Pour Patrick Moore, fondateur de Greenpeace, le CO2 est une bonne chose

Le fondateur de Greenpeace porte un jugement sévère sur les écologistes qui luttent de façon « extrémiste » contre le réchauffement climatique.

Partager sur:
Sauvegarder cet article
Aimer cet article 0

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

Pour Patrick Moore, fondateur de Greenpeace, le CO2 est une bonne chose

Publié le 24 juin 2014
- A +

Par James Delingpole

Selon le co-fondateur de Greenpeace :

« Le changement climatique est une théorie pour laquelle il n’y a aucune preuve scientifique du tout. »

Il ajoute :

« Le mouvement écolo est devenu une combinaison d’idéologie politique extrême et de fondamentalisme. »

Patrick Moore, militant écologiste canadien, a aidé à fonder Greenpeace dans les années 1970, mais l’a ensuite quitté pour protester contre ses positions de plus en plus extrêmes, anti-scientifiques et anti-capitalistes. Il a fait valoir que l’opinion des verts sur le changement climatique néglige les principes les plus élémentaires de la méthode scientifique.

« La certitude parmi de nombreux scientifiques que les Hommes sont la cause principale du changement climatique, y compris le réchauffement climatique, n’est pas basée sur la réplication d’événements observables. Elle n’est basée que sur deux choses, l’effet théorique des émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine, principalement le dioxyde de carbone, et les prédictions des modèles d’ordinateurs utilisant ces mêmes calculs théoriques. Il n’y a pas de preuve scientifique du tout. »

Moore énumère ensuite quelques faits importants à propos du changement climatique, qui sont ignorés par les croyants.

1. La concentration de CO2 dans l’atmosphère de la planète est plus faible aujourd’hui, même en incluant les émissions d’origine humaine, qu’il ne l’a été durant la plus grande partie de l’existence de la vie sur Terre.

2. Le climat mondial a été beaucoup plus chaud qu’en ce moment pendant la majeure partie de l’existence de la vie sur Terre. Aujourd’hui, nous sommes en plein dans une période interglaciaire de l’Ère Glaciaire du Pléistocène qui a commencé il y a 2,5 millions d’années et n’a pas pris fin.

3. Il y a eu une période glaciaire il y a 450 millions d’années durant laquelle la concentration de CO2 était environ 10 fois supérieure à ce qu’elle est aujourd’hui.

4. Les Hommes ont évolué sous les tropiques près de l’équateur. Nous sommes une espèce tropicale et nous ne pouvons survivre dans des climats plus froids que parce que nous avons du feu, des vêtements et des abris.

5. Le CO2 est la source d’énergie la plus importante de toute vie sur Terre. Toutes les plantes vertes utilisent du CO2 pour produire les sucres qui fournissent de l’énergie pour leur croissance et la nôtre. Sans CO2 dans l’atmosphère la vie fondée sur le carbone ne se serait jamais développée.

6. Le niveau optimal de CO2 pour la plupart des plantes est d’environ 1600 parties par million, quatre fois plus élevé que le niveau actuel. C’est pourquoi les sériciculteurs injectent délibérément dans les serres le gaz riche en CO2 qui s’échappe de leur chauffage à gaz et au bois, obtenant ainsi une augmentation de 40 à 80 % de la croissance de leurs plantes.

7. Si les émissions humaines de CO2 finissent effectivement par provoquer un réchauffement significatif (ce qui n’est pas certain), il pourra peut-être être possible de produire des cultures vivrières dans le nord du Canada et de la Russie, de vastes zones qui sont pour le moment trop froides pour être cultivées.

8. Qu’un taux élevé de CO2 provoque un réchauffement significatif ou pas, le niveau élevé de CO2 lui-même se traduira par une augmentation considérable du taux de croissance des plantes, y compris des cultures vivrières et des forêts.

9. Le réchauffement climatique s’est arrêté depuis près de 18 ans, période au cours de laquelle environ 25 % de tout le CO2 émis par les Hommes s’est ajouté à l’atmosphère. Combien de temps les températures stagneront-elles et après, vont-elles monter ou redescendre ? Là nous sommes hors de la sphère des faits et de retour dans le jeu des prédictions.

Moore fait ses remarques dans la préface d’un nouveau livre du géologue australien à succès Dr Ian Plimer, Not For Greens (Pas pour les écolos). Le livre décrit les divers processus industriels complexes qui entrent dans la fabrication d’une simple cuillère à café, en commençant par l’extraction des divers métaux.

Si les adhérents de Greenpeace étaient fidèles à leurs principes ils mangeraient avec leurs mains parce que, comme le souligne Moore, ils sont opposés à l’exploitation minière sous toutes ses formes.

« Si vous leur demandez de citer le nom d’une mine qui fonctionne selon une norme environnementale acceptable vous ferez chou blanc. Ils sont devenus tellement accaparés par leur extrémisme qu’ils devraient refuser l’utilisation quotidienne qu’il font de leurs téléphones portables, ordinateurs, vélos, moyens de transports modernes, et aussi, d’une simple cuillère à café. »


Sur le web – Traduit de l’anglais par Laure Lancelle Sanvito pour Contrepoints.

Voir les commentaires (126)

Laisser un commentaire

Créer un compte Tous les commentaires (126)
  • Salve de compliments. + + +

    • Oui, mais malheureusement, il n’y a presque que Contrepoints pour relayer ce type d’informations.

      • Et encore, pour combien de temps? Certains des commentateurs se plaignent de ce sujet parce qu’il n’intéresserait que les « libéraux de salon ».

        Heureux ceux qui ne sentent pas les milliards bruler ni ne voient le mal ramper…

  • Excellent.
    Avec le logo de Shell, une grosse boulette de greenpeace.

  • Serait-ce le début du commencement d’une prise de conscience de la supercherie du changement climatique ? On peut encore en douter parce que les politiciens, Obama ou Hollande pour n’en citer que deux, refuseront de faire amende honorable. Le mensonge n’est-il pas une pratique courante en politique ?
    Depuis plus de deux ans j’écris des articles à répétition sur mon blog sur la fausse science du climat et de la théorie de l’effet de serre qui ne pourra jamais être vérifiée puisqu’elle contredit le deuxième principe de la thermodynamique. Les écologistes forcenés ont nié toutes les évidences qui contredisent leurs théories car eux non plus, comme les politiciens n’admettront jamais qu’ils ont monté de toute pièce une vaste supercherie à l’échelle planétaire. Tout a commencé avec James Hansen, de la NASA, Al Gore et son prix Nobel ! C’est gigantesque foutage de gueule organisé par quelques poignées de fanatiques et tout le monde est tombé dans le panneau. Les dégâts occasionnés par cette histoire de climat qui est un non évènement seront durables. Les écolos ont enfin atteint leur but : appauvrir l’ensemble de l’humanité à commencer par l’Europe. Bravo …

    • Moore a raison, vous avez raison mais malheureusement les intérêts financiers sont énormes. Le Giec a été fondé entre autres par Maurice Strong, un canadien, qui a été le conseiller de Koffi Annan, ensuite il s’est fait virer pour malversation. Mais l’ONU et toutes les agences de l’ONU ont mis le paquet pour que la propagande du réchauffement climatique provoqué par l’activité humaine soit si efficace que le monde entier finisse par croire à ces fadaises. Cela a marché, ô combien ! Rien n’est plus puissant qu’une idéologie quand la parole des opposants n’est pas écoutée, plus qu’ elle est niée ou ridiculisée.
      Lire le livre qui vient de paraître: Le fiasco énergétique de Corentin de Salle et David Clarinval et reprendre La servitude climatique de J.M. Belouve paru il y a quelques années mais toujours d’actualité. Il y a bien longtemps que l’on a quitté le terrain de la science en admettant même qu’on y soit entré une fois.

      A propos du mensonge en politique, J.F. Revel affirmait que le mensonge menait le monde. Que dirait-il aujourd’hui ?

      • « La guerre a le mensonge pour fondement et le profit pour ressort » (Sun Tzu)
        « la politique, c’est la guerre » (Clausewitz et Foucault )

  • Et bien sûr, ce monsieur pense que ces 9 points très simples n’ont jamais été considérés par les scientifiques qui étudient le sujet. Il est légitime de se poser des questions, par exemple à propos du ralentissement récent du réchauffement global. Il est idiot de penser que les scientifiques ne se les posent pas, et encore plus idiot d’affirmer qu’en soulevant ces questions, on a réfuté la théorie de l’effet de serre et infirmé l’influence des activités humaines sur le climat.

    • Mais que faites vous donc avec un ordinateur ? Espèce d’éco-criminel ! Vous assassinez gaia !

    • Ah!!!

      « à propos du ralentissement récent du réchauffement global »

      Mondieumondieumondieu. On se faisait insulter il y a qq semaines par les réchauffistes si on évoquait cela.

      • Ah. Si c’est le cas, merci de citer les commentaires. En ce qui me concerne, je ne pense jamais avoir insulté qui que ce soit sur Contrepoints (la réciproque est largement fausse).

        Il est fortement probable que la tendance 1998-2012 de T globale soit plus faible que la tendance – par exemple – 1901-2012 (plusieurs papiers scientifiques, un encart dans la synthèse du GIEC, etc.). Mais « plus faible » ne signifie pas « nulle ». Interpréter cette tendance courte comme un arrêt, a fortiori définitif, du réchauffement global est une erreur à la fois statistique (méconnaissance de l’incertitude) et physique (méconnaissance du système climatique).

        • Contrecontrepoints : « En ce qui me concerne, je ne pense jamais avoir insulté qui que ce soit sur Contrepoints (la réciproque est largement fausse). »
          ———————–
          « Il est idiot de penser que », c’est bien une insulte, alors tes dénégations sont légèrement grotesque. Quand bien-même, en supposant que tu n’aies insulté personne, tes crétineries sont une insulte permanente à l’intelligence, c’est déjà beaucoup.

        • Je ne dis pas que vous m’avez insulté, j’ai dis que l’on se faisait insulté.
          Je rigole quand même car on a vu des posts par wagon (reproche que l’on me faisait, pas vous) pour denier tout discussion sur le ‘plateau’.
          Mon post est plutôt un compliment, vous êtes sur la bonne voie, vous étiez dans le déni maintenant place à la colère, ou à une nouvelle lubie…

          • Mais, gillib, qui incluez-vous dans le « vous étiez dans le déni » de votre dernière phrase ? Si c’est moi, c’est faux. Si ce sont les climatologues en général, c’est faux. Si c’est « le GIEC » (même si parler du GIEC à la 3e personne n’a aucun sens), c’est faux.

            Le ralentissement du réchauffement de surface est observé, personne ne le nie. Ce que je nie en revanche (et d’autres avec moi), c’est qu’on puisse interpréter cette tendance courte comme un arrêt du changement climatique. Dire cela, c’est méconnaître la statistique et la physique.

            • Contrecontrepoints : « Le ralentissement du réchauffement de surface est observé, personne ne le nie.  »
              ——————————————
              « personne » ??? Ne mens pas aussi effrontément !

              Déjà, parler de « ralentissement du réchauffement » alors qu’il n’y a AUCUN réchauffement depuis 17 ans, c’est bien un déni. Ensuite, Obama lui-même, le réchauffiste en chef, avait martelé publiquement à maintes reprises que le climat « se réchauffe plus vite que prévu » (par exemple en 2013 : ‘We also know that the climate is warming faster than anybody anticipated five or ten years ago’ : http://talkingpointsmemo.com/livewire/obama-doesn-t-have-much-patience-for-climate-change-deniers ) donc non seulement c’est un bien un déni de l’absence de réchauffement mais en plus, c’est un mensonge grotesque.

              Et enfin, les sceptiques constatent une absence de réchauffement et non pas un arrêt car pour parler « d’arrêt » ou de « pause », ça supposerait pouvoir lire dans l’avenir avec une boule de cristal, chose que seule la « science » du climat prétend savoir faire. Alors merci de ne pas projeter tes fantasmes divinatoires sur les autres avec ton pitoyable homme de paille.

            • « Le ralentissement du réchauffement de surface est observé, personne ne le nie ».
              Ben si. Vous. Le simple fait de parler « ralentissement » pour un truc dont la vitesse est devenue nulle, c’est bien sûr formellement exact, mais ça reste néanmoins du déni à l’état pur.
              « Ce que je nie en revanche (et d’autres avec moi), c’est qu’on puisse interpréter cette tendance courte comme un arrêt du changement climatique ».
              CQFD. La vitesse est nulle, mais vous refuser d’admettre qu’une vitesse nulle soit un arrêt !
              « Dire cela, c’est méconnaître la statistique et la physique. »Nawak. en physique v =0 c’est un arrêt, peu importe la durée de l’arrêt. Et quand ça fait bientôt 18 ans que ça dure, alors que les hurlements sur l’emballement climatique commencent après 5 ans de hausse des température , la statistique elle est bonne fille, mais il n’y a pas un statisticien pour endosser ces conneries.

              • P, si vous êtes statisticien, comme je le devine, alors comment pouvez-vous interpréter une tendance de 0.05K/décennie comme une tendance « nulle » sachant que l’intervalle de confiance à 90% est [-0.05 à 0.15] (Source : données HadCRUT4 sur 1998-2012) ?

                Dire que la tendance est nulle parce que zéro est dans l’intervalle de confiance est une erreur statistique.

                D’autre part, si vous aviez la moindre compréhension physique du système climatique (ce dont je doute de plus en plus, cf. mon post ci-dessous sur le bilan énergétique), vous sauriez qu’affirmer l’arrêt du réchauffement climatique sur la seule base de quelques années de T globale de surface est une erreur physique. Lisez donc Easterling et Wehner 2008 GRL.

                • Un intervalle de confiance à 90% de [-0.05 ; +0.15] sur des données de bases (les températures, ou des « anomalies » de températures) qui sont mesurées en brut au mieux à 0.1, et qu’on « redresse » ensuite de chiffres variables pouvant atteindre 0.3 … sérieusement … la honte.

                  « Dire que la tendance est nulle parce que zéro est dans l’intervalle de confiance est une erreur statistique. »
                  Ce qui est significatif n’est pas le chiffre en lui même, c’est la tendance, et si l’intervalle de confiance — ridiculement précis, mais passons pour le moment — est à cheval sur des valeur négatives et positive, la valeur à retenir c’est : pas de tendance, zéro. Mais même en admettant, alors cela s’applique à toute valeur X dans l’intervalle de confiance. Y compris bien sûr à la valeur ridiculement précise de 0,05K/déc que vous utilisez plus haut.

                  D’autre part, j’applaudis des deux mains à votre phrase « affirmer l’arrêt du réchauffement climatique sur la seule base de quelques années de T globale de surface est une erreur physique ». Il ne vous reste plus qu’à définir le « quelques » qui devient suffisant, et à appliquer ça aussi bien au démarrage du réchauffement climatique qu’à son arrêt. AMHA, le « quelques » se mesure en centaines d’années, pas en dizaines, dès lors il n’y a pas assez de données pour ne serait-ce que postuler le réchauffement climatique, et poubelle le GIEC. On pourra envisager d’en reparler dans 1/2 siècle, quand les chroniques de température satellitaires et océaniques commenceront à ressembler à un ensemble exploitable (assez homogène sur le plan méthodologique, assez long, etc.)
                  Accessoirement, et plus gravement, c’est le concept de « T globale de surface » qui est une erreur physique.

            • Vous ne m’avez pas compris.
              Il y a qq mois des septiques auraient parler de ralentissement, cela aurait été des hurlements de la part des réchauffistes, avec insultes à la clé, en finissant par être traité de négationniste ni plus ni moins.
              Permettez moi de déguster ce moment, avec une extreme délectation.

              • Faux, car je vous ai très bien compris. Vous êtes dans la position classique du prétendu « sceptique » qui pense détenir une vérité que les prétendus « réchauffistes » (incluant la communauté scientifique) masquent pour on-ne-sait-quelle raison.

                Et doublement faux, car il y a quelques mois paraissait le 5e rapport du groupe 1 du GIEC. Le ralentissement dont on parle y était mentionné, quantifié, expliqué, interprété sur la base d’articles parus depuis des années déjà.

                Dégustez ce moment si cela vous fait plaisir, je m’en contrefiche. Les lecteurs sauront juger que, contrairement à vos affirmations, la communauté scientifique étudie le sujet depuis longtemps.

                • Mais bien sûr, on est sur internet tout les coups sont permis.
                  Il y a qq mois qd on parlait de plateau, la réponse des réchauffistes (bien apprise par coeur) disait:
                  Mais, mais mais comment comment, les 10 dernières années ont été les plus chaudes du siècles.
                  C’était pathétique.
                  Maintenant vous êtes dans le déni: « Mais pas du tout, c’est un sujet que tous les scientifiques étudient depuis longtemps. »
                  Hilarant.

                  • Attention Gillib, vous mélangez les choses, en plus d’être imprécis sur les termes (« on parlait », « la réponse des réchauffistes », « vous êtes dans le déni » etc.). Je vous réponds sur la base des hypothèses suivantes :
                    – « on » = certains auteurs et/ou commentateurs de Contrepoints, dont vous ;
                    – « réchauffistes » = communauté scientifique dont je fais partie (climatologues) ;
                    – « vous » = moi.

                    1. Le ralentissement récent du réchauffement est effectivement étudié depuis plusieurs années. C’est un fait vérifiable, il suffit de consulter la littérature scientifique sur ce sujet (ex. Easterling et Wehner, GRL, 2009, Is the climate warming or cooling?).

                    2. Parler de « plateau » est d’ailleurs une erreur. Cela suppose une tendance nulle. L’incertitude associée au calcul de la tendance sur les quelques années récentes ne permet pas d’affirmer que celle-ci est nulle (cf. ma réponse à P plus haut).

                    3. Penser qu’un ralentissement sur quelques années remet en cause le réchauffement à plus long terme est une autre erreur (à nouveau, consultez Easterling et Wehner, GRL, 2009).

                    4. Le fait que les 10 années les plus chaudes (à échelle globale) des XXe et XXIe siècles aient toutes été observées à la fin de la période (depuis 1998, en fait), témoigne du réchauffement à long terme (lire par ex. Wergen et Krug, EPL, 2008, Record-breaking temperatures reveal a warming climate).

                    5. Répondre par l’argument des « records » à ceux qui font les erreurs 3 et 4 (dont vous) n’est cependant pas adéquat. En ce qui me concerne je ne pense pas l’avoir fait (merci de retrouver mes propos le cas échéant).

                    Bref. Aucun déni ni mensonge de ma part. Saurez-vous enfin le reconnaître ?

      • ils attendaient que la messe émane de leurs manipulateurs.

    • Les « scientifiques » qui font l’essentiel de la « climatologie » aujourd’hui sont des branques. Ils sont nuls en stats (et ils en mettent partout, ce qui fait d’eux l’équivalent des médecins), ça je peux en témoigner pour avoir lu quelques un de leurs papiers.
      Les physiciens qui se sont penchés sur leurs « recherches » disent également qu’ils sont nuls en physique. Apparement ils ne sont pas très bons en chimie non plus, et ne comprennent rien à la biologie. L’économie c’est pas non plus un truc qui leur parle.

      Bref, ils ne sont publiés que parce que le système de « peer-review » fait que dans un domaine où il n’y a que des branques dogmatiques, les plus branques et les plus dogmatiques sont ceux qui publient dans les meilleures revues. Et ils n’ont de l’argent et des étudiants que parce qu’il y a des troupeaux entiers de journalistes et de jeunes idiots qui sont aussi idéologues qu’eux et que le niveau général étant hélas très faible (partout dans le monde) dans les matières exigeantes, trouver des incultes en stats, physique etc. pour continuer à perpétuer l’erreur n’est pas bien dur.

      Donc, non, la plupart des « climatologues » de « haut vol » avec lesquels j’ai pu échanger ne se posent pas de questions, ne se remettent pas en question, et tiennent un discours du genre « OK c’est faux, mais c’est pour le bien de la planète, alors c’est pas grave » quand on leur montre qu’ils ont écrit des conneries.

      • +1
        Il manque juste les guillemets qui s’impose autour de « meilleures revues » . LOL

      • « et tiennent un discours du genre « OK c’est faux, mais c’est pour le bien de la planète, alors c’est pas grave » quand on leur montre qu’ils ont écrit des conneries. »

        Ce qui est con, c’est que si c’est faux, leurs politiques ne sont probablement pas bonnes pour la planète, vu que celles-ci ne sont pas sans conséquences et utilisent une chiée de ressources pour rien…

      • Franz, il me semble que quelqu’un capable d’expertiser les aspects statistiques d’un article scientifique (comme vous prétendez l’être) ne peut se contenter de la lecture de quelques papiers et d’avis lus à droite à gauche pour émettre un jugement général si tranché sur tout une discipline.

        Je suis sûr que vous allez à présent expliquer pourquoi la théorie physique selon laquelle augmenter les GES induit un excès d’énergie reçue par la Terre est fausse. Ou bien pourquoi les études statistiques de détection-attribution sont « nulles ».

        Pour le dernier paragraphe, vos propos sont invérifiables, inutile de commenter.

        • « Je suis sûr que vous allez à présent expliquer pourquoi la théorie physique selon laquelle augmenter les GES induit un excès d’énergie reçue par la Terre est fausse.  »
          Vous savez, en science, il n’est pas nécessaire d’expliquer un fait ou une erreur pour les constater. Mais bon, expliquons quand même, même si je ne suis pas pédagogue, et que je doute sérieusement de votre niveau scientifique pour comprendre :
          l’énergie reçue par la Terre ne dépend que de la quantité émise par le soleil, de la position de la Terre par rapport au soleil, et de l’albédo. Rien d’autre. Strictement rien d’autre. il y a possiblement des zozo assez fondu pour croire que les GES influence le soleil et l’orbite terrestre, mais on va écarter cette hypothèse, n’est-ce pas ? Reste une influence des GES sur l’albédo ; le principale GES c’est l’eau, qui, sous la forme des nuages (eau liquide et solide, pas sous forme gazeuse, donc) a effectivement un gros impact sur l’albedo. Les autres GES, non. a priori augmenter la quantité d’eau augmente les nuage, donc l’albédo, donc réduit l’énergie reçue.
          Maintenant, méditez : êtes vous capable de comprendre ça, d’admettre que vous ne comprenez pas ou que vous vous êtes trompé, et que vous n’avez plus qu’à devenir plus méfiant, sceptique, ou bien préférez vous la sécurité du groupe et de son dogme ?

          • P, nous avons déjà eu cette discussion. Vous y aviez montré de grandes lacunes de compréhension du bilan énergétique terrestre. Reprenons point par point, je vais tâcher d’être encore plus clair cette fois-ci.

            1. Le bilan net de la Terre ne dépend pas que de l’énergie reçue du soleil, comme vous semblez le penser. Il est égal à la différence entre énergie solaire nette reçue (fraction (1-albedo) du rayonnement solaire total) et énergie infra-rouge émise vers l’espace. A l’équilibre (bilan net = zéro), ces deux flux se compensent.

            2. Ce que voit l’espace du rayonnement infra-rouge terrestre correspond à l’énergie émise par l’atmosphère à une certaine hauteur Ze associée à une certaine température Te.

            3. Augmenter les concentrations de GES rend l’atmosphère plus « opaque » au rayonnement infra-rouge. Cela se traduit par une élévation de l’altitude Ze qui émet vers l’espace.

            4. La température décroît avec l’altitude (Ze est dans la troposphère). Augmenter Ze revient à diminuer Te.

            5. Le rayonnement infra-rouge est proportionnel à Te^4 (loi de Stefan). Diminuer Te revient à diminuer l’énergie émise vers l’espace.

            6. Diminuer l’énergie infra-rouge émise a pour conséquence de déséquilibrer le bilan net, l’énergie solaire reçue devenant excédentaire.

            Conclusion : augmenter les GES induit un excès d’énergie reçue par la Terre. C’est connu depuis le XIXe siècle. C’est vérifié tous les jours par les codes de transfert radiatif utilisés pour la prévision du temps.

            L’effet des modifications de nuages sur les flux d’énergie, que vous mentionnez maladroitement, ne sont pas un effet direct de l’augmentation de GES. C’est ce qu’on appelle une rétro-action. C’est parce que les GES induisent un excès d’énergie reçue que la basse atmosphère se réchauffe, que la vapeur d’eau atmosphérique augmente, et que le forçage radiatif des nuages est modifié.

            Tant que vous n’avez pas compris l’effet direct, inutile de discuter des rétroactions.

            Pour plus de détails, je vous invite à lire l’article de Dufresne et Treiner dans La Météorologie sur l’effet de serre : http://documents.irevues.inist.fr/handle/2042/39839

            Bonne lecture, et bonne compréhension.

            • Bon. Vous changez de sujet. Je suppose que c’est le mieux que vous soyiez capable de faire, en guise de reconnaissance de votre plantage sur le sujet précédent « la théorie physique selon laquelle augmenter les GES induit un excès d’énergie reçue par la Terre » … ?

              • On croit rêver. Je n’ai absolument pas changé de sujet, pour preuve ma « conclusion » est exactement la même phrase que celle que vous tentez d’infirmer. Si vous pensez que j’ai changé de sujet, je ne peux rien faire pour vous et votre mauvaise foi.

                Je laisse les autres lecteurs apprécier à quel point j’ai tenté de vous expliquer la science plus d’une fois. Vous semblez imperméable à mes explications, soit parce que vous ne souhaitez pas comprendre (c’est regrettable), soit parce que vous ne comprenez pas (ce n’est pas un drame). Dans les deux cas, avec tout le respect que je vous dois, vous n’avez rien apporté de constructif à nos discussions. Je ne prendrai désormais plus la peine de vous répondre, et je me fiche par avance de la façon dont vous (ou d’autres) l’interpréterez (-ont).

                Bien à vous.

                • Pour dernière précision, il y a une différence entre « induit un excès » et « induit une augmentation ». Les GES ne modifient pas l’énergie solaire reçue (je ne parle pas des rétro-actions). Ils n’induisent donc pas une « augmentation ». En revanche ils modifient (réduisent) l’énergie infra-rouge émise. L’énergie solaire devient donc excédentaire.

                  Fin.

                  • Contrecontrepoints le 25 juin 2014 à 15 h 22 min « Les GES ne modifient pas l’énergie solaire reçue (je ne parle pas des rétro-actions). Ils n’induisent donc pas une « augmentation ».  »

                    C’est tout ce que je voulais vous voir écrire,
                    vu que vous aviez bel et bien écrit cette bêtise plus haut, et je vous cite textuellement :
                    « les GES induit un excès d’énergie reçue par la Terre » .

                    Vous voyez, quand voulez, vous pouvez écrire des chose sensés, reconnaitre vos erreurs, et ne pas mourir pour autant.

                    Du coup je ne tient pas compte de votre inepte message précédent, celui « 25 juin 2014 à 15 h 19 min », « la mauvaise foi » etc.
                    LOL

                    • Ils n’induisent pas d’augmentation.
                      Ils induisent un excès.
                      Je n’ai pas dit de bêtise.
                      Vous les multipliez.
                      Donc si, tenez compte du précédent message.

                    • LOL.
                      Vous avez écrit « excès d’énergie reçue par la Terre ». Et, désolé pour vous, mais un excès de truc reçu, vous pouvez le tourner comme vous voulez, c’est du truc reçu en plus par rapport à la normale, une augmentation, donc ; quelque soit le truc reçu : énergie, masse, calorie alimentaire avalée, etc. Demandez à n’importe qui d’autre que moi, votre épouse par exemple, vous allez voir. Votre chinoiserie subtile ne vous sauvera pas.
                      Maintenant, si vous vouliez parlez d’autre chose (comme il semble), et bien il fallait l’écrire correctement, c’est à dire sans les mots « reçue par la Terre »

                      Mais bien sûr vous pouvez aussi préférer faire le petit garçon buté qui a raison, na (moi personnellement j’aime bien, c’est plus confortable) .

            • CPP, nous avons déjà eu cette discussion. Vous y aviez montré de grandes capacités comprendre le strict inverse de ce qui était écrit. Reprenons point par point, je vais tâcher d’être encore plus clair cette fois-ci.

              1. interprétation erroné de ce que je pense. Arrêtez de prendre les autres pour des crétins, ça vous évitera de défoncer des hommes de paille. Pour le reste, truisme, si on néglige la production terrestre (no problem) et les stockage-destockage (hum… faut voir … sujet plus délicat, mais enfin, au moins au premier ordre, c’est raisonnable).
              2. à 6. argument doublement rigolo :
              d’une part parce que je vous invite à refaire le même avec les trous dans le gruyère, vous allez voir 😉
              d’autre part, plus sérieusement, parce qu’il se retourne comme un gant et qu’on obtient alors une des théories concurrente (et opposée !) à celle de l’effet de serre (la température d’émission ne dépend que de l’altitude, qui ne dépend essentiellement pas de la composition de l’atmosphère, etc. : je ne développe pas en supposant que vous connaissez, dans le cas contraire : à votre service) 🙂
              6. Ne jamais oublier la phrase clef en physique (et ailleurs …) : « toutes choses égales par ailleurs ». Reste à prouver, ou au moins à argumenter, que les choses reste égales, parce que sinon avec ce genre de raisonnement je vous prouve qu’une fuite de gaz dans un ballon le fait monter (fuite = perte de masse = perte de poids = force vers le haut plus grande = ballon qui monte ).

              « n’avez pas compris l’effet direct ». LOL. Tant que vous persisterez à croire que les sceptiques sont des gens qui n’ont rien compris, à qui il suffit d’expliquer pour qu’ils reviennent dans le droit chemin, vous resterez à coté de la plaque. Les sceptiques, au contraire, le sont presque tous devenu par une compréhension plus fine de la chose.

              « inutile de discuter des rétroactions. » Dommage, parce que je serai curieux de vois comment vous concilier le caractère manifestement chaotique de la météo et du climat, les lois mathématique du chaos (qui impose des rétroactions négative de module <1, ) , et le coefficient multiplicateur positif que les GES aurait sur les température d'après le GIEC 😉

              Same player shoot again, vous avez droit à une extraball

              • Stop feeding the troll.

              • Force est de constater que la réponse de CCP est on ne peut plus claire et technique. La votre se perd dans des considérations incompréhensibles, hors sujets et digressions, et est totalement dénuée d’aspect scientifique, voyez par exemple comment vous considérez les points 2 à 6.

                Je ne peux qu’être d’accord avec CCp, vous avez de réelles lacunes en compréhension des mécanismes physiques.

                • Les arbitres ont jugé.

                  • Frédéric était dans votre équipe, il n’est pas plus un arbitre que minitax ph11 et les autres, mais si vous voulez on peut leur demander aussi …

                  • Fredéric un arbitre ?
                    Un partisan oui.

                    • Fredéric = un troll qu’on n’a jamais vu par ici et qui débarque pour donner son avis
                      => direct poubelle.
                      Un « arbitre », pouahhh ! Ca en dit long sur l’argumentation du réchauffiste.

                • Bah, désolé, je ne prétend pas donner des leçons de physique, donc j’ai préféré éviter les aspects techniques ; on est sur un blog, pas dans une université. Quant à la clarté, mea culpa.

                  6. Le bilan dépend de la totalité de l’émission, pas de la seule émission infra-rouge ; resterait à démontrer que la réduction dans l’IR (et plus précisément : dans les bandes caractéristiques des GES) ne se retrouve pas compensée par des hausses dans d’autres fréquences.

                  5. C’est faux. La loi de Stephan ne s’applique pas à l’atmosphère, composée de gaz qui émettent sous forme discrète et non sous forme continue.

                  2. à 4.
                  désolé que vous échappe l’humour du raisonnement digne de celui des trous dans le gruyère : plus le GES capte d’IR, plus l’émission se fait haut ; plus on est haut, plus il fait froid ; donc plus ça chauffe plus il fait froid…

                  Plus gravement, les calculs de température dans l’atmosphère en fonction de l’altitude ne dépendent essentiellement pas de la composition de l’atmosphère (l’ « aspect scientifique » de la chose vous semble suffisant ?), du coup les histoire d' »épaisseur optique » (c’est comme ça que ça s’appelle), ça se retourne comme un gant et ça donne une théorie inverse de celle de l’effet de serre. Et non, je ne rentrerais pas dans les détails, désolé.

                  • désolé que vous échappe l’humour du raisonnement digne de celui des trous dans le gruyère : plus le GES capte d’IR, plus l’émission se fait haut ; plus on est haut, plus il fait froid ; donc plus ça chauffe plus il fait froid…

                    Visiblement, ils ne sont pas en mesure de saisir l’humour. Ils y sont opaque comme l’est le CO2 à l’infra-rouge.
                    Dans leur belle théorie, ils se pourrait qu’il manque les coefficients d’influence d’un gaz sur un autre.
                    Les autres gaz réchauffés vont aussi rayonner, certains plus que d’autres.
                    Par ailleurs, si on plante à grands frais des stations de mesures inutiles du CO2 partout sur la planète, qu’en est-il de Ze en fonction du CO2 ?
                    Silence radio.

            • « augmenter les GES induit un excès d’énergie reçue par la Terre. »

              Correction: « induit une augmentation de l’énergie retenue par la terre avant de la rayonner dans l’espace. »

              Et comme il y a un peu plus d’énergie contenue dans le système Terre/atmosphère la température s’élève légèrement.
              Le bilan reste: Irradiation solaire (341.5 W/m2 en moyenne) + Flux géothermique (très faible) = (Réflexion (UV-Vis) + Diffusion (Raleigh) + Exitance IR ) vers l’espace

              Comprendre ce phénomène ne doit pas entraîner un dogme catastrophiste.

              • Pas tout à fait d’accord. L’effet direct n’est pas d’augmenter l’énergie « contenue », mais seulement de réduire l’énergie émise. Mais il est vrai que pour tenter de rééquilibrer le bilan net, l’atmosphère joue alors sur sa température : elle augmente Te (et donc l’énergie émise en Te^4), et par conséquent tout le profil de température des basses couches (d’où le réchauffement de surface).

                « Comprendre ce phénomène ne doit pas entraîner un dogme catastrophiste. »
                Je ne l’ai jamais été, si c’est ce que vous me reprochez implicitement. Notez aussi que la (quasi) réciproque est vraie, et s’applique parfaitement à P : ne pas comprendre ce phénomène, ce n’est pas être climato-sceptique comme il le prétend, c’est être ignorant.

                • Notez que j’approuve totalement la phrase  » ne pas comprendre ce phénomène, ce n’est pas être climato-sceptique, c’est être ignorant ». Il se trouve juste qu’elle ne s’applique pas à moi (je comprend parfaitement ce phénomène, trivial) Ce pourquoi j’ai retirer la partie fausse « comme il le prétend ».
                  Faudrait arrêter avec les hommes de paille, CCP, c’est fatiguant pour tout le monde, y compris vous-même.

                • Non, vous n’y êtes pas.
                  Il n’y a pas d’énergie supplémentaire ou manquante, c’est toujours le même bilan global qui est en jeu. Simplement on stocke ou déstocke un peu d’énergie selon l’absorption par les GES.
                  Et comme l’un de ceux-ci (CO2) s’accumule dans l’atmosphère depuis le début de l’ère industrielle c’est un phénomène de hausse rampante auquel il faut s’attendre. Simplement l’énergie émise le sera à une autre altitude.

                  À cela se superposent beaucoup de facteurs variables et rechercher la « vraie » réponse du système à la concentration en hausse du CO2 relève de la performance statistique. C’est la question de la sensitivité que les chauffistes prétendent résolue mais n’arrivent pas à convaincre autrement que par un assommoir autoritaire.

                  C’était une précaution de ma part de souligner qu’essayer de comprendre le phénomène ne doit pas être assimilé à l’adhésion au dogme du réchauffement-catastrophe. Il n’y a aucune implication de ma part sur ce à quoi vous adhérez ou non. Mais par les temps qui courent je ne désire pas, parce que j’y aurais porté un intérêt, être confondu dans le prétendu et oxymore « consensus scientifique ».

                  • Beaucoup d’approximations et manque de clarté dans votre discours : « on stocke ou déstocke un peu d’énergie », « phénomène de hausse rampante », « sensitivité » (sensibilité ?), « chauffistes » etc.

                    Quant à la qualification d' »assommoir autoritaire » à propos des centaines d’études physiques sur la sensibilité climatique au CO2 et/ou d’études statistiques de détection et d’attribution des changements climatiques, c’est votre opinion, je ne vais pas perdre mon temps à chercher à vous convaincre. Je laisse les éventuels lecteurs apprécier le fait qu’il n’existe, à ma connaissance, aucune publication scientifique montrant une sensibilité négative au CO2 et/ou expliquant l’évolution du climat depuis deux siècles sur la seule base des forçages naturels (solaire, volcans).

                    • « aucune publication scientifique […] expliquant l’évolution du climat depuis deux siècles sur la seule base des forçages naturels (solaire, volcans). »
                      Bravo et merci, vous venez d’exposer un des arguments sceptiques :
                      « on est parfaitement incapable de comprendre le climat à l’ordre 0, sans les perturbation par le CO2 récemment injecté par l’Homme, et donc a fortiori de le comprendre avec le CO2 et les GES. »

              • en tout rigueur le bilan correct comporte les éléments de stockage/destockage. Faibles certainement, mais également plus variables que le flux géothermique.

  • Les listes d’arguments comme celle là gagneraient beaucoup s’il n’y avaient pas un ou deux arguments absurde au milieu.

    « 5. Le CO2 est la source d’énergie la plus importante de toute vie sur terre. Toutes les plantes vertes utilisent du CO2 pour produire les sucres qui fournissent de l’énergie pour leur croissance et pour notre croissance. Sans CO2 dans l’atmosphère la vie fondée sur le carbone ne se serait jamais développée. »

    L’eau aussi est une source de vie, ça ne l’empêche pas de me tuer si elle remplit mes poumons. Cet argument n’a aucune valeur.

    • C’est pas faux… l’eau aussi est très très méchante; Sous forme de vapeur, et particulièrement de nuage, elle est le « gaz à effet de serre » (ça ne veut pas dire grand chose mais c’est le slogan officiel) qui est le plus présent et le plus fort contributeur de ce très méchant effet de serre (bon, très très mal modélisé dans les trucs de climato parce que bon, la dynamique des nuages et le cycle de l’eau c’est trop compliqué).

      Vite, interdisons l’eau et mettons des taxes sur la vapeur d’eau, ça pourrait permettre un gouvernement mondial qui nous préserverait de nous même, et surtout de la richesse et de la liberté (très dangereux, ces deux trucs).

      • Et en plus, c’est facile à taxer, il y a des compteurs d’eau partout … Et l’eau on ne s’en passe pas… Et le consommateur n’est pas à une taxe près…
        😉

    • Pmn : « L’eau aussi est une source de vie, ça ne l’empêche pas de me tuer si elle remplit mes poumons. Cet argument n’a aucune valeur. »
      ——————–
      Ce serait un argument sans valeur si on ne quantifie pas comme vous faites. L’auteur n’était justement pas tombé dans ce genre de sophisme, il n’en a pas besoin vu qu’il a des arguments solides de son côté, contrairement aux réchauffistes.
      La science, c’est pas fait pour les chiens, ça sert à quantifier et à éviter arguments de café du commerce.

  • Premièrement, le profil de cet individu, né dans les années quarante, est intéressant, . C’est un séparatiste de Greenpeace, il est donc normal qu’il cherche à se mettre en valeur dans sa nouvelle organisation.
    Les arguments évoqués ne sont que des affirmations soit évidente soit farfelue qu’on entend en boucle.

    On peut relever le point 7 qui masque bien sur l’effet inverse dans les zones de latitudes faibles, où les pays sont moins développés que dans les régions citées, et les impacts catastrophique pour la population locale. Il est évident que plusieurs degrés en plus en sibérie n’a que très peu d’impact positifs que quelques degrés en plus la où les gens ont déjà des difficultés à vivre. Pourquoi vouloir s’entêter à déforester des forêt boréales la ou il n’y a personne ou pas besoin? Ce Moore n’est pas logique.

    Pour la question du réchauffement, il juge hativement sans rien y connaitre. Le mois de mai dernier fut le plus chaud à l’échelle mondial jamais relevé depuis le début des relevés en ce sens; ce n’est pas le genre d’information qu’il aimerait entendre; ici non plus. En revanche, si ce mois avait été le plus froid, il y aurait déjà eu plusieurs papiers dessus.. Bref, « je sais que je ne sais pas » est une phrase à méditer pour ces sceptiques reconvertis, et cela reste valable pour tous.

    Bref, c’est un véritable traitre envers Greenpeace de par ces propos. Il est bien mieux parmi ses amis aparatchiques milliardaires du Sénat américain que dans ses convictions initiales. Vous pouvez donc vous féliciter de nous faire parvenir les mots sans poids d’un tel parvenu.

    • « Bref, « je sais que je ne sais pas » est une phrase à méditer pour ces sceptiques reconvertis, et cela reste valable pour tous. »

      Vous voulez dire pour les réchauffistes, j’imagine… Ceux qui sont les premiers à dire je sais… Je sais qu’il y a un réchauffement, qu’il est humain, qu’il mènera à la cata, j’ai compris l’économie, la société, la réalité et j’ai compris comment empêcher le RC par la politique… Lolilol !

      « Le mois de mai dernier fut le plus chaud à l’échelle mondial jamais relevé depuis le début des relevés en ce sens; ce n’est pas le genre d’information qu’il aimerait entendre; ici non plus. »

      En même temps, l’info vient à peine de sortir… Et pourquoi dites-vous que personne n’aimerait pas entendre ça ici ? C’est très chouette un record de chaleur, un bon mois de mai.
      Moi qui pensais qu’on ne pouvait pas parler de non réchauffement sur un mois, un hiver plus froid, des records de froid en antarctique…
      Ne projetez pas votre propre malhonnêteté chez les autres…

      « Bref, c’est un véritable traitre envers Greenpeace de par ces propos. »

      Et c’est bien pour ce genre de propos que les écolos sont des fascistes dangereux à écarter au plus vite du pouvoir, vu que s’exprimer contre la pensée unique est une trahison… Et heureusement, les gens s’en rendent compte.

      • Le plus remarquable dans le commentaire de Pikouli est le procès pour apostasie. Ca montre bien que le RCA est au mieux une doctrine politique mais plus généralement une religion.

        • pragma : « Le plus remarquable dans le commentaire de Pikouli est le procès pour apostasie. »
          —————–
          Oui, bof, ça n’a rien de remarquable, c’est la technique du « character assassination » typique des procès de Moscou et inscrit dans la manuel idéologique du parfait gauchiste : faute de pouvoir lui opposer de vrais arguments, on salit la réputation de son contradicteur.
          Calomnier et calomnier, il restera toujours quelque chose, c’est d’un classique à pleurer !

      • Alors reprenons:
        La citation est valable pour les « réchauffistes », je faisais allusion à eux en effet.
        « Un bon mois de mai »; c’est un record mondial! Et effectivement on ne peut pas parler de réchauffement sur 1 mois, relisez ce que j’ai écrit. C’est le genre de remarque ( extrapolation systématique) qui commence à être lassante.
        Enfin, vous concluez avec la grandiloquence habituelle. Dès qu’on parle d’environnement, c’est qu’on est des khmers verts ou des fascistes à « écarter du pouvoir ». C’est juste minable. Ce qu’il a dit relève de la traitrise ENVERS Greenpeace en somme, que ça vous plaise ou non.

        En conclusion vous ne savez pas lire les nuances et tombez dans les mêmes caricatures habituelles. C’est toujours le même schéma.

        • Je vous ai bien lu. Et contrairement à vos propos, on n’a pas de centaines de papiers sur contrepoints à chaque mois froid.
          Les seuls articles qu’il y a ou aurait, c’est simplement de prendre le contrepied des réchauffistes qui voient à chaque mois chaud une preuuuuuuve du terrrible réchauffement climatiiiiique.

          « Dès qu’on parle d’environnement, c’est qu’on est des khmers verts ou des fascistes »

          Non. On parle sans problème environnement sans crier cela. Ce n’est que lorsque des militants fondamentalistes tiennent des propos ou développent des thèses éco-fascisantes, culpabilisatrices, collectivistes ou apocalyptiques qu’on en parle.
          Et oui, parler de traitrise, c’est bien fascisant.

          « Ce qu’il a dit relève de la traitrise ENVERS Greenpeace en somme »

          Ben non. Un ancien de Greenpeace n’est pas un sujet de Greenpeace et n’a pas à renoncer à son opinion.

          « En conclusion vous ne savez pas lire les nuances et tombez dans les mêmes caricatures habituelles. C’est toujours le même schéma »

          Vous parlez pour vous ? Et comme d’habitude, vous prenez vos contradicteurs pour des attardés. L’erreur habituelle des idéologues, soit…

          • Pour moi c’est un peu de la traitrise. Voila tout.

            • Le qualificatif de  » traitre » que tu lui applique ne nous apprend strictement rien sur lui, par contre il en apprends beaucoup sur toi : exprimer une opinion divergente après avoir adhérer au discours du groupe est déjà une « trahison », une agression contre le groupe. Le discours est sacré, il n’est même pas question de le discuter. On est en présence d’une appartenance dogmatique, de type religieux et même sectaire.

            • Pikouli : « Pour moi c’est un peu de la traitrise. Voila tout. »
              ———————————
              Il n’y a traîtrise que si on est aux services de quelqu’un ou qq chose tout en le trahissant, de manière couverte.
              Moore ne travaille plus pour Greenpeace depuis des lustres et il la toujours dénoncé les agissements de cette organisation fanatique depuis des décennies. Il ne peut donc pas être un « traître », c’est si dur pour toi de comprendre une chose aussi simple ?
              Au contraire, c’est Greenpeace qui est un traître envers nos sociétés modernes, en profitant de leurs bienfaits et en prétendant les améliorer mais en cherchant à les saborder.

              Bref, tu balances des mots du bréviaire marxiste (traître, fasciste) sans en comprendre le sens élémentaire, typique de la manie des idiots utiles.

            • sachant que les traitres, on les fusille pour régler le problème, je suppose que ceux qui sont un peu traitre, ils seront un peu fusillé.

        • Cette expression « traître envers Greenpeace » est en effet révélatrice, puisqu’il faut évidemment comprendre « traître envers la cause ». Que vous en ayez conscience ou non l’usage de cette rhétorique marxiste vous classe sans ambiguïté parmis ideologues et non parmi les philosophes.

          En effet, quand on parle de science il n’est pas question de « cause », et tourner le dis à une école de pensée dont l’inexactitude a été démontrée ne pose aucun cas de conscience au scientifique.
          Contrairement au politicien qui change d’idées et que l’on accuse de trahir une « cause » ou une autre.

    • Pikouli : « Le mois de mai dernier fut le plus chaud à l’échelle mondial jamais relevé depuis le début des relevés en ce sens; »
      ————————————-
      Mais oui, mais oui, un mois chaud, c’est le réchauffement climatique, mais 17 ans de NON réchauffement par contre, c’est trop court pour conclure sur le climat. On connaît ta musique.
      Et puis après vérif, c’est inquiétant en effet : le mois dernier, on a explosé le record de … 0,02°C (!) sur des relevés qui ont été « ajustés » d’au moins +0,3°C et dont personne ne sait comment calculer l’intervalle de confiance puisque de l’aveu même de Phil Jones, une grosse partie des données brutes (càd avant qu’elles ne soient torturées par les climastrologues) ont été perdues.

      Décidément, pour notre perroquet réchauffiste de service, aucune idiotie n’est assez idiote pour l’empêcher de la répéter. Et le pire, c’est qu’il est convaincu qu’il SAIT de quoi il parle parce qu’il est tout fier d’avoir pu caser le dernier stupide talking-point de la FARCE (la fraternité des alarmistes du RC exagéré). A ce point, ça relève de la psychiatrie…

      • Je sais bien. Mais la tendance est éloquente. Mais l’objet de cette remarque n’était pas de parler réchauffement, mais de parler sur la communication. Vous sautez sur le moindre record de froid en Antarctique ou sur une surface de banquise plus étendue que l’année passée pour faire un papier. Par contre ça..

        • La paille et la poutre…

        • Mais oui, mais oui, un mois de mai plus chaud de… 0,02°C, c’est « une tendance éloquente ». Mais 17 ans de NON réchauffement, ça ne réfute rien.
          N’oublie pas de prendre tes cachets !

          Et qui t’a dit qu’on n’aimerait pas parler ici du record de chaleur du mois de mai ? Ne fais pas de transfert freudien de tes névroses sur les autres hein.
          Au contraire, on adore parler de ce record, on en parle et on raconte même toute l’histoire, notamment celle du 0,02°C, contrairement à toi, qui balaie sous le tapis que ce qui ne t’arrange pas. On l’adore ce record parce que ça montre à quel point le réchauffisme est risible et toi, une andouille.

        • Bonjour Pickouli
          Le bateau coule, vous êtes le seul à rester à troller.
          Les rats se sont déjà enfuis.

          • Si troller consiste à contredire ou avoir une autre opinion alors oui je troll.

            • Ne te vante pas. Tu ne contredis pas, tu répètes comme un perroquet la parole officielle. Et tu n’as pas une « autre » opinion, tu n’as même pas une opinion , tu en serait bien incapable, tu n’a même pas le niveau scientifique pour comprendre de quoi tu causes, les forces et les faiblesses du modèle auquel tu as adhéré (sans même savoir pourquoi ), etc. Tu te contente de l’opinion du groupe que tu a choisis.

              • Vous êtes fâché avec la deuxième personne du singulier ? « tu en serait…, tu n’a même pas…,Tu te contente… », et cerise sur la gâteau : « tu a choisis ». Vous devriez essayer la deuxième personne du pluriel (le vous de politesse), le résultat serait sans doute meilleur.

              • Qu’est ce que c’est que ces manières? Impétueux, insolent, arrogant; j’aimerais bien voir à quoi il ressemble ce Pet.

                Mettez en relation le discours de Ph11 et P. Vous êtes ce qu’il dénonce.

                • Être arrogant et mépriser l’autre, ce n’est pas être un fasciste. Criminaliser son opinion, si.
                  Ne confondez pas un adversaire et un ennemi.

                  • SI, mépriser l’autre et être arrogant ça fait largement parti d’un fasciste. Je m’étonne que personne ne condamne son attitude inqualifiable. Vous parlez de nivellement par le haut? C’est un cour de collégien ici.

                • LOL. On dirait que j’ai touché juste, le pauvre en est réduit à des insultes et des gamineries

                  • Et c’est vous qui dites ça. On s’en fiche de ce que vous pensez de moi; pensez sur ce que j’écris.

                    • J’ai du mal LOL !!!
                      Sinon tjs à parler de MTO reLOL

                    • « pensez sur ce que j’écris. » heu … chef oui chef !? Non, désolé, je pense sur ce que je veux. Souffrez que je trouve votre psychologie plus intéressante et significative que vos mauvaises récitations des sourates mal digérées de la secte millénariste.
                      Le truc, c’est quand on voit des débilités pareils, la première question que me vient c’est « mais comment peuvent-ils en venir à ça ? » et la suivante « peut-on, et si oui comment, les sortir de ce bocal ? ».

                    • Des débilités? Citez moi en une objectivement. C’est toujours la même technique. Vous ne parlez jamais du fond. Mais bon, je vous sert de distraction, c’est toujours ça de gagné. Jusqu’à présent je n’ai rien lu d’argumenté de votre part. Je m’en tiens à mon premier commentaire.

                    • Pikouli le 25 juin 2014 à 14 h 21 min « Jusqu’à présent je n’ai rien lu d’argumenté de votre part »
                      Ah mais moi je n’y peux rien , c’est vous qui choisissez de lire ou pas ce que j’écris d’argumenté (par exemple plus haut : P le 25 juin 2014 à 11 h 18 min )

                      « C’est toujours la même technique. Vous ne parlez jamais du fond » …
                      dit l’homme qui glose sur le traitre et ses liens supposé avec des « amis aparatchiques milliardaires du Sénat » (sic), en évitant toute discussion sur les propos du gars…
                      Paille et poutre, les deux besaces, etc.

                    • J’ai dit que je m’en tenais à mon premier commentaire. Je précise: vous n’argumentez par avec moi. Il n’y a rien.

                    • pas avec vous ? c’est vrai. Je pose un constat, qui n’a pas besoin d’un argumentaire : vous adhérez à un discours que vous ne comprenez même pas.
                      Mais bon, chiche, essayons
                      « Le mois de mai dernier fut le plus chaud à l’échelle mondial jamais relevé depuis le début des relevés en ce sens ». OK. De combien? Selon le GIEC, qui prédit hausse annoncé de 2 à 4 °C par siècle, ce devrait être de pas moins de 0.2 à 0.4°C de plus que le mois de mai 2004 , et 0.3 à 0.6 ° de plus que mai 1999. Si ces chiffres (énormes !) ne sont pas atteint, la température de mai 2014 ne confirme pas la prédiction du GIEC et vous auriez mieux fait de la fermer.
                      Je vous laisse méditer là-dessus.

                    • Premièrement vous vous calmez un peu. Deuxièmement vous n’avez pas compris l’objet de cette remarque sur le moi de mai; et pourtant j’ai du l’expliquer. Troisièmement; on compare par rapport à une tendance à des intervalles de temps; pas précisément sur le mois de 2004 etc.. Et en 35 ans, la température a augmenté de un demi degré (en gros). Mais inutile de poursuivre la dessus; vous avez juste confirmé ce que je disais sur l’aspect communication. C’est très intéressant.

                    • « on compare par rapport à une tendance à des intervalles de temps; pas précisément sur le mois de 2004 etc. » Bravo, ; que n’avez vous pensez à ça avant, ça vous aurait éviter d’avancer ce ridicule argument d’un record en mai 2014, record qui malheureusement est bien en deçà de ce que le GIEC prédisait.

                      « en 35 ans, la température a augmenté de un demi degré (en gros) ». Oui. Et en 17 ans, ou en 70 ans, elle a augmenté de zéro (en gros). Pourquoi 35 serait une période représentative, mais pas la moitié (17) ni le double (70) : mystère et boules de Pikouli …

                      Deux constats qui confirment ce que je disais plus haut : vous adhérez à un discours que vous ne comprenez même pas, ce qui vous permet de passez allégrement par dessus les incohérences et les contradictions de ce discours.

                    • Les 35 dernières années décrivent la tendance dont vous m’avez parlé avec interrogation. Mais je m’en fiche de ces données. C’est même pas le sujet. Je parlais communication; alors cessez le hors sujet. Comprenez mon discours avant de juger celle des autres.

            • Ce n’est plus ‘la maison brûle’, c’est ‘le bateau coule’ LOL

              • C’est la goutte d’eau qui met le feu aux poudres ? Ou, l’étincelle qui fait déborder le vase ?

                • C’est marrant je vous ai connu plus mordant, il reste à défaut d’arguments solides, de modèles théoriques validés par les faits, je veux dire Tagadatsointsoin:
                  LA SCIENCE

                  il vous reste des blagues digne de l’almanach Vernot.

                  • gillib : « C’est marrant je vous ai connu plus mordant »
                    ————————
                    Vous êtes bien charitable, tout ce que j’ai vu notre idiot du village capable de mordre, c’est la poussière.
                    Mais c’est vrai qu’il faut le ménager, que serait un village sans son idiot du village.

                  • Loin de moi l’idée de mordre qui (ou quoi) que ce soit ici.
                    Question d’hygiène élémentaire.

    • Bref, c’est un véritable traitre envers Greenpeace de par ces propos.
      A peine insultant ❗

      • Pas forcement, GREENPEACE a souvent lutter contre des causes justes mais n’a jamais martelé par monts et par vaux le réchauffement climatique, ni demandé en son nom taxes et mesures énergétiques auprès des gouvernements.

        • « ni demandé en son nom taxes et mesures énergétiques auprès des gouvernements. »
          ————————————————————————
          Allons, ne racontez pas de carabistouille sur des choses que vous ignorez, votre réécriture de l’Histoire est grotesque !

          • Donc selon vous, acun groupe écologistes n’a fait pression sur différents gouvernements pour taxer, subventionner ?? ça a commencé en 98 avec le changement de méthode pour calculer la puissance fiscale des VP.
            Le plus flagrant est outre-rhin.

            • @ l’ordure
              Quel rapport avec votre gros bobard apologiste pour Greenpeace ?
              Ah oui, aucun. Mais merci quand même pour la tentative d’enfumage.
              On ne vous a jamais dit qu’il faut arrêter de creuser quand vous êtes au fond d’un trou ?

          • Je n’ai pas dit qu’ils ne militaient pas, une campagne ne reflète pas l’action complète de l’organisation, GREENPEACE reste petit face au GIEC et ses émissaires.

            • l’ordure : « GREENPEACE reste petit face au GIEC et ses émissaires. »
              ————————
              « Petit » ou pas n’est pas la question vu que personne n’a dit le contraire. Toujours est il que Greenpeace consacre plus du tiers de son budget à la propagande climato-alarmiste, c’est écrit en noir sur blanc dans ses documents financiers. Il est impliqué dans toutes les actions anti-énergie sous prétexte de sauver le climat, que ce soit contre le charbon en Inde (où il vient d’être inscrit sur la liste noire du gouvernement pour actions contre la sûreté de l’Etat), contre les forages en Russie, contre le gaz de schiste aux USA ou même contre les barrages (!) en Afrique, en Chine ou en Amazonie.
              Ce sont là des faits, massifs et incontestables, donc ce n’est pas votre mauvaise foi, vos dénégations grotesques et vos diversions pathétiques qui changeront ces FAITS.

              Bref, votre bobard risible ne passe même pas un smell test élémentaire et même le plus fanatique des militants de Greenpeace n’oserait pas le sortir. Grandissez un peu et admettez tout simplement que vous avez raconté n’importe quoi en balançant que « Greenpeace n’a jamais martelé par monts et par vaux le réchauffement climatique, ni demandé en son nom taxes et mesures énergétiques auprès des gouvernements ».

              • « Ce sont là des faits, massifs et incontestables, donc ce n’est pas votre mauvaise foi, vos dénégations grotesques et vos diversions pathétiques qui changeront ces FAITS »

                C’est ce que je dis un tiers ne réprésente pas la totalité de l’action de l’organisation, contrairement au GIEC qui est proche des 100%, fait des colloques sommets et autres alertes partout dans le monde occidental.

                On voit plus le GIEC que GREENPEACE parler du réchauffement, de meme que le GIEC fait pression pour taxer le carbone. Qui fait les audits sur les éoliennes ? chez nous on a des commissaires spécialisés, et ils ne sont pas GREENPEACE, donc si je suis peut etre pas tant dans le faux que ça.

                « Ce sont là des faits, massifs et incontestables, donc ce n’est pas votre mauvaise foi, vos dénégations grotesques et vos diversions pathétiques qui changeront ces FAITS »

                Vous vous rendez compte de la proportion de vos propos. Si on comptabilise le nombre de commentaires négatifs, de critiques de « #cestnimportequoiducon » par rapport à ceux qui participent au débat, je me dit que vous devez avoir une vie bien triste.

                • l’ordure : « C’est ce que je dis un tiers ne réprésente pas la totalité de l’action de l’organisation »
                  ——————–
                  Cessez de mentir, vous n’avez pas dit « un tiers ne représente pas la totalité » (no shit Sherlock !). Vous avez dit « Greenpeace n’a jamais martelé par monts et par vaux le réchauffement climatique, ni demandé en son nom taxes et mesures énergétiques auprès des gouvernements », ce qui est un mensonge débile.

                  l’ordure : « je me dit que vous devez avoir une vie bien triste. »
                  ————————
                  Encore raté, je n’ai pas une vie bien triste, la preuve, je passe mon temps à dénoncer les oiseaux de malheurs.
                  C’est plutôt vous le triste personnage avec vos mensonges et votre pathétique mauvaise foi, ne projetez pas vos tares sur les autres.

                  • « je passe mon temps à dénoncer »

                    quelle belle activité oh grand sage détenteur de la vérité universelle.

                    Passer son temps à dénoncer les autres, je trouve ça très triste, meme si cela constitue la preuve de votre bonheur.
                    Je pense au contraire que systématiquement intervenir pour critiquer les autres est une tare pathétique.

                    Je n’ai jamais prétendu tout savoir contrairement à vous, j’exprime mon opinion. C’est peut être pas votre vérité, mais ça peut être celle d’autre gens. D’ailleurs êtes vous certains d’avoir raison ? moi non, par contre vous, vous êtes d’une telle arrogance et suffisance que ça laisse penser que vous êtes assuré d’être au dessus des autres et baigné dans l’aura de la seule vérité.

                    Je remercie P de m’avoir présenté les affiches GREENPEACE que je ne connaissait pas, ça c’est plus constructif et intelligent comme intervention que d’arriver d’ambler en insultant les gens.

                    vous êtes un triste personnage.

                    • Parce que quand le GIEC dénonce à tours de bras, de même Greenpeace, c’est bien ❓

                    • quoique Pet se joue des autres..

                    • Je sais pas dire si le GIEC dénonce. Le GIEC constate, émet des hypothèses et demande aux gouvernements d’agir.
                      GREENPEACE ils sont plus radicaux, ils dénonce d’une certaine manière, ils vont sur un lieu où se passe un truc à la con (pétrolier poubelle par exemple) et affiche haut et fort leur banderole.

  • Ce sont huit millions d’enfants morts qui auraient pu être sauvés sans l’intervention ultra dogmatique de Greenpeace, empêchant la mise en culture du riz doré, un riz OGM contenant la provitamine A dont ils avaient besoin. http://www.atlantico.fr/decryptage/greenpeace-accuse-crime-contre-humanite-anciens-responsables-wikiagri-1626033.html

  • C’est que l’auteur de cet article n’aura aucun subsides d’aucun pouvoir politique. De fait il leur dénigre le droit de taxer, de surveiller et de culpabiliser le peuple !

  • Cet apostat mérite le châtiment suprême.
    Une fatwa a-t-elle été prononcée?

  • Les commentaires sont fermés.

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

Je viens d'écouter l'audition d'une petite heure de Jean-Marc Jancovici au Sénat, qui a eu lieu le 12 février dernier dans le cadre de la « Commission d’enquête sur les moyens mobilisés et mobilisables par l’État pour assurer la prise en compte et le respect par le groupe TotalEnergies des obligations climatiques et des orientations de la politique étrangère de la France ».

Beaucoup d'informations exactes, qui relèvent d'ailleurs bien souvent du bon sens, mais aussi quelques omissions et approximations sur lesquelles je souhaite reveni... Poursuivre la lecture

La nécessité de décarboner à terme notre économie, qui dépend encore à 58 % des énergies fossiles pour sa consommation d’énergie, est incontestable, pour participer à la lutte contre le réchauffement climatique, et pour des raisons géopolitiques et de souveraineté liées à notre dépendance aux importations de pétrole et de gaz, la consommation de charbon étant devenue marginale en France.

Cependant, la voie à emprunter doit être pragmatique et ne doit pas mettre en danger la politique de réindustrialisation de la France, qui suppose une... Poursuivre la lecture

Un article de l'IREF.

Les écologistes voudraient que nous arrêtions de manger de la viande. En raison de l’inquiétude croissante suscitée par le changement climatique et de la volonté d’arriver à un bilan « zéro carbone » en réduisant les émissions de gaz à effet de serre, nombreux à gauche sont les partisans de ce diktat.

Récemment, Fabien Roussel, secrétaire national du Parti communiste, a été « attaqué » par Sandrine Rousseau, élue du parti écologiste, qui lui reprochait de manger du steak. « Non Fabien, tu ne gagneras pas av... Poursuivre la lecture

Voir plus d'articles