Le regard de René Le Honzec.
La dernière mode chez les losers de la Vème – en-dehors de changer de République – est d’envisager de changer les noms de leur partis politiques respectifs.
En tête de gondole, Valls, qui n’en finit plus de virer rose, suant et transparent tellement il semble avoir honte de la politique qu’il est censé mener (laquelle doit être particulièrement affreuse, parce que personne n’a compris de quelle politique il s’agissait, Valls et Flanby étant bien les seuls dans le secret). Mais il a osé le viol du tabou en critiquant le mot « socialiste » lui-même : ‘tention ! il y a de l’apoplexie rubiconde dans l’air chez la gogoche filocharde (et Ribouldingue, pour les amateurs de Pieds-Nickelés) ! Mais de rose pâle à rose transparent, bientôt il sera plus que transparent et il ne lui restera que du centrisme à la béarnaise à inviter à Vallser…
Quant à l’UMP, les travaux d’approche ont eux aussi commencé avec des fuites savamment fuitées, histoire de voir si la base ferait la gueule, si les électeurs « égarés » à tribord-bleu-Marine-toute pourraient godiller à rebours.
Tandis que, Ebolanommie oblige, la contagion a gagné le fier Front National, où fifille songerait de plus en plus à tuer le Père (apoplexie bleuâtre) en se relookant vertueuse Jeanne d’Arc rameutant un vaste peuple pour sauver le royaume en boutant en-dehors les Angliches. Enfin, je dis English, mais ce sera peut-être l’Allemand ou le Norvégien… Ou….