Conférence à Paris le 27 mars : La République doit-elle rester une et indivisible ? 

Students for Liberty organise mardi 27 mars à Paris une conférence sur “l’indépendantisme en France” à 19h30 au siège de l’Aleps, 35 avenue MacMahon.

Partager sur:
Sauvegarder cet article
Aimer cet article 0

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

Conférence à Paris le 27 mars : La République doit-elle rester une et indivisible ? 

Publié le 16 mars 2018
- A +
Une Conférence de Students for Liberty

 

Logo ESFL (Crédits : European Students for Liberty, tous droits réservés)

La France cultive depuis longtemps une tradition politique jacobine, quoi qu’elle connaît depuis quelques décennies un discours plus favorable à la décentralisation. En Europe certains États-nations font l’objet de vives remises en question comme l’illustrent les cas de la Catalogne et de l’Écosse.

Cette remise en question n’épargne pas la République française. La victoire des nationalistes corses aux dernières élections régionales atteste le désir d’une plus grande proximité des centres de décisions chez certaines populations. Se pose alors la question de l’avenir de la France en tant que “République une et indivisible”.

Pour débattre sur cette thématique, nous aurons le plaisir de recevoir :

Paul André Colombani, député de la Corse
Paul Molac, député du Morbihan
Christian Michel, entrepreneur et auteur libéral

La modération sera assurée par Ferghane Azihari, journaliste et analyste indépendant en politiques publiques.

La conférence sera organisée en quatre parties

I – La tradition jacobine française est-elle indépassable ?

II – Les mouvements autonomistes menacent-ils les espaces de solidarité établis ?

III – Les aspirations autonomistes sont-elles compatibles avec les défis de la mondialisation ?

IV – Questions avec la salle.

Inscription et informations supplémentaires : https://www.facebook.com/events/1754530431270480/ “
Voir les commentaires (0)

Laisser un commentaire

Créer un compte

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

Ce n'est pas lui faire injure que d’affirmer qu’il n’est pas un économiste de stricte obédience et que sa vision excluait souvent le champ commercial et financier. Il avait même une condescendance certaine pour les chefs d’entreprises. Pour autant, les rapports de puissance ne lui ont pas échappé et de fait, la sphère économique faisait partie intégrante de son grand dessein de redressement national. De même qu’il s’était toujours fait « une certaine idée de la France », il a toujours cru au génie français. C’est sur cette indéfectible croyan... Poursuivre la lecture

Ceux qui venaient en Corse l'été, dans les années 1990-2000, se souviennent peut-être des grèves à répétition, du service de mauvaise qualité, de la difficulté à trouver un bateau. Depuis les privatisations des années 2000, la situation s'est nettement améliorée : plus de grève, des prix en baisse, une qualité de service accrue. Les transports vers la Corse sont un des nombreux exemples du succès des privatisations.

Petit florilège : 

10 juillet 2014 :  la SNCM met fin à sa grève après 17 jours de paralysie.

Janvier 2014 ... Poursuivre la lecture

La Corse a toujours été un laboratoire de philosophie politique. Théodore de Neuhoff, Pascal Paoli, Napoléon Bonaparte aux XVIIIe-XIXe siècle. Laboratoire complexe et multiple où s’est notamment développée la notion de libéralisme latin.

Une nouvelle reconfiguration politique est en train de s’opérer en Corse avec la crise du nationalisme actuel. Enjeux culturels et économiques, civilisationnels et politiques, le débat politique corse est souvent mal compris et mal appréhendé sur le continent.

Entretien avec Nicolas Battini pour... Poursuivre la lecture

Voir plus d'articles