Par Damien Theillier, Pascal Salin, Guillaume Périgois (Liberaux.org), Gaspard Koenig, Delphine Granier (Génération Libre), Thomas Harbor (Think Libéral), Olivier Méresse (ALEPS), Cécile Philippe (Institut économique Molinari), Christophe Seltzer (SFL), Henri Lepage, Marie-France Suivre (Institut Turgot), Daniel Tourre (Collectif Antigone), Pierre Bessard (Institut Libéral) et Anne Flambert (Fondapol).

Tant dans son fonctionnement que dans son contenu, l’offre éducative actuelle n’est pas satisfaisante pour tous ceux qui souhaitent hisser la liberté individuelle au premier rang des principes qui fondent nos sociétés modernes. Née de ce constat, l’École de la Liberté porte une vision radicalement nouvelle de l’enseignement des sciences humaines, sociales et politiques. Notre système scolaire continue d’entretenir une atmosphère culturelle méfiante voire hostile à l’idée d’un ordre social fondé sur des individus libres et responsables et des mécanismes de marché. Ce refus se heurte pourtant frontalement aux évolutions et révolutions en cours, à leur lot d’innovations et d’idées nouvelles, dont il retarde l’émergence.
Le combat commun pour la défense des libertés passe donc impérativement par le réinvestissement du champ de l’enseignement et des savoirs. Promouvoir l’idéal de rapports humains librement consentis requiert d’agir en profondeur sur les schémas de pensée qui gouvernent la manière dont les individus perçoivent notre monde. La pensée libérale doit être représentée dans l’enseignement au même titre que les autres écoles pour offrir aux futurs citoyens une vraie diversité intellectuelle.
Depuis son lancement, l’École de la Liberté s’est attachée à réunir sur une même plateforme ergonomique plusieurs centaines de ressources pédagogiques et académiques. Nous investissons tous les champs de la connaissance en sciences humaines : du droit à l’économie en passant par l’histoire et la sociologie. La production ou la numérisation de livres classiques au format écrit ou audio est un des piliers de la démocratisation et de la diffusion de masse des idées favorables à la liberté. Il en va de même pour le référencement de vidéos, de conférences et autres podcasts disponibles sur la toile mais qui étaient jusqu’ici insuffisamment mis en valeur et communiqués auprès du grand public. Mettre l’immensité de ce savoir à la disposition de chacun, voilà notre ambition.
Mais ce chantier, bien que colossal, n’en reste pas moins insuffisant. Les enjeux qui façonnent notre monde tendent à évoluer rapidement. Le libéralisme a beau s’enraciner dans une longue et riche tradition intellectuelle, nous devons constamment adapter notre offre éducative pour espérer établir des liens toujours plus pertinents entre les idées de liberté et les grandes problématiques qui agitent nos sociétés contemporaines.
C’est pour cela que l’École de la Liberté prépare une série de cours en format vidéo assurés par des enseignants et chercheurs reconnus dans leur domaine de compétence. De l’analyse économique des politiques publiques à l’étude de l’économie numérique, en passant par l’étude des moteurs du développement économique, la plateforme web proposera des enseignements qui répondent aux attentes exprimées par nos contemporains et permettront de comprendre les transformations sociales actuelles et futures dans l’espoir de reconquérir toujours plus de libertés dans nos espaces de vie respectifs.
Bien que la liberté n’ait pas de prix, sa promotion a tout de même un coût.
Nous avons donc besoin de fonds pour assurer la production de nos cours en ligne ainsi que la rétribution de nos collaborateurs. Mais également pour financer des outils d’animation des vidéos ainsi que des traductions.
Nous comptons activement sur le soutien de tous pour faire vivre ce projet, pour faire triompher la liberté et c’est pourquoi nous faisons appel à votre générosité et à votre engagement par le biais de ce crowdfunding.
Pour faire un don, cliquez ici.
Merci à vous et vive la liberté !
Puisque “crowdfunding” il y a et que, malgré tout nous sommes encore en France et de culture séculaire, ce terme anglo-saxon est un bien mauvais début. Il doit bien rester quelques dollars dans des organismes bienfaiteurs US pour obtenir un financement ! Sinon il reste les multinationales !
Je ne vois pas le rapport avec la choucroute.
Côté entreprises et organismes internationaux, nous ne sommes pas inactifs, loin de là. Mais tant pour collecter des fonds, que pour faire connaître l’Ecole de la Liberté, une campagne de ce type est très utile.
Pas tout compris, vous reprochez quoi à la démarche, sur le fond ? le fait qu’ils utilisent le terme anglo-saxon “crowdfunding” ? C’est l’essentiel de votre combat et qui est la seule raison qui ne vous poussera pas à aider ce projet ? Soyez sérieux personne n’y croit une seconde.
Et bon tant qu’a utiliser des termes Français, on dit EUA (Etats-Unis-d’Amérique) et non pas US ou USA (ca c’est l’horreur absolu, c’est super mega anglo saxon)…
Je crois que c’est ce que l’on appel un vulgaire troll.