tel ou tel lobby…

Le libre-échange unilatéral source de prospérité

Si vous regardez le classement des pays en fonction de la hauteur de leurs barrières douanières, vous constatez aisément une corrélation inverse : ceux qui taxent le plus sont les plus pauvres et ceux qui taxent le moins, les plus riches.

En Europe, la Suisse pratique le libre-échange unilatéral. En Asie, c’est Singapour et Hong-Kong. Ces pays font partie des plus riches de leur zone géographique et de la planète.

L’explication est économiquement simple. Si vous laissez tranquillement les gens s’approvisionner au meilleur rapport qualité-prix, ils vont pouvoir consacrer leur temps et leur énergie à apporter de la valeur ajoutée et se consacrer à ce qu’ils font de mieux par ailleurs. Les ressources sont ainsi utilisées de façons optimales, vous dirait un économiste honnête.

Dans vos investissements aussi, privilégiez les entreprises qui opèrent sur des marchés sans barrière douanière et gagnent ainsi un avantage compétitif.

Le libre-échange ne creuse pas de déficit commercial

Il n’y a aucun lien entre déficit commercial et barrières douanières, contrairement à ce que semble penser Trump si l’on se fie à d’autres déclarations.

En Europe, la France et l’Allemagne ont les mêmes barrières et seule la France est déficitaire. La Suisse, qui pratique le libre-échange unilatéral, a une balance commerciale plutôt excédentaire.

Source : IndexMundi, Banque Mondiale

En France, nous payons plus cher nos produits importés que les Suisses et cela ne nous empêche pas d’avoir une balance commerciale déficitaire.

Les « guerres commerciales » ne sont que des simagrées politiques qu’utilise la Parasitocratie afin de favoriser tel ou tel lobby. Elles desservent l’ensemble des citoyens en les contraignant à acheter plus cher ce qui est dans le collimateur du moment.

Nous sommes typiquement dans les accords gagnant (pour un petit nombre) – perdant (pour le plus grand nombre) que nous dénonçons au fil de ces articles.

Pour plus d’informations, c’est ici.

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  • En résumé, l’imposition de barrières douanières est un aveu d’infériorité et ne contribue qu’à l’aggraver.

    • Non car déjà :
      1- Tout le monde fait du protectionnisme
      2- Si vous n’en faites pas vous même vous aller perdre des infrastructures, des compétences et allez dépendre de la volonté des gouvernements extérieurs (jurisprudence vénézuela dont le problème est qu’elle ne produit aucune nourriture et ne peut plus acheter à l’extérieur)
      3- La capacité à innover vient aussi de la diversité des produits qu’on produit : si on ne fait qu’un seul type de produit on ne peut pas se nourrir des avancées technologiques faites par ailleurs…

      Ensuite, dans la vie il n’y a pas que des consommateurs, il y a aussi des producteurs.

      • Par exemple, avec un temps de protectionnisme, les industries américaines vont pouvoir se renforcer, faire des économies d’échelles et ensuite se rouvrir pour mettre une dernière PLS à l’industrie faible européenne.

        En gros les USA vont gagner sur les deux tableaux :
        1 : les européens sont faibles (on les taxes, ils font une réunion de bureaucrate dans 4 mois pour éventuellement songer à réviser une directive pendant 6 ans).
        2 : l’Amérique, forte, fait du protectionnisme sans les désavantages du coup (spécifique à la faiblesse de l’UE)
        3 : Quand les USA ont fait le protectionnisme de renforcement, elles se rouvrent et mettre en PLS finale les faibles libéraux européens.

        (la faiblesse des européens et une remarque du POTUS, pas de moi => bcp en europe voit leur vocation dans leur soumission aux USA).

        • C’est plus compliqué que cela. Si les USA ne restructurent pas leur industries en mauvais point, alors que les chinois et peut-être les européens+indiens le font, alors ce sera une perte de temps.
          Question de timing. Celui qui reste les bras croisés se transforme en perdant potentiel.

  • @ marie210917
    Je pense qu’il est toujours difficile de comparer un pays européen avec les États-Unis, sans introduire différents biais de sens ou de dimension: c’est déjà moins grave si on compare U.S.A. et U.E.: des états fédérés avec des lois communes, d’autres, pas, pareil pour la fiscalité ou pour la production industrielle, agricole ou de services.
    C’était d’ailleurs l’idée à la base du projet européen!
    Sinon je reconnais que certains pensent que D.Trump fasse, comme on dit en France, du souverainisme.

    • On s’en fiche des cadres institutionnels, les lois de l’économie sont universelles, immuables et intemporelles. A moins que vous considériez les Américains comme des entités extra-terrestres.

  • il est vrai qu’il vaut mieux importer des produits sans taxes venant de l’autre bout du monde ,qu’on ne peut fabriquer au prix auquel ils arrivent sur le marché (meme si la qualité est plus que médiocre , et d’âpres les saisies douanières ne correspondent pas aux normes en vigueurs pour certains) coulant petit a petit des pans entiers de notre industrie et de nos PME , dans le textile, les bijoux fantaisie, la coutellerie, la chaussure, Electroménager, les pneus, l’acier et j’en passe .
    notre chomage augmente, les pme qui arrêtent leurs activités aussi.
    Trump n’aurait il pas dans l’idée de remettre un peu d’ordre dans tout ce b..l ,en voulant que ce qui est consommé par les américains et qui peut être fait aux US le soit..
    n’en déplaise aux mondialistes ses decisions commencent a avoir un impact le chomage baisse aux USA environ 4% nous en sommes à 9.2%.
    mais peut etre notre président va til enfin un jour( ou l’autre) prendre une décision efficace avant que le bateau France ne touche le fond.
    nous sommes en passe de nous noyer et il nous vante la température de l’eau !

    • Vous savez, si le seul but d’un leader est de réduire le chômage, il y a une solution très simple: interdire toute mécanisation/automatisation. On se retrouve rapidement à l’age de pierre et tout le monde bosse dur juste pour essayer de survivre.

      Le vrai but devrait est de créer des richesses, pas des emplois. Or, les richesses sont réalisées lors de l’échange volontaire entre individus. Si on taxe/interdit ces échanges, on empêche cette réalisation et on s’appauvri (même en travaillant plus dur).

      • Le véritable but est donc de favoriser les échanges qui permettent de substituer un état plus satisfaisant des choses, à un état qui l’est moins (Von Mises). Les richesses en découlent naturellement.

      • @tamraf
        vous devriez suivre des cours d’économie et de commerce , ils vous seraient salutaires.
        le libre échange favorise en économie l’industrie la plus performante ou celle qui fournit des produits a la ,valeur ajouté la moins forte , coulant ainsi celle qui ne peut pas suivre .
        nous en sommes l’exemple flagrant.
        qu’il est beau le socialisme !

        • Le libre échange favorise le plus performant, tout-à-fait d’accord, et alors?

          Une entreprise peu performante est une entreprise qui consomme plus de ressources pour produire moins. Voulez-vous vraiment favoriser cela?

          C’est l’exemple type d’entreprise qui gagne à disparaître pour être remplacée par autre chose: libérer les ressources mal utilisées pour espérer qu’elles le soient mieux par quelqu’un d’autre.

      • interdire toute mécanisation/automatisation

        les femmes qui passaient des heures à aller chercher de l’eau à la rivière et au lavoir apprécieront.

        La division du travail, ça vous parle ? Plus elle est poussée, plus il y a des emplois à occuper.

        • Je me suis peut-être mal exprimé, je ne veux pas diminuer la mécanisation… Je voulais juste signaler que la lutte contre le chômage se trompe de cible. C’est combattre un symptôme plutôt qu’une cause.
          Pour que la division du travail fonctionne au mieux, il faut que les échanges soit le plus libre possible.

      • Non car la mécanisation, contrairement au libre-échange, ne détruit pas l’emploi : il reste mais est déployé ailleurs car l’industrie reste là.

  • Trump est-il vraiment pour le libre-échange?
    Pourquoi mettre alors des barrières tarifaires partout?

    • C’est sa manière de négocier. Ne pas confondre l’argument de négociation et le but final de cette négociation…

  • Être contre le libre échange c’est équivalent à croire que la Terre est plate.

    • Certains n’ont pas plus mal vécu en croyant que la terre était plate, c’est bien là le problème.

    • Il faut cesser ses comparaisons stupides! Les écolos en font autant avec les climato-sceptiques, mais on peut leur retourner le compliment. Croire que la température sera de 5% supérieure dans 100 ans est du même tonneau!

  • Je dois dire que j’ai du mal à surtout comprendre quelle est la métrique qui permet de mesurer l’avantage de restrictions au libre échange…

    c’est au premier ordre une interdiction imposée au consommateur et un avantage au producteur national..
    Pourquoi?
    mais derrière ce genre demesure il me semble qu’il y a surtout un problème monétaire et de déficit des comptes publics..
    Je m’explique, si un pays donne de l’argent qu’il emprunte à l’étranger à des inactifs qui achètent des produits achetés à l’étranger mais fait peser le remboursement de cette dette sur d’autres, il y a problème…

    La question sous jacente en quoi un déficit commercial est un problème, non? Et pourquoi donc il peut m^me exister…
    si un viticulteur achète une chinoiserie contre une bouteille de vin qu’il produit où est le problème…
    si un type achète une chinoiserie avec de l’argent que l’etat lui donne ça pose un problème..

    • je veux dire que l’etat français donne t il aux chinois? des euros? des reconnaissances de dette?
      et par ce raisonnement simpliste, je veux dire le protectionnisme cache le refus de faire certains constats sur le rôle de l’etat. et de la monnaie…

      • les chinois n’ont certainement pas le but ultime de bosser pour fabriquer des trucs et nous les vendre contre rien….a la rigueur il faut imaginer que les chinois cherchent à nous éliminer comme concurrent pour échanger avec un troisième larron…et on voit mal comment le protectionnisme pourrait nous rendre compétitif par rapport aux chinois vis à vis du troisième larron…

  • J’ai cherché les antonymes à « protection » :
    agression
    attaque
    déprédation
    exposition
    hostilité
    oppression
    persécution
    tyrannie

    Certes, c’est une démonstration brutale, mais c’est le point du vue du producteur par rapport au consommateur, et il est aussi légitime que celui du consommateur.
    Et comme l’auteur reconnaît que les 2 sont finalement les mêmes, je comprends que l’individu puisse aussi bien apprécier l’un que craindre l’autre.

    Or dans cet article, je ne vois pas cette hésitation. Il est trop facile de dire qu’à la fin, statistiquement, tout se vaut…

  • Malheureusement en Suisse les particuliers ne bénéficient pas du libre marché. Du coup c’est juste du favoritisme.

  • Simone Wapler oublie que pour que le libre échange marche, il est impératif que tout le monde joue le jeu !
    Or les chinois trichent, ils maintiennent leur monnaie basse, font du dumping et limitent au maximum les importations. Ce qui fait qu’ils pillent plus de 350 milliards tous les ans rien qu’aux USA, et sûrement autant en Europe!
    Cela ne peut durer, et Trump a raison d’y mettre le holà !

    • Donc en gros, les chinois fournissent le monde entier, mais ne demandent rien en échange? Est-ce bien cela que vous voulez dire? Ne trouvez vous pas que ce serait eux qui se font piller si c’était vrai?

    • @Virgile
      Vous semblez ici confondre richesse et monnaie.
      Si ce que vous dites est vrai, « les Chinois » (en fait ceux qui les dirigent) « exportent » l’équivalent de 350 Milliards de $ par an en biens et services réels aux USA et « importent » en échange 350 Milliards de $ par an de créances fictives n’étant rien de plus que des chiffres enregistrés sur des disques durs d’ordinateurs de banques. Comme le fait remarquer Tamraf, qui pille qui ? Les grands perdants du commerce « international » sont les travailleurs des pays « exportateur » de biens et services réels et « importateur » de monnaie qui ne sert à rien. Ils travaillent partiellement gratuitement non seulement pour leurs propre dirigeants et clientèles parasites mais aussi pour certains habitants des pays « importateurs » (parmi lesquels les bénéficiaires de l’expansion monétaire). En Europe, c’est notamment le cas des travailleurs allemands, les banques allemandes « détenant » plusieurs centaines de Milliards d’Euros de créances fictives sur divers États européens.
      Le but ultime de tout échange « économique » c’est de se procurer des biens et services réels. La monnaie n’est qu’un moyen technique (génial) facilitant les échanges.

  • vive le libre-échange… mais quittons la mondialisation et parlons de l’europe, notre si petite europe. le libre échange ne fonctionne pas chez nous parce que les règles ne sont pas les mêmes partout; je parle ici de fiscalité, de protection sociale, de règlementations etc… passons maintenant à la micro-économie: comparons 2 boulangers de 2 villages voisins, ils travaillent bien tous les 2, mais, l’un paye ses ouvriers 10 E de l’heure, est taxé à 20% et peut ouvrir 7jrs sur 7; l’autre paye ses ouvriers 20 E,, est taxé à 45% et doit fermer 1 jr par semaine. qui va gagner d’après vous à qualité égale? j’ai pris des boulangers, j’aurais pu parler de 2 routiers, ou d’un taxi et d’un uber!
    oui au libre échange mais avec des droits et des devoirs similaires, sinon on compare des pommes avec des poires.

    • Eh bien voilà: les droits de douane et autres restrictions d’importation sont la contrepartie des charges et contraintes que nous imposons à nos propres entreprises au détriment de leur compétitivité.
      Tout le monde y perd, sauf l’Etat bien sûr jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’industrie du tout.

  • Excellent article. Dommage que certains commentateurs critiques ne l’aient pas lu attentivement car les réponses à certaines de leurs objections y figurent.
    Le protectionnisme n’est qu’une extension des entraves à la liberté des échanges pratiquées à l’intérieur de chaque pays via les taxes et les réglementations aux échanges pratiqués entre les habitants de pays différents (soumis à des juridictions étatiques différentes) via d’autres taxes (« droits de douane ») et d’autres réglementations dites « internationales ». Il n’y a aucune différence de nature entre les entraves au commerce « intérieur » et les entraves au commerce « extérieur ». Si les premières sont néfastes, alors les secondes le sont aussi. Celui qui veut prouver que la liberté des échanges « internationaux » est « néfaste » doit prouver que la liberté des échanges « internes » à un pays l’est aussi. Je lui conseille de tenter de vivre en autarcie. On en reparlera après.
    Si un pays s’appauvrit, comme le Venezuela, cité par un commentateur, c’est toujours parce que ses dirigeants ont entravé la liberté des échanges et bafoué les droits de propriété des propriétaires légitimes (ceux qui acquièrent ce dont ils ont besoin par leur travail et l’échange volontaire). La ruine de l’industrie locale et le « déficit » du commerce « extérieur » sont des symptômes (parmi bien d’autres) de l’appauvrissement général provoqués par la politique d’entrave aux échanges « intérieurs » et « extérieurs » et d’expropriation (les entraves à la liberté des échanges étant l’une des formes de l’expropriation). On remarquera que les dirigeants des USA pratiquent depuis plus de 100 ans (création de la FED vers 1911) une politique d’expropriation à grande échelle particulièrement pernicieuse via l’expansion monétaire, qui est un impôt comme les autres, C’est l’une des explications (parmi bien d’autres du même ordre) du déclin (relatif) du pays. Les dirigeants du Venezuela surpassent de plusieurs centaines ou milliers de fois tout ce que les dirigeants d’autres pays font subir à leur peuple en matière d’expansion monétaire. Pas étonnant que cette forme d’expropriation, ajoutée à toutes les autres (racket des entrepreneurs, contrôle des prix, qui s’envolent à cause de l’expansion monétaire pratiquée par le même gouvernement…) aboutisse à la ruine complète du peuple Vénézuélien.

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